Premier épisode | Épisode précedent
Le lendemain matin je me réveillai en sursaut : "c'était un rêve, j'ai fait un rêve fou !" Puis, je sentis quelque chose autour de mon cou. Un collier de chien en cuir attaché à une laisse, je soulevai ma couette et je vis que j'étais en jockstrap... ce n'était pas un rêve... Comment avais-je pu faire ça ? Avec un total inconnu ! Je réalisai que je n'avais finalement pas vu ni son visage ni réellement son corps et je me souvins avoir eu l'impression qu'il était bien plus corpulent.
Je cherchai à retirer ce fichu collier, mais il semblait coincé. En m'aidant d'un miroir je réalisai qu'il avait attaché avec un cadenas ; de plus ce dernier semblait gravé, une photo avec mon tel voilà ce qu'il était inscrit : Propriété de maître Xavier, à rapporter à l'adresse suivante. J'avais tellement honte, il fallait que je m'enlève ça tout de suite et que je lui dise que je ne voulais pas continuer !
C'est alors que mon téléphone sonna et je reçus le texto suivant : "Bonjour petite pute, comme tu me l'as dit hier tu es seul pour le week et ta formation va pouvoir continuer ! Comme tu as pu le voir, tu ne peux retirer ton collier et ne t'avises pas de le couper, la sanction serait terrible. J'arrive d'ici une heure, je t'envoie la liste de course que tu dois faire pour me recevoir, tu me prépareras le repas ce midi. En arrivant je te veux dans la même position qu'hier dans un jockstrap propre, tu m'auras préparé un whisky avec un bac à glaçon, il devra être frais et les glaçons ne devront pas avoir fondu, tu auras également mis tous tes sous-vêtements hormis tes jockstraps dans un sac poubelle à l'entrée. À toute à l'heure petite lope !"
Ma première pensée fut de vouloir lui dire stop, je veux arrêter ! Ce n'est pas moi ! Mais je sentis que mon sexe s'était raidi comme hier soir où j'ai fini par éjaculer sans me branler... Quelle honte, tout ceci m'excite à nouveau, son plan me donne envie. Moi l'enfant chéri, le fils prodige, si l'on apprenait que j'aimais jouer à la salope... Puis je réalisai que j'étais seul pour le week-end, ma famille était loin, ma colloc ne revenait pas avant lundi matin. Je pouvais réaliser ce fantasme une fois dans ma vie et dès lundi je passerai à autre chose, cet homme a lui aussi un travail et il voudra certainement passer à autre chose à la fin du week-end. J'étais pris entre envie et raison, je n'avais pas beaucoup de temps pour tout préparer, que faire ? C'est alors que je vis le flacon de poppers posé dans le vide-poche de l'entrée, les sensations de la veille me revenaient en mémoire, voilà la machine à courage et sans réfléchir je sniffais 3 coups. L'excitation me fit alors perdre toute raison et me voilà partit pour répondre aux ordres.
55 minutes plus tard, j'étais allé faire les courses en prenant soin de cacher mon collier sous un foulard et ma laisse dans le t-shirt, je m'étais lavé mis en tenue, le sac de sous-vêtements était prêt, le whisky et les glaçons au frais, il fallait que je guette le bruit de la porte en espérant que ce soit lui. Plusieurs fausses alertes, heureusement les personnes vivaient aux étages inférieurs, en passant ils auraient pu se demander pourquoi la porte était entrouverte. La troisième fois que j'entendis la porte s'ouvrir je plaçai à nouveau tout sur la table basse, je me mis en position et cette fois quelqu'un rentra.
Il s'installa sur le canapé, du coin de l'oeil je reconnus ses rangers, j'étais en partie rassuré... J'osai un timide "Bonjour maître." En gardant le visage vers le sol, afin d'éviter la punition d'hier.
- C'est qu'elle apprend vite la pute ! Allez viens là et garde la tête baissée ! Dit-il en tirant sur la laisse qu'il avait pris sans que je m'en rende compte.
L'excitation était retombée, qu'est-ce qui m'avait pris ? J'étais tellement pris dans la préparation que je n'avais plus réfléchi, mais maintenant la raison avait repris le dessus. Je voulais lui dire que j'avais changé d'avis, mais j'étais pétrifié. Je commençai a redressé la tête pour lui parler, mais il me la plaqua aussitôt sur son paquet et je reçus une série de coup de cravache sur les fesses : "Je vais t'apprendre à désobéir petite pute ! Je veux t'entendre dire pardon et merci maître pour chaque coup !"
Et j'obéis. J'aurais pu tenter de me rebeller, de me débattre, mais non j'ai obéis. À la fin du châtiment, je me jurai de faire tout ce qu'il me dirait jusqu'à son départ et que je lui dirais ce soir par texto que je voulais arrêter ! C'est alors qu'il se pencha m'enfonça davantage le visage dans son entre jambes pour attraper le mien. "C'est quelle bande bien dur ma salope, comme hier tu vas mouiller sans t'en rendre compte". C'était vrai, je bandais à nouveau, comment pouvais-je aimais ça ? C'était incompréhensible, il avait dû imbiber son pantalon de poppers... Puis je réalisai qu'il avait su que j'avais éjaculé hier, peut-être qu'il m'avait branlé sans que je m'en rende compte ? C'est pour ça que j'ai joui, rien n'a voir avec la situation !
En glissant un papier dans la ceinture de mon jockstrap il me ramena à la réalité et me dit les mots suivants : "Voilà la recette de mon repas, au travail salope, va dans la cuisine à 4 pattes sans te retourner, puis tu viendras replacer la tête au même endroit une fois le travail terminer en prenant soin de mettre le minuteur pour la cuisson".
Sans hésitation j'obéissais, l'envie de le voir, son corps comme son visage était intense, mais je connaissais les risques je ne voulais plus les prendre. Après 10 minutes à cuisiner je me rendis compte de la situation, j'étais en jockstrap avec un collier de chien et une laisse, dans ma cuisine en train de préparer un repas à un homme qui me traite comme une lope et dont je ne suis même pas sur de l'apparence physique. Et vous savez quoi ? Et bien j'étais de nouveau en érection... Je me remis au travail sans plus réfléchir.
Une fois le plat au four, je revins à lui comme il me l'avait demandé, mais deux surprises m'attendaient. Je remarquai la première rapidement, il avait pris soin de baisser son pantalon. J'hésitai et il me dit : "Je ne vais pas te dire ce que je dois faire petite pute !" Je m'approchai alors pour le sucer, mais pris soin de juste lécher pour commencer, par chance je savais faire des bonnes fellations. Aucun coup de cravache, je devais bien m'y prendre. Il me tendit alors le poppers : "ça améliorera ta cambrure tu m'en seras reconnaissant". Je ne compris pas ses mots, mais j'obéis, 3 snif et je me remis à sucer plus goulument. Je vis alors mon maître tirer sur deux cordes dans chaque main, je ralentis une cadence et un coup de reins de sa part me rappela à l'ordre puis il lâcha les cordes pour me refaire sniffer. Ma raison s'en alla et je fus très chienne... c'est alors que je sentis une pression se faire sur ma raie, c'était sans doute mon maître qui jouait avec sa cravache... mais cette fois il semblait pénétrait mieux. Tout à coup je vis ses bras partir en arrière et au même moment je ressentis une vive douleur dans mon cul : "Te voilà empaller à ta table basse ma pute ! Je suis gentil j'ai choisi un petit calibre ! Allez montre-moi que tu es bien en te tortillant, mais ne t'arrêtes pas de sucer !". J'avais des difficultés à obéir, mais rapidement j'accélérai la cadence et je finis par prendre beaucoup de plaisir... Je me mis à gémir et à m'empaler de plus en plus fort quand mon maître m'ordonna d'inverser et instinctivement je me tournai pour sucer le gode et laisser mon maître me piloner : "Il va falloir me supplier de te baiser salope..."
- S'il vous plait maître baisez moi !
- Et pourquoi devrais-je le faire ?
- Parce que je suis votre esclave maître !
- Et ?
- Et je ne suis qu'une pute bonne à baiser sans vergogne afin de vous vider les couilles quand bon vous semble. Votre semence et mon or et je ne vis que pour que vous me fécondiez maître !
- Dans ce cas c'est parti !
Il me baisa comme on ne m'avait jamais baisé ! Parfois, ce fut si fort que je pris le gode en gorge profonde ! Il m'insulta de salope, trou à jus, vide couilles et honnêtement il avait raison, la scène était digne d'un film porno. Il finit par se retirer et il cracha tout sur mon cul puis m'ordonna de ne pas bouger. Au même moment, le four se mit à sonner. Il se leva et partit dans la cuisine, me laissant à 4 pattes, plein de sperme, le gode en bouche dans le salon. Il sembla rester un long moment dans la cuisine et je ne pouvais rien voir elle était dos à moi. Et une fois malgré la position de soumission totale, je n'avais jamais eu une érection aussi forte.
Finalement je l'entendis revenir : "Ma petite pute tu as bien bossé aujourd'hui ! Je te laisse te reposer tu pourras te lever dès que j'aurai claqué la porte, tu resteras en jockstrapp jusqu'à ce soir où je te recontacterai pour la phase 3 ! Et je prends tes sous-vêtements, une salope ne met que des jockstrapp pour que son cul soit toujours dispo ! Ciao !"
Et il claqua la porte. Je ne bougeai pas de suite, je me refaisais le film de toute cette histoire, cette fois je n'avais pas éjaculé, mais c'est mots que je lui avais dits raisonnaient encore dans ma tête... Si au début cela m'excitait, rapidement la honte prenait le dessus, je ne voulais pas être ça, ni une chienne, ni une salope, ni un esclave... Il fallait que j'arrête tout ça ! Je finis par lui envoyer un texto, en lui disant que je ne voulais pas aller plus loin, que j'avais laissé mes pulsions prendre le dessus et que je regrettais tout ! J'avais peur de sa colère.
Sa seule réponse fut : "Aucun problème ! Au revoir !"
Charles.lope
charles.lope@laposte.net
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