Premier épisode
Petit rappel de l'épisode précédent : Moi Charles, le garçon BCBG de bonne famille allait vivre sa première expérience de domination. Je me retrouvais à 4 pattes tête au sol, en jockstrapp, chez moi et cet inconnu venait de rentrer en claquant la porte derrière lui.
Je n'osais plus bouger et respirais à peine. Fixant le sol, j'apercevais tout juste le modèle de ses chaussures (une paire de rangers noirs), il semblait me tourner autour, il ne parlait pas, le temps me semblait s'être arrêté. Tout à coup, il me foutu une grosse claque sur le cul en me disant : "on ne dit pas bonjour petite pute ?"
La douleur me fit me raidir, je lâchai un timide "Bonjour." Et bam, une deuxième claque sur l'autre fesse : "Bonjour qui salope ? Et cambre-moi mieux ce cul !"
J'eus du mal à ne pas m'écrouler et je répondais avec difficulté : "Bonjour maître ! Oui maître". Et me voici encore plus humilié avec une cambrure de grosse passive. Je n'avais toujours pas vu le visage de cet homme, mais je n'osais ne rien faire sans y être autorisé.
- Alors salope, que fais-tu dans cette position ?
- C'est vous qui me l'avez demandé maître !
- Et pourquoi avoir obéi ?
- Je ne sais pas maître.
- Tu es sur ? Et je sentis sa main me tapoter le cul.
- Parce que je suis un soumis maître...
- Très bien ! Et que fait un bon soumis ?
- Il obéit maître.
- Exactement ! Maintenant lève-toi sans te retourner, regarde au sol, plaque tes mains sur le mur tout en cambrant ton petit cul et en écartant tes jambes.
Sans hésitation j'obéis instantanément, je me leva et tortillais mon cul pour trouver la meilleure, cambrure. Je ne voulais pas le décevoir et recevoir d'autre coup. En regardant au sol, je pouvais voir la bosse produite par mon sexe sous mon jockstrapp : comment pouvais-je être aussi excité ? Ce n'est pas moi, j'aime le sexe romantique, pas ce genre de pratique perverse...
Perdu dans ma réflexion, je n'ai pas senti que mon maître m'avait placé un morceau de cuir autour de mon cou, relier à une laisse ; c'est une claque sur les fesses qui me reconnecta à la réalité.
- Tu es bien plus présentable ainsi n'est-ce pas ?
- Oui maître !
- Tes petites fesses sont bien rondes, il doit être bon de taper dedans et de s'y fourrer à l'intérieur !
Après les avoir bien tripotés, ainsi que l'ensemble de mon corps, il vient plaquer son bassin contre ma raie, je sentis alors son membre pas très dur, mais déjà grand glisser entre mes fesses. Son corps plaqué contre moi semblé plus potelé que sur les photos, je ne devinais pas réellement la fermeté des muscles. Je voulus me retourner, mais il plaça un flacon sous mes narines en m'ordonna de sniffer 3 fois. Je savais que c'était du poppers, mais je n'avais jamais testé. Je poussai alors un soupir de satisfaction et me mis à tortiller mon cul, j'adorais ce qui m'arrivait et je sentis mon excitation grandir... Mon maître me pincer les tétons, mais je ne captais plus la douleur, j'étais en état de trans. Je ne pensais même plus à me retourner, j'attendais juste ces indications.
C'est lorsque je sentis une traction sur ma laisse que je compris ce qu'il voulait, je descendis doucement pour me mettre à genoux, puis je me retournai afin que ma tête se place en face de son paquet. Il me dit alors : "Ne t'avise pas de lever les yeux ni d'utiliser tes mains salopes !" Par chance le bouton était déjà déboutonné, avec mes dents je fis descendre la braguette et je tirai sur son pantalon pour le faire descendre un peu. Je voulus en faire de même avec son boxer, mais un coup de cravache sur mes fesses me fit comprendre de ralentir la cadence. Il place à nouveau le flacon sous mes narines et je repris 3 shoots. Instinctivement j'écartai mes jambes pour mieux m'ouvrir et plaqua mon visage contre son boxer et me mis à le gober à travers le tissu. Mon maître glisser sa cravache entre ma raie et me filer des coups sur les fesses et je me cambrais de plus en plus tout en dévorant son sexe de plus belle. C'est alors qu'il sortit son sexe, m'attrapa par les cheveux et me dit : "tu vas voir comment je traite une bouche de lope comme la tienne !" Il se mit littéralement à me baiser la bouche ! Lorsqu'il sentait que j'avais des hauts le coeur il sortit son sexe me mettait un bon coup de cravache sur les fesses et repris le travail. Je ne saurais pas dire le temps que cela a duré, mais ce fut certainement long.
"Ouvre grand et n'en perds pas une goutte !" Et un jet puissant me remplit la bouche, des gouttes étant tombées par terre, il me plaqua le visage au sol avec son pied pour que je les lèche toutes. Mais c'est avec docilité que je me mis au travail. Lorsqu'il leva son pied, il referma son pantalon et me dit : "Une vrai lope, mais qui manque d'éducation. Ne t'inquiète pas entre mes mains d'ici quelques semaines tu seras une bon vide couille pour les vrais Mâles ! Tu restes à 4 pattes comme ça jusque que je te sonne ! À plus ma pute".
Et il sortit. Je ne bougeai pas d'un millimètre, je ne pensai à rien. Il me fallut quelques minutes pour sortir de mon état de trans. Je commençai à sentir mes muscles se raidir, mes fesses me faisaient de plus en plus mal à cause des coups de cravache et ma mâchoire semblait décrochée. Puis mon esprit revint à lui, que venait-il de se passer ? Je venais de vivre une expérience incroyable. Je voulais me relever, mais mon téléphone n'avait pas sonné. Qu'est-ce que cela pouvait faire, il ne le saurait pas ? Puis je me dis qu'il pouvait être derrière la porte et si je bougeai j'allais morfler. Je fixais toujours le sol, mais du coin de l'oeil je pus voir qu'il n'avait pas fermé la porte ! Et si quelqu'un passait ? Je ne savais pas quoi faire, j'étais pétrifié de peur qu'il ne soit pas parti et que quelqu'un passe. Heureusement, mon téléphone sonna et je me précipitai vers lui : "Je sais que tu ne t'es pas levé je viens juste de partir, tu feras un très bon esclave ! Je te recontacte vite tiens-toi prêt !".
J'étais sous le choc, je voulais lui répondre que je ne pensais pas vouloir continuer, mais j'étais mort de fatigue... Je sentis que mon sexe était humide et je me rendis compte que j'avais éjaculé dans mon jockstrapp. J'avais donc pris réellement du plaisir... Je n'avais plus la force de penser. Le claquement de la porte d'immeuble me rappela que je n'avais toujours pas fermé la porte ! Juste à temps je la fermai, puis j'allai me coucher sans réfléchir à ce qu'il venait de se passer.
Comment aurais-je pu imaginer ce qui m'attendait le lendemain...
Charles.lope
charles.lope@laposte.net
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