J'ai passé ma nuit sur mon téléphone portable à chercher des plans pour aujourd'hui et j'ai rempli mon carnet de bal. Je suis satisfait de ma journée, mais malheureusement jamais comblé, car je suis un malade du sexe !!
A 9 h du mat, je suis parti dans un village près de Montpellier pour retrouver mon copain Fred, le fisteur hard de la région. Il m'avait écrit un message au petit matin, car il est postier et se lève aux aurores, m'invitant à le rejoindre à 10 h pour un plan bien particulier. Sur le chemin, je n'ai pas pu résister et je me suis donc arrêté sur l'Aire de Vergèze. En contrebas de l'autoroute, sur un terre-plein, deux camions étaient garés. Leurs portières étaient grandes ouvertes et j'ai pu apercevoir deux camionneurs pas très appétissants. Je ne voulais pas de cette viande-là dès le matin. Je suis quand même sorti de ma voiture pour aller dans le petit bosquet qui longue un chemin de terre. Il n'y avait personne, mais j'entendis un bruit de pas sur le sentier... C'était un jeune mec en jeans et tee-shirt blanc, les cheveux blonds vénitiens qui se promenait ! Ni une ni deux, il franchit le grillage qui est découpé pour communiquer avec le bois d'à coté (le matin à 7 h 30, il regorge de mecs qui veulent se vidanger avant d'aller bosser...) et il s'avance vers moi. Je m'accroupis pour bien lui faire comprendre que je suis un vidangeur, il sort sa bite rasée, une bite blanche, mais d'une bonne grosseur, et me l'enfonce dans la bouche jusqu'à la gorge. Je commence à la déguster tranquillement, et je m'efforce de l'avaler entièrement jusqu'à la glotte. Mais quel délice de bon matin. Je la branle de la main droite, la plus habile, pour faire monter son jus, la bouche toujours ouverte contre son gland. Il m'avertit qu'il va juter et me déverse son liquide chaud sur la langue. La journée commençait bien. J'ai rejoint ma voiture en inspirant bien de l'air par la bouche pour m'inonder du bon goût et de la bonne odeur du sperme.
Dix minutes après j'étais devant la villa de Fred. Il était en train de baisser les volets pour cacher nos cochonneries. Nous nous étions mis d'accord, pas de douche avant le plan. Je voulais le décrasser de la tête au pied et goûter à toutes ses odeurs de pieds, d'aisselles, de bite et de cul. Lorsque j'ai mis sa bite dans la bouche, une bonne odeur me fit raidir la mienne immédiatement. C'est étrange les fantasmes des mecs, une simple odeur de fromtom peut nous mettre dans tous nos états. Il s'est assis sur son canapé et m'a dit "Vas-y gars régale toi". Je glissais ma langue partout, dans tous les plis de son corps, dans tous les trous et j'ai léché la moindre touffe de poils... de son publs, de ses aisselles, de son torse, de ses cuisses et surtout de son cul. Il m'avait préparé une bouteille remplie de pisse et j'en prenais quelques rasades pour me donner un peu plus de salive. Son cul était plein de merde, j'aventurai un doigt à l'intérieur puis je le lécha mais je ne voulais pas de plan scat... Un plan décrassage et odeur était plus mon trip du moment. Quand j'eus fini de bien tout nettoyer, il se leva, alla à son frigo et en sortit une capote congelée. "Quinze doses pour toi mec, je vais te fister au jus" me dit-il. Puis il m'enfonça le glaçon dans le trou, bien au fond. "Il faut attendre quelques minutes que ton cul se lubrifie naturellement mec". Quelle sensation géante. Du sperme plein le cul qui commençait à dégouliner sur la rondelle. Il commença à me fister, la sensation était très différente, car le gel recouvre les muqueuses alors que le sperme pénètre à l'intérieur. Pourtant sa main glissait et il arriva même à me boxer... Mais il y avait surtout l'odeur du sperme qui me rend dingue. Je glissais mon doigt pour en récupérer quelques gouttes que je plaçais sur ma langue. Un vrai cochon ! Je me rhabillai sans même prendre une douche, car quand je suis en mode cochon, je kiffe sentir mes odeurs corporelles.
Sur le chemin de retour, je reçois sur Grindr le message d'un pote qui était dispo en début d'après-midi pour me lécher les panards et les TN. Il habite Avignon, mais il était de passage à Nîmes pour son boulot. Je ne pouvais pas le recevoir chez moi, donc nous nous sommes donnés rendez-vous dans un sex-shop (celui où j'ai rencontré la semaine dernière un jeune arabe en claquettes). J'étais un peu naze par ma nuit blanche et mes ébats, mais là je n'avais rien à faire d'autre que de me faire nettoyer les ieps. Il m'attendait dans une cabine, la bite sortit de son bermuda et la bouteille de poppers à portée de main. Je léchai mes sneakers puis, sortis mes pieds et me gobai les orteils voracement. Il jouit en 5 minutes et je trouvais, une fois encore, un peu cher le prix d'entrée à 10 euros pour quelques minutes de baise !!!!
Alors je ne partis pas tout de suite, car j'avais croisé en entrant un grand mec blond (c'était ma journée blonditude !!!) bien moulé dans son jean's ; Je le suis à l'étage du sex-shop et derrière un rideau en lanières, je le vois qui sort sa bite tout en me regardant... C'était bien mon jour de chance. Sa bite était bien charnue et bien longue, mais je le suça quelques secondes et il se dégorgea dans ma gueule à la rapidité d'un éclair, puis partit, sans doute un peu honteux. Moi j'étais ravi. Je viens à peine de rentrer chez moi, il est 14 h 30, et j'ai bu deux doses de sperme, me suis fait décrasser les panards et fister au jus ! Je prends donc le temps de vous raconter cette journée bien remplie !!!!
Thejokermarseille
liomanpro@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Supermarché | Mon voisin arabe | Marseille, mes rebeux, mes blackos | Une journée bien remplie
