Bonjour à tous. Si vous avez lu mes histoires avant, je ne suis pas à mon premier coup question sexe. Le viol reste mon scénario préféré, et de loin. Voici donc mon dernier plan, du début de semaine. Cela faisait plusieurs fois que je discutais avec lui, sur un tchat connu. Il tient une boutique de fringues en centre-ville d’une petite ville à côté de chez moi. Par prudence, je ne dévoile pas mon visage, juste mon corps, qui lui plait bien. Je lui raconte un peu mes gouts, mes envies… Il est tout à fait d’accord pour me rencontrer, je lui dis que je passerai à l’occasion, mais sans dire quand.
Ce mardi matin donc, un peu avant 10 h, me voilà dans sa boutique. J’ai un petit plug dans le cul, j’aime assez me promener de temps en temps avec, les sensations sont intéressantes… J’ai droit à un petit bonjour en entrant, il n’y a personne (vive les petites villes !). Je regarde donc un peu à droite à gauche, je passe plusieurs fois devant son accueil, en trémoussant un peu, mais pas à outrance non plus. Je me baisse pour regarder un produit, le plug bouge un peu et me fait lâcher un petit soupir. Finalement, je prends un pantalon et un t-shirt, demande où sont les cabines, et vais les essayer. J’essaie très vite, puis passe à mon plan : je m’enlève le plug, le pose sur le banc de la cabine, bien en vue. Je reste en boxer, t-shirt, puis j’entrouvre le rideau de la cabine, et appelle le gars. Quand il arrive, j’ouvre un peu plus le rideau. De là où il est, il ne doit voir que deux choses, pendant que je lui donne le pantalon : le pantalon lui-même, et juste derrière le banc avec le plug posé.
« je me suis trompé, est-ce que vous pourriez me donner la taille au-dessus ? Je préfère quand c’est un peu plus grand. » Il a vu le plug, je suis presque sûr d’avoir aperçu dans ses yeux une lueur et ses joues passer un peu au rouge. Il revient avec le pantalon, très peu de temps après. J’ouvre le rideau, et le saisis. Plus de doutes, il vient clairement de regarder direct le plug. Je referme, essaie le pantalon en souriant, pour la forme, et attends qu’il arrive… Mais rien !
Pas possible, il n’a pas fait le lien avec nos conversations. Je remets le plug, passe mon pantalon, et lui ramène le neuf et le t-shirt. Je n’insiste même pas, je me suis trompé, il est trop « con ». Un au revoir, et me voilà à la porte. Je tire, elle ne s’ouvre pas. Je la pousse, idem. « Vous avez oublié votre porte-feuille aux cabines, monsieur », me lance-t-il. Je reviens, le rideau est grand ouvert, il est juste devant. Il se pousse, j’avance et jette un œil, mais il n’y a absolument rien… « Tu crois que tu peux m’allumer comme ça gratuitement ? » me lance-t-il en me ceinturant et en me faisant entrer dans la cabine. Il me tourne, et m’assoit de force en poussant mes épaules vers le bas. Je lâche un petit râle, car cela a fait bouger le plug. Son pantalon est déjà ouvert, il sort sa queue déjà un peu gonflée, et me la tape sur le visage. Son gland se pose sur mes lèvres et il pousse doucement, m’obligeant à ouvrir et à engouffrer son sexe presque jusqu’à la garde. Il fait des vas et viens, me tenant la tête pour être sûr que je ne dévie pas… Cela me fait de l’effet, je bande, et me trémousse, faisant bouger doucement le plug en moi. Son sexe est bien dur maintenant. Il me relève et me tourne. Une main m’appuie sur ma nuque. Je pose mes mains contre le fond de la cabine. Son autre main me claque une fesse, puis l’autre.
15 secondes et mon pantalon et mon boxer sont à mes chevilles. À nouveau une petite claque sur les fesses. Il les écarte, rigole du plug, qu’il m’enlève doucement, remets d’un coup, et enlève à nouveau. Il m’insulte un peu, me dit que je suis une salope, une chienne… et que je vais déguster. Petit bruit d’emballage ; sa main revient sur ma nuque et pousse. Je ne m’y attendais pas, mes bras lâchent doucement, et mon visage est à présent contre le mur ; le banc tient mes jambes et mes fesses en arrière, bien cambré. Son gland se pose, et je le sens entrer, doucement, lentement. Il n’est pas immense, mais je sens chaque cm passer. Il fait des vas et viens lents, mais de toute la longueur, me faisant lâcher des petits soupirs. Puis il accélère d’un coup, saisissant mes hanches, et tapant ses cuisses contre mes fesses. Ce ne sont plus des soupirs ou des gémissements. Je pousse de petits cris, il gémit, me traite de salope. Sodomie un peu violente, mais pas très très longue. Il jouit dans un dernier râle, et se retire d’un coup. Je m’agenouille sur le banc, mes jambes tremblent. Il me surprend en remettant le plug d’un coup. Puis il remonte mon pantalon, se dirige vers la porte, et me dit de me barrer. Je passe devant lui sans même le regarder.
Une fois dans la voiture, je souris vraiment, c’était un bon scénar. Je pense que je retournerai me faire violer chez lui !
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
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