Mon voisin est marocain. Il vit avec une jeune femme française, mais il n'hésite jamais à me faire du rendre dedans lorsque je le croise dans la cour de l'immeuble. Il me dit des choses comme "Alors bien dormi ?" lorsque j'ai baisé toute la nuit avec un mec... Il faut dire que ma chambre à un mur en commun avec sa salle de bain et j'imagine que les cris de plaisir s'entendent parfaitement derrière la cloison. L'autre jour, je rejoignais ma voiture dans le parking souterrain et je l'aperçois dans la pénombre de son garage. Je le reconnais immédiatement avec sa barbe noire et son corps de rugbyman. Mais je fais comme si je ne l'avais pas vu derrière le pilier.
Dans ce parking au deuxième sous-sol de l'immeuble, il y a surtout des places ouvertes pour les bagnoles, mais aussi quelques garages fermés et quelques caves. Je m'avance d'un pas assuré en direction de ma golf et je l'entends qui m'emboite le pas à deux mètres à peine. Je me retourne en mimant la surprise et la peur et il me prend par le revers de ma veste, me plaque contre le mur et m'enfonce sa langue dans la bouche. Il était comme fou. Je sentais la puissance de ses bras et j'ai compris que je n'avais qu'à me laisser faire, car je ne parviendrais jamais à m'extraire de son emprise. Et surtout je ne le souhaitais pas. Il m'attrape alors le crâne, à défaut de cheveux que je rase, et m'oblige à me mettre à genoux.
Dans un râlement, il me dit qu'il faut que je lui suce la queue. "Putain mec, il parait que les pédés de ton genre sont de bons pompeurs.". Il défait sa ceinture, baisse son calbut et sort un putain de gros morceaux bien poilu. Je l'enfonce, ni une ni deux dans ma gueule avec comme défit de le faire monter au paradis des hétéros ! On connait la queue mieux que personne, nous les pédés, et on sait comment la faire cracher. Je prends la base de sa queue dans la main pour la branler et en même temps je gobe son pieu entre mes lèvres tournant autour de son gland avec ma langue, en aspirant comme une pute assoiffée.
En deux minutes à peine, je le sens se raidir, retenant son souffle et râlant comme un gorille en rut. Sa queue se gonfle et se raidit et un jet de jus bien épais me tapisse la bouche. Je prends soin de tout avaler, de tout nettoyer jusqu'à la dernière goutte. "Merde putain merde mec, c'était trop bon. Tu dois me faire cracher comme ça toutes les semaines, c'est un ordre que je te donne pédale".
Et c'est ainsi que le voisin d'à-côté et devenu mon amant caché. On se retrouve dans son garage, il ferme la porte, allume une bougie et je prends un divin plaisir à le vidanger chaque semaine, le vendredi soir quand il rentre de son chantier, tout transpirant et bien odorant. Je commence ainsi mon week-end sous de beaux augures !!!!
Thejokermarseille
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