Premier épisode
Chapitre -02 : Des textos chauds
Le lendemain matin, je me suis réveillé avec un mal de tête et de vagues souvenirs, rien, de bien concret. Je suis arrivé à mon premier cours en retard, mais quand je me suis assis et que j'ai vu Adrien quelques rangées devant moi, tout m'est revenu en un instant. Adrien m'avait sucé comme jamais personne auparavant. Cette pensée m'a fait immédiatement bander. Je l'ai donc discrètement repositionné dans mon pantalon et j'ai essayé de me concentrer sur ce que disait le prof, M. Adams. Quelques minutes après, mon téléphone portable a sonné dans l'amphi. J'ai eu honte, je me suis excusé et je l'ai rapidement mis sur vibreur. Bien sûr, comme nous le faisons tous, j'ai rapidement regardé le message une fois que le professeur s'est de nouveau retourné. J'ai lu la notification, et ce n'était qu'une image avec une bite noire dessus. Je l'ai rapidement rangé pour que personne ne puisse la voir. Je n'ai pas pu m'empêcher ensuite de jeter un rapide coup d'oeil. Pendant que je regardais, mon téléphone vibrait à nouveau.
Cette fois, un texte disait : "Comment va mon futur suceur de bites ?"
J'ai mis le téléphone dans ma poche en pensant au message à la façon dont j'allais m'y prendre pour me sortir de ce pétrin. Le cours s'est terminé et je suis sorti le plus vite possible pour ne pas affronter Adrien. Pauline venait de m'envoyer un texto disant qu'elle était libre pour le déjeuner me donner rendez-vous au Burger King du coin. Je lui ai envoyé un SMS et j'ai commencé à marcher en direction du fast-food. Mon portable vibrait de nouveau. C'était le même numéro étrange.
J'ai rapidement appuyé sur la notification pour pouvoir la lire : "Prêt à te soumettre ?"
Je soupirais et je continuais à marcher.
Trente secondes ne se sont pas écoulées quand un autre SMS est arrivé. Je l'ai lu rapidement. Encore le même numéro. "Ma bite raide attend ta bouche vierge."
Mon visage devait sûrement être rouge maintenant. Je regardai autour de moi, ne voyant rien d'inhabituel, je continuai à marcher.
Au moment où j'étais en vue de notre lieu de rendez-vous, un autre message est arrivé. Je l'ai regardé et il disait : "Si ta bite est dure en ce moment, et je sais que c'est le cas, c'est que tu es une tapette... ma tapette." Evidemment, ma bite était dure, mais je n'étais pas pédé, du moins c'est ce que je pensais. J'ai mis le téléphone dans ma poche et je suis entré dans le restaurant. Pauline était déjà là et je me suis assis avec elle. En la regardant, toute mon anxiété s'est envolée. Je l'aimais. Je n'étais pas gay. J'étais ivre hier soir, rien de plus. C'est ce qui explique mon comportement. J'ai ignoré les 7 vibrations pendant la demi-heure suivante. Pourtant, quand ma belle fiancée est allée aux toilettes, j'ai tout de suite vérifié mes messages :
"Tu penses à ma bite en ce moment ?"
"Entre tes lèvres ?"
"Dans ton cul blanc et serré ?"
"Tu as vu Adrien en cours aujourd'hui ?"
"Il m'a dit que ton sperme a bon goût et qu'il aimerait encore avaler ta douce semence."
"Est-ce que la jolie fille avec qui tu manges est une suceuse de bites comme le petit Adrien ?"
J'ai haleté en regardant autour de moi. On ne le voyait nulle part. Pauline ne revenant pas, j'ai lu le dernier message : "Si tu veux, Adrien est dans une des cabines des toilettes, il attend ta bite."
Je sais que j'aurais dû ignorer cette option, et que j'aurais dû rester là, avec ma fiancée, mais je ne le pouvais simplement pas. Ma bite s'est instantanément déchaînée dans mon pantalon et a pris le pas sur mes pensées. Elle contrôlait mon cerveau, mes pulsions, mes réactions et mes envies. J'ai attendu que Pauline revienne à la table et je me suis empressé d'aller aux toilettes. Je suis entré et j'ai directement murmuré : "Adrien ?"
"Ici", répondit-il.
J'ai ouvert le box et fermé la porte derrière moi. Il a tout de suite commencé à enlever ma ceinture et à enlever mon pantalon.
Ma bite s'est libérée d'un coup et il l'a vite prise dans sa bouche. Je gémis instantanément. Cette fois-ci, il a pris son temps, allant lentement et faisant quelque chose que je ne peux même pas expliquer avec sa salive. Sa bouche ressemblait à une chatte mouillée. Finalement, affolé par le sperme qui montait, je lui ai saisi la tête et, comme je le vis hier, j'ai baisé sa bouche. Je l'ai claqué puis j'ai enfoncé presque toute ma queue dans sa bouche. Il a tout avalé et s'est ensuite assis en léchant ce qui restait. Après avoir terminé, j'ai vite remonté mon pantalon. Adrien me sourit pour la première fois et dit : "Merci pour ton sperme."
J'ai ri de l'absurdité de la phrase, mais je répondis néanmoins :"À ta santé Adrien !"
Je commençais à me retourner quand mon téléphone vibra de nouveau. J'ai regardé le message : "Est-ce que ma pédale a fini de sucer ma nouvelle pédale ?"
J'ai regardé Adrien quand il me dit : "Voici mon numéro. S'il te plaît, envoie-moi un SMS chaque fois que tu as du sperme pour moi."
Bizarrement, j'ai pris son numéro et lui dit : "Ça ne me rend pas gay pour autant. Je vais me marier."
"Je sais", dit-il en souriant. Visiblement, il ne me croyait pas.
"Non, sérieusement, je suis fiancé."
"Ok", a-t-il enfin dit debout. "Je dois aller à mon prochain cours, et je suis supposé me retrouver au bureau du professeur Adams à 15h30 pour une petite séance particulière."
"M. Adams, notre professeur de comptabilité ?"
"Oui. Le seul et l'unique", dit-il enfin.
"Mais il a 65 ans !"
"68 en fait, mais son sperme est délicieux", explique-t-il. "Merci encore pour le tiens en tout cas. Il m'a comblé la faim que j'avais." Il est ensuite parti.
Je me suis lavé la bite, je suis retourné à ma table et là, j'ai failli me tirer une balle. L'homme noir était à la table avec ma fiancée. Je suis allé à la table et il m'a dit : "Salut, Vianney, je viens de parler à ta fiancée."
"Oh ! Je vois ça oui.".
"Tu ne devrais pas laisser une fille aussi sexy seule si longtemps. Qu'est-ce qui t'as pris autant de temps voyons ? Tu devais avoir une sacrée envie !" demanda-t-il avec une certaine fausseté.
Evidemment, j'ai menti : "Oh, je suis tombé sur un gars de mon cours de marketing et on a parlé du contrôle de la semaine prochaine. Je n'ai pas vu le temps passer."
Il a ri et a dit : "Oui, je suis sûr que tu l'as vu ce gars." Il s'est levé et a dit : "Je dois aller en cours, je te vois ce soir, Vianney, à 18 heures, n'est-ce pas ?"
"Pardon ?", répondis-je, "Je ne me souviens pas avoir accepté un rendez-vous à cette heure."
"Mais si voyons ! Ta chérie doit travailler sur un projet ce soir d'après ce qu'elle m'a dit, alors je lui ai demandé si tu pouvais venir jouer au basket avec nous, on est à court de gars. Et visiblement cela pourrait t'intéresser."
"Oh, je..." ai-je commencé.
Je ne supportais plus ses sous-entendus, mais il continuait : "Nous allons juste faire bondir quelques balles. Rien de bien sorcier. A ce soir alors." Il nous a fait signe et est parti.
Je me suis assis et Pauline me dit : "Il est gentil ton copain."
"Bien sûr", répondis-je, "Qu'est-ce qu'il t'a dit d'ailleurs ?"
"Rien. Vraiment rien je t'assure. Il t'a rencontré à la fête hier soir et vous avez partagé un verre ou deux. Apparemment vous avez pleins de points communs. Il a dit qu'il était nouveau ici et qu'il attendait avec impatience de rencontrer de nouvelles personnes."
"Oh", dis-je. Mon téléphone a vibré. Encore une fois. On a fini le déjeuner et elle est partie en cours. Je l'ai regardé partir et j'ai vérifié mon téléphone. Je devais mettre fin à tout ça avant que Pauline ne le découvre. Il ne fallait pas que je mette ma relation en danger. Le premier message était : "Ta fiancée est très belle. Tu crois qu'elle sait que tu me suceras la bite dans quelques heures ?"
Le second était simplement une photo d'Adrien me suçant la bite.
Etait-ce une forme de chantage ? Putain de merde. Comment allais-je m'y prendre ? Je lui répondis : "Il faut qu'on parle. Absolument. Tout ceci doit cesser."
Quelques minutes plus tard, alors que je rentrais dans ma chambre, il m'a répondu : "Bien sûr, suceur de bites. Je t'enverrai mon adresse plus tard. Sois là à 18h exactement ce soir."
J'ai répondu : "Non, laisse-moi tranquille, qui que tu sois."
Il répondit presque instantanément : "Viens à mon dortoir à 18h et on en discutera." Je soupirais et je me suis dit que c'était la seule façon d'en finir. Il m'a envoyé le numéro du dortoir et je suis rentré faire une sieste. Je me suis réveillé à 17h et il n'avait pas envoyé de nouveaux messages. J'étais étrangement déçu. J'ai regardé des matchs à la télé et puis je me suis rendu sur place. J'avais quelques minutes d'avance.
Je suis entré dans le dortoir et je suis monté au deuxième étage. Là où se trouvait sa chambre. J'ai croisé quelques autres gars qui semblaient tout sourires. Que savaient-ils ? Que pensaient-ils ? Me faisais-je simplement des idées ?
J'ai frappé à la porte, le nom de "Malik" était inscrit sur une pancarte à côté de la porte, était-ce lui ? Etait-ce celui qui me harcelait ? Je le pensais en tout cas. Il me dit : "Entre." Je suis entré et il était sur le canapé en train de jouer à la Xbox, tout seul. J'ai fermé la porte et il m'a dit : "Pile à l'heure. C'est bien Vianney."
Immédiatement, je rentrais dans le vif du sujet : "Il faut que ça s'arrête."
"Mais quoi donc ?" demanda-t-il, d'un air sournois.
"Tes textos. Parler à ma fiancée. M'espionner. M'envoyer Adrien. Tout !"
Il se leva, enleva son pantalon de jogging et dit : "Regarde pédé. Tu es ici. Tu es venu ici en sachant ce qui allait se passer. Ne t'avais-je pas prévenu ?" Il s'est approché de moi, à moitié nu. Il mit ses mains fortes sur ma tête et appuya si bien que je finis par à genoux. "Regarde cette délicieuse et énorme bite. Elle n'attend que toi. Dis-moi tout de suite que tu n'en veux pas. Dis-moi que ta bite n'est pas raide dans ton pantalon. Et là, et seulement là, on arrête tout et je te laisse reprendre ta vie d'hétéro en manque."
Gosexo
Autres histoires de l'auteur : D'hétéro à tapette | Comment ma petite amie m'a fait devenir gay | Transformation d'un hétéro