Premier épisode
La belle
Nous sortons de l'appart
Je reprends doucement mon souffle.
Nous marchons à nouveau. Mon cul glisse, je sens que je suis mouillé devant, tout va bien...
"Belle salope" me dit-il, et nous retournons chez lui.
Nous ne montons pas, sa voiture est en bas, nous entrons dedans et il se met à rouler, sa main caresse ma cuisse, de temps en temps il me dit de me tourner pour caresser mes fesses, me mettre un doigt.
Sortie de Montpellier, la route est plus large, plus tranquille.
Sa main change de direction, derrière ma nuque. Une fois encore, son geste est précis et sans équivoque : je viens vers lui, sors son sexe, et le suce le reste de la route. Sa queue est raide, droite, gonflée à bloc, et je sens bien que ma langue n'est pas loin de le faire jouir, mais il me redresse.
"Nous sommes arrivés !". Il remballe et sort. Je suis presque frustré ; je n'aime pas le jus, mais j'aurais aimé gagner la belle directement là, qu'il ne puisse pas s'empêcher de jouir dans ma main, contre mon visage.
Que je n'aime pas ce genre d'endroits ! On est au bord de la plage, et à côté de nous ce ne sont que des immeubles avec tant et tant d'appartements, des clapiers à touriste pour moi.
En pleine saison sans doute il y a du monde, mais là ce vide de monde est presque inquiétant.
Nous marchons un peu, très peu ! Le coin est assez sombre pour lui, je l'ai compris plus tard, pas au moment où il s'est planté juste derrière moi et m'a dit.
"Donne-moi ton short, salope ! Dépêche-toi, je n'aime pas attendre"
J'ai hésité, j'ai regardé à droite puis à gauche, c'était trop. Le clac qui a suivi m'a d'abord fait sursauter ; ce n'est qu'ensuite que j'ai senti ma fesse me "brûler" un peu. Wow, il n'y était pas allé de main morte.
J'ai regardé autour de nous, de peur que quelqu'un ait entendu cette claque que je venais de prendre sur la fesse droite.
Trop longtemps a priori, la gauche a eu droit à son clac également. Ne voulant pas prendre le risque d'avoir le cul qui brûle trop, ni que le bruit (qui me paraissait énorme) n'attire la curiosité, mon short est descendu en une seconde. Je le tiens dans la main, et le lui donne. Il a le sourire, j'ai bien obéi.
Sa queue est dans sa main, bien raide. "À genoux, salope !"
Tant pis si on nous voit, je me mets à genoux, j'ouvre la bouche, et reprends la belle pipe de la voiture.
Il sort de ma bouche, me "tape" doucement le visage avec sa queue, puis m'ordonne de faire quelques pas à 4 pattes devant lui, ce que je fais de bon coeur, en tentant par ma cambrure et mon roulement de fesses de l'émoustiller au maximum. Sa main se pose sur mes fesses et je m'arrête instantanément. Il crache sur mon petit trou et son doigt vient pousser sa salive bien au fond.
"Debout, et avance". Nous marchons, moi le cul à l'air, lui qui m'arrête parfois pour me remettre un doigt au fond du cul.
Nous sommes au pied d'un immeuble, la porte étant ouverte, nous entrons, mais ne montons pas. Au contraire, nous prenons l'escalier qui descend au sous-sol.
"Fous-toi à poil, donne toutes tes fringues".
Je ne veux plus de fessée, j'ai obéi plus que rapidement, et me voilà à poil complet, au risque de me faire surprendre, mais j'ai décidé d'avoir confiance en lui, même quand il a sorti un couteau de sa poche.
Il l'a planté dans le tee-shirt, a découpé une grande bande de celui-ci (peu importe, le short suffit finalement) qu'il a utilisé comme bandeau sur mes yeux.
Nu les yeux bandés dans un sous-sol sombre, je suis tout fébrile, mais impatient de la suite.
Il me fait avancer de quelques pas. Puis je me retrouve à genoux, avec l'ordre de me doigter.
Sa queue tapote mes lèvres, j'ouvre et engouffre son sexe qui n'a pas débandé depuis la voiture je crois. Je le sens pris de quelques soubresauts, mais il ne jouit pas, il retient et sort.
Le bruit de l'emballage, il vient se placer derrière moi, son sexe entre tout seul, je laisse échapper un petit râle, il entre d'un coup, ses mains bien accrochées à mes hanches, ses va-et-vient s'accélèrent, je couine.
Il s'arrête et me redresse un peu.
"Ouvre en grand ta petite gueule !". Je n'ai pas le temps d'ouvrir qu'il reprend ses va-et-vient. Je pousse un petit "ohhhh" en ouvrant la bouche, qui se remplit instantanément d'un sexe moyennement dur.
Le salaud ! Non c'est super ! Mais non ! Je ne sais même pas qui c'est !
Mon avis change toutes les deux secondes, mais je suce quand même sans trop y réfléchir ce sexe en continuant de prendre ma sodomie. Il s'arrête et jouit cette fois, je le sens en moi, par à-coups. Il sort, me claque la fesse, me laissant sucer cet inconnu.
Il revient derrière moi quelques secondes plus tard, prend mes mains dans mon dos, et mes les attache avec ce qui ressemble fort à un autre morceau du tee-shirt.
Je suis à la merci de l'autre, qui en profite pour littéralement me baiser la bouche. Son sexe s'enfonce de plus en plus fort et loin dans ma gorge. Je n'aime pas vraiment ça, et heureusement il cesse.
Bruit d'emballage. Il me relève, me penche en avant, et son sexe entre d'un coup, me tirant un nouveau râle. Il me pilonne l'anus, je le sens à la limite de sortir et rerentrer d'un coup. Les noms d'oiseaux fusent, j'adore.
Il me cambre en avant, continue, et je sens qu'on tapote ma bouche à nouveau.
J'ouvre, et suce à nouveau ce sexe qui grossit instantanément. Impossible que ce soit mon "maître" qui ait déjà repris des forces. Il y a un troisième donc, qui m'enlève mon bandeau. Le nez dans son sexe, je suce sans savoir. C'est quand celui derrière moi sort d'un coup et que celui devant vient prendre sa place que je le vois.
C'est André, qui nous a rejoints.
Pour la suite, j'ai passé pas mal de temps debout, chacun passant à son tour pour quelques coups dans mon cul, se relayant tranquillement.
Mon maître a repris des forces et s'est joint aux deux autres.
Ils ont joué avec moi, se faisant sucer, me baisant parfois debout, à 4 pattes, sur le dos,
Je ne sais pas combien de temps cela a duré.
Mais progressivement ils n'ont plus eu de jus, chacun ayant joui plusieurs fois dans mon cul.
Ce que je sais, c'est que je suis resté plusieurs minutes allongé, et me suis endormi.
À mon réveil, j'étais chez mon maître, bien au chaud au lit.
Je n'ai pas de souvenir du trajet de retour.
Par contre, quand au matin il m'a réveillé, et que sa main s'est attardée sur mes fesses, que son doigt a glissé, et s'est posé sur mon petit trou, j'ai su que la soirée avait été bien réelle.
Il n'a pas pu me baiser ce matin-là, j'avais le cul en feu.
Mais du coup, je dois m'avouer vaincu, parce qu'outre le fait que mon cul était endolori, je pense avoir joui moi-même plusieurs fois pendant qu'ils me baisaient.
J'ai pris un pied monstrueux !
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
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