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Dans ce troisième volet des aventures de Vianney, celui-ci prend soudainement conscience de ses nouvelles envies. L'histoire prend aujourd'hui un tournant plus "hot" et "sexuel" qu'auparavant, j'espère que cela vous plaira.
Chapitre -03 : Les débuts d'une tapette
Sa bite était à un centimètre de mon visage. Elle était longue. Epaisse. Grosse. Imbibé de sang. Noire. Majestueuse. La bite parfaite. La bite idéale. Comment pouvais-je ne pas la regarder ? Comment pouvais-je ne pas y penser ? Comment pouvais-je ne pas la vouloir ? Moi. Vianney. Futur marié, mais peut-être aussi futur pédé. Et comme il le savait depuis le début, je la voulais. J'avais besoin de l'avoir. J'ai instinctivement commencé à bouger. Je ne me contrôlais plus. Je ne savais plus ce que je faisais et, lentement, j'ai commencé à me pencher en avant, quand il m'interrompu : "Tu es sûr de toi ?"
J'ai fait un petit oui signe de tête.
Il a continué : "Non, non, non, non ! J'ai besoin de savoir avec certitude. Que tu saches à quoi t'attendre. Tu es venu ici en pensant que j'allais te faire chanter n'est-ce pas ? Mais je ne fais pas ça moi. Quiconque me suce la bite doit le faire de son plein gré. Il doit en avoir envie. Mais je te préviens, quand tu le feras, tu m'appartiendras pour toujours."
Je l'ai regardé et de lui dit : "Je veux te sucer la bite. S'il te plaît."
"Tu comprends qu'après que tu m'aies sucé la bite, j'aurai envie de baiser ton cul ?"
"Oui", répondis-je excité.
"Alors tu veux sucer ma bite de Noir et prendre ma longue queue raide dans ton cul c'est bien ça Vianney ?"
Comme il s'en doutait, je le voulais. Je dis ce qu'il attendait : "Oui."
"Dis-le-moi Vianney."
"Je veux te sucer et ensuite que tu me baises comme tu le voudras. Je veux que tu fasses de moi ce que tu veux, comme pour Adrien."
Il a ensuite déplacé sa bite vers mes lèvres et j'ai doucement ouvert la bouche avec soumission. Qu'étais-je en train de faire ? Qu'avais-je dit ? Je ne savais pas à quoi m'attendre, mais sa bite avait un goût de sueur sucré-salé qui avait une saveur addictive. Je compris alors que je ne pourrais plus m'en passer. J'ai pris son gland dans ma bouche et je l'ai sucé lentement, petit à petit, en prenant soin d'en avaler davantage à chaque fois. Elle était très longue, ce ne fut pas simple. Je l'ai entendu dire : "Quel goût à ma bite alors suceur de bites ?"
"Elle est bonne", dis-je sans laisser sa bite quitter ma bouche. Comme je l'ai pris de plus en plus dans la bouche, il a poussé de légers gémissements de plaisir et j'ai immédiatement compris le pouvoir que les femmes ont quand elles sucent des bites. L'excitation de donner un tel plaisir était énorme. Tout ce que je voulais, c'était le faire jouir, pour pouvoir goûter son nectar. J'ai commencé à monter et descendre plus vite, en prenant la moitié de sa bite de mammouth dans ma bouche. Quand j'ai repris le mouvement, on a frappé à la porte.
Malik dit alors : "Entre." Je me suis figé et j'ai essayé de me relever mais il m'ordonna, sa main sur ma tête : "Continue de sucer salope." Que pouvais-je faire ? J'ai donc continué à sucer pendant que la porte s'ouvrait dans mon dos.
J'ai entendu un rire : "Oh je vois que tu as un nouvel enculé."
Malik a répondu : "Oui. Apparemment, il est fiancé. C'est un putain d'hétéro !"
"Vraiment ? Quoi qu'il en soit, quel est le programme de ce soir ?"
Malik m'a tenu la tête et a commencé à me baiser la bouche, comme il l'avait fait avec Adrien aux toilettes l'autre fois. "Soirée poker et ensuite club."
"Ça sonne bien", disait le type inconnu en riant et en fermant la porte. Malik s'est mis à pousser sa bite plus profondément dans ma bouche, puis il éjacula. J'ai essayé d'avaler tout son jus comme le faisait Adrien, mais c'était trop et quelques gouttes ont coulé par terre. Malik soupira en disant : "Tu gâches mon sperme enculé ?"
"Non", répondis-je rapidement et, sans la moindre instruction, je tombais par terre pour récupérer le sperme que j'avais perdu. Je léchais tout sans en perdre une miette. J'aurais dû être ridiculisé, mais ça me semblait naturel. J'étais bien.
Après avoir récupéré le sperme, Malik me dit d'enlever mes vêtements. J'ai obéi, en sachant très bien ce qui allait suivre.
Malik sourit et dit : "Tu penses que ma bite est prête pour le 2e round ?"
"Non", lui répondis-je, je me suis donc remis à genoux et j'ai repris son pénis mi-dur dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, il est redevenu aussi gros que toute à l'heure. Il a demandé : "Penche-toi sur le canapé cul en évidence, salope !"
J'ai obéi. Sans broncher je me penchais en faisait ressortir du mieux que je le pouvais mon cul et mon petit trou vierge.
"Dis-moi ce que tu veux que je fasse maintenant."
J'ai hésité, mais je lui ai finalement dit : "Baise-moi, s'il te plaît."
Malik se mit à rire et dit : "Vraiment, ou est-ce que tu dis des conneries ? Convaincs-moi que je devrais te donner le privilège de recevoir ma bite noire dans ton petit rectum blanc de vierge."
Sachant que j'étais perdu et que je voulais désespérément sa bite dans mon cul, je l'ai supplié, les mots venant tous seuls : "Je t'en prie, baise mon trou du cul vierge avec ton énorme bite de noir. Je veux te sentir en moi. Je veux t'appartenir. Je veux devenir le pédé que tu voyais en moi. Éclate mon cul et baise-moi comme une salope, comme la salope que je suis au fond."
"C'est beaucoup mieux comme ça !" dit-il lorsqu'un autre coup à la porte interrompit la destruction imminente de ma prunelle anale. "Entre."
Cette fois-ci, je regardais la porte à l'ouverture. Un autre Noir rentra. Il m'a souri et a dit : "Hey Malik, qui est ce beau jeune homme ?"
"Vianney, c'est sa première fois en tant que traînée affamée de sperme. Il est fiancé le con.", répondit Malik en lubrifiant sa bite dure.
"Sympa", lui répondit-il. "Il paraît que c'est soirée poker ?"
Malik a bougé sa bite vers mon cul vierge et a grogné en avançant et en disant "Ouais, dans une heure." Sa bite a glissé lentement dans mon cul serré.
Je gémissais de douleur tandis que sa grosse bite s'enfonçait plus profondément en moi. Le type a dit : "Alors, quel est le nom de ta copine... Vianney c'est ça ?"
J'ai grogné, j'avais mal et j'avais du mal à articuler "Pauline", tandis que sa bite dure glissait plus profondément en moi. Puis il s'arrêta et demeura là quelques instants sans bouger. Sa bite me remplissant aussi profondément que possible. J'étais comblé.
Puis Malik a demandé : "D'ondine sur ma bite." Je ne pouvais pas l'imaginer plus profond, mais au fur et à mesure que je reculais, elle s'enfonçait. Malik gémit : "Tu es une jolie petite salope. Tu aimes ma bite, n'est-ce pas ?"
L'autre gars continuait à regarder. Alors que je me déplaçai d'avant en arrière, la douleur disparut lentement et un plaisir unique la remplaça et je gémis : "Oui, j'aime ta bite."
"A qui tu appartiens ?"
"A toi", ai-je répondu en bougeant encore plus vite sur sa queue.
"Qu'est-ce que tu es ?"
"Une pédale. Une PUTAIN DE TAPETTE."
"Et à qui est cette tapette ?"
"C'est ta tapette", ai-je gémi en adorant sa bite au fond de moi. J'ai levé les yeux et j'ai vu une bite au-dessus de mon visage et, sans instruction, je l'ai prise dans en bouche.
Malik s'est alors emparé de mes hanches et a commencé à me baiser plus vite. Il me laminait le cul. "Oh ouais pédé, t'es un bon petit pédé. Quelle petite tapette ! Une petite tapette si chaude."
Alors que je me suçais sur une bite sans nom, je l'ai entendu dire : "Il fera un bon ajout à tes salopes Malik."
J'ai senti un liquide chaud me remplir les intestins. Il n'arrêtait pas pour autant de me baiser et j'étais déçu quand sa bite se retira de mon cul. J'ai continué à sucer la bite de l'homme sans nom jusqu'à ce qu'il se retire et pulvérise une quantité importante de sperme sur mon visage et mes cheveux.
Malik s'habillait et dit : "Enculé, va te laver."
Humilié, je me suis levé et j'ai commencé à chercher mes vêtements et quelque chose pour nettoyer mon visage. "Non, non, non, non ! Laisse le sperme sur ton visage jusqu'à ce que tu ailles aux toilettes."
"Mais..." ai-je commencé.
"Et ne me contredis jamais, connard !", dit-il en me jetant une serviette.
Humilié, j'ai enroulé la serviette autour de mon corps nu. Malik me dit alors : "La salle de bain est dans le couloir, quatre portes à ta droite."
J'ai quitté la chambre et je suis entré dans le couloir où deux gars traînaient. Par honte, j'ai gardé la tête baissée jusqu' à ce qu'un type m'arrête et me dise : "Tu as du sperme sur le visage et les cheveux."
Sans rien répondre, j'ai continué, tandis que leurs rires remplissaient le couloir. Je suis allé dans la salle de bain, je me suis lavé le visage et les cheveux et je me suis regardé dans le miroir. Comment allais-je expliquer ça à Pauline ? Je suis retourné dans la chambre de Malik aussi vite que j'ai pu.
Je suis entré tandis que Malik préparait la table pour le poker. Il leva les yeux et me dit : "Tu peux partir. Si tu as besoin de te vider, tu peux aller dans la chambre 112 et dire que Malik t'a envoyé. Si tu y vas, tu verras que tu n'auras pas de pipe, mais tu pourras baiser quelqu'un à la place. Maintenant casse-toi, des vrais mecs viennent jouer au poker."
Je me suis habillé et je suis sorti du bâtiment. J'avais décidé de ne pas aller à la chambre 112, mais ma bite voulait le contraire et, comme au Burger King la dernière fois, elle prit le dessus sur moi. Je me suis donc dirigé vers la 112 et j'ai frappé à la porte.
J'ai entendu une voix dire : "Qui est-ce ?"
J'ai répondu : "Euh, Malik m'a envoyé."
"Entre." répondit la voix.
Je suis entré et j'ai vu Austin Miller. C'était l'attaquant vedette de l'équipe de football du campus. Je l'ai vu se lever et me dire : "Alors tu es là pour me baiser ?".
"Euh..." ai-je commencé gêner.
Il sourit : "Ne t'inquiète pas. Tout va bien. Je suis une des salopes de Malik, comme tu dois l'être maintenant. Chacun de nous a des rôles différents."
"Euh..."
En riant, il m'a demandé : "Tu me parais inquiet ! Quel est ton nom ?"
"Vianney."
"Déshabille-toi", dit-il en retirant son jogging. Il m'a donné du lubrifiant et m'a dit : "Baise-moi sauvagement. Viens en moi. J'adore me faire baiser."
Gosexo
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