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Il est insatiable
Le lendemain au retour de ses cours, Abigael se doucha et se présenta dans ma chambre en boxer, il ferma la porte et se mit nu.
- En forme Marco ?
- Pour toi, oui.
- Mon cul veut ta queue et le tien est-il prêt pour ton étalon ?
- À genoux et suce-moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il me mange les couilles et la queue, il est vraiment affamé de sexe. Maintenant qu'il en a trouvé, il ne va pas s'en priver, avec une bouche et un cul pour son gros machin, il gémit des mots dans sa langue, en me disant des phrases de contentement, sûrement de la langue de son village natif, me voilà en train de prendre le maximum de sa queue en bouche, à fond dans ma gorge, lui enfonçant deux doigts dans le rectum, il éjacule sans prévenir une quantité de sperme accumulée depuis la veille.
Il se met a quatre pattes sur le lit, m'offrant son petit cul jusqu'a ce que ma queue s'y introduise au complet, il est prêt à connaître mon coté masculin, l'enculant à fond, comme j'aime faire sortir et y retourner d'un coup sec, a ma grande surprise.
- Oui, tu es un super mâle, continue ! J'aime te sentir en moi, défonce moi !
- Pourquoi je me gênerais ? Ton cul m'appartient, prends-le.
- Oui, je suis tout à toi, j'adore quand tu sors et que tu me la remets virilement dans le trou, défonce-moi !
- Continue, oui continue, je vais jouir.
En me disant cela, c'est moi qui éjacule en lui. Restant ma queue en lui, il se masturbait et a joui pour la deuxième fois dans la foulée. Ce fut trop rapide, mais avec une ambiance imprévue. Ça s'est fait trop rapidement.
- Peux-tu me dire quels sont les chambreurs qui aimeraient savourer, celui que tu appelles l'étalon ?
- Je ne peux pas te dire cela comme ça.
- Tu me ferais plaisir et aussi tu lui ferais plaisir à lui aussi.
- Essaye sur Pascal, la troisième chambre en montant, il a un super beau petit corps musclé et un super beau cul pour toi.
- Penses-tu qu'il acceptera ?
- Si tu sais bien l'embrasser, sucer sa belle queue, lui gruger le gland et lui manger son anus, il acceptera de la prendre en douceur vu la grosseur, peut-être pas au complet, mais oui !
- Je le sais trop bien que dans mon village, c'est un problème et les filles ici, refusent sa queue, la trouvant trop grosse et trop longue pour leur vagin.
- Sûr que ça fait peur en la voyant, mais les gais fantasment sur un si beau morceau.
- Je vais devoir devenir gai pour les prochaines années que je vais passer au Canada.
- Tu ne trouves pas ce dont tu as besoin.
- Pour cela, oui, vous êtes plus pervers les gais et c'est super !
- Où as-tu appris à te vider avant de te faire pénétrer ?
- Des vidéos sur mon ordinateur, dans mon village après avoir enculé, nous sautions simplement dans le lac pour nous laver.
- Mais je connais un petit noir, que je vois de temps en temps, je peux l'inviter un de ces soirs, il est super chaud et il ne crachera pas sur ta queue.
- Super ça !
- Reviens ce soir vers huit heures j'aurai un petit mec pour toi et quand je vais te le présenter, ne lui serres pas la main, mais embrasse-le direct sur la bouche et retiens-le sur toi, s'il est de ton goût.
- Parfait, je dois m'habituer a embrasser des hommes.
- Tu vas voir qu'en embrassant, tu vas bander plus vite.
Je suis allé voir le beau Pascal après son départ. Je lui ai demandé s'il aimerait rencontrer Abigael et sa super queue. Je lui racontais qu'il en avait une plus grosse que la mienne, il ne me croyait pas, mais voulait bien le rencontrer.
Vers sept heures Pascal est venu me voir, me disant que Bruno voulait être là, si je rencontrais un autre que lui, je lui dis simplement, un de plus, cela sera encore plus chaud, à quatre de sera le paradis sur terre.
Abigael, Bruno, Pascal et moi, se sera l'enfer ou le paradis du soir, j'ai sorti des condoms, du lubrifiant et de la bière fraîche du frigo. En plus ma caméra pour des bonnes photos.
Quelques minutes plus tard, Jeremy vient me voir.
- J'ai à te parler Marco.
- Oui Jeremy que veux-tu ?
- Mon père vient de me téléphoner pour me dire que mon frère ainé Ludovic s'était tué en voiture.
- Mes sincères sympathies, mon gars.
- Merci, mais mon père exige que je retourne en France pour succéder à mon frère dans notre compagnie.
- Je te comprends, pas de problèmes. Quand penses-tu partir ?
- Demain matin par Air France à 9 h 45
- Je vais te rembourser le trop-perçu du mois.
- Pas nécessaire, j'apporte juste mon ordinateur portable et quelques vêtements, tu donneras la différence au beau petit Pascal pour me faire pardonner, ou à d'autres. Car je ne suis pas sûr de revenir, j'espère bien convaincre mon père de me laisser terminer mon cours ici.
J'ai averti de la situation aux chambreurs et du même coup averti que ce serait une soirée tranquille, à la grande déception d'Abigael.
CeKeDuBonheur
Je suis allé voir Pascal seul, pour lui faire comprendre qu'il devrait aller voir Jeremy, il accepta.
- Salut Jeremy,
- Entre ; ne reste pas sur le seuil de la porte.
- J'ai su pour ton frère, cela ne doit pas être facile.
- Nous n'étions pas très proches l'un de l'autre, tu sais. Mais là mon père exige que je retourne prendre sa place dans la compagne familiale.
- Je te souhaite bonne chance et j'espère que tu garderas un bon souvenir du Québec.
- Mon meilleur souvenir, ce serait de baiser avec toi, ce soir.
Il ferma la porte et se colla sur moi pour m'embrasser à pleine bouche et me soulever pour m'étendre sur le lit.
- Alors ça te dit de me donner un bon souvenir de toi ?
- Pourquoi pas ? J'ai été méchant avec toi.
- Non, du tout, ce ne fut qu'un malentendu.
- Je le sais trop bien, c'est moi qui ai mal saisi tes paroles.
- Écoute je ne suis pas gai, j'ai une fiancée à Paris, mais je dois être bisexuel, car ton beau petit cul me donne la trique, je veux te prendre, si tu acceptes et je te donnerai ce que tu aimes également.
Il se mit à me lécher les oreilles et les mamelons, en les mordillant, jusqu'à mon nombril. Je gémissais sous ses caresses, avec une super érection. Il me mit à poil et goba ma queue entière dans sa bouche chaude tout en me massant l'anus de ses doigts qu'il entrait en moi. Il se mit à me manger le cul de sa langue fouineuse.
- Arrête ! Tu vas me faire jouir.
Il s'étendit à mes côtés, retira son boxer pour se faire lécher sa belle queue, mais aussi son gland et ses grosses couilles bien pendantes toutes rasées, le faisant gémir à son tour. Puis, se retournant en soixante-neuf, pour se croquer mutuellement.
- Cesse, sinon c'est moi qui vais jouir. Prenons notre temps si tu veux bien.
Il sortit une bouteille de vin et nous avons bu quelques verres. Il me demanda si j'aimerais être pénétré et vice versa.
Je me suis mis à quatre pattes sur son lit et aussitôt j'ai senti sa langue en moi, pendant plusieurs minutes. Il me retourna sur le dos et se mit en position face-à-face, retenant mes deux jambes sur ses épaules et glissa sa grosse queue dans mes entrailles avec un sourire qui en disait long sur son plaisir à me pénétrer. Son côté masculin le rendait macho-man avec un élan persuasif. Il "la" rentrait bien à fond et dans un grognement. Je sentais sa queue grossir à chaque pénétration. Il a éjaculé un flot de sperme en moi. Il se laissa glisser à mes côtés, satisfait de lui. Je me suis penché sur sa queue semi-bandée pour lécher son gland tout rouge, plein de son sperme, ce qui le fit rebander, raide et sensible. Il se mit à gémir fortement et à se faire manger après son éjaculation.
Après quelques minutes de repos, il m'offrit avec insistance son cul, que je n'ai pas refusé, il prit encore un peu de vin et il s'étendit sur le dos, se remontant des deux jambes sur son torse, sa rosette appelle ma queue. Je ne me suis pas retenu pour le chausser jusqu'à la garde, en y sortant et y rentant à fond. Je voyais qu'il aimait ça, d'après son visage souriant. Il se mit à se masturber en même temps, ce qui lui faisait serrer son anus sur ma queue au point de me faire jouir en lui de plusieurs jets de sperme. Je me suis retiré, mais il continuait à se masturber de plus belle.
- Oui, mon beau Pascal, je vais jouir !
J'ai pris sa queue en bouche pour le faire juter et j'ai avalé tout ce qu'il avait à donner.
- Étends-toi, je veux moi aussi goûter à ton bon jus de Canadien ; laisse-moi te sucer et avaler le meilleur de toi.
- Oui et avale le bon sirop d'Érable québécois.
Il m'a sucé jusqu'à ce que je lui donne trois bons jets de mon corps.
- Je te remercie Pascal, je ne t'oublierais pas si tôt.
- Ce fut un grand plaisir pour moi de me réconcilier avec toi de cette façon.
- Ne part pas tout de suite, j'ai à te parler, je pars demain matin et je veux que tu me donnes ton adresse de courriel.
- Bien sûr.
- J'apporte juste mon ordinateur portable, celui sur mon bureau et tout ce que je vais laisser dans ma chambre est pour toi, je t'en fais cadeau, je vais aussi laisser du linge. Si c'est ta taille garde-le ou donne-le à qui tu voudras.
- Mais c'est beaucoup trop tout ça, je ne peux pas, voyons.
- C'est à toi, dis oui, cela me fait plaisir de t'aider. Car vois-tu je ne sais pas si mon père va accepter que je revienne finir mon cours ici. Profites-en et si je peux revenir, nous allons bien nous arranger je crois.
- D'accord, mais que va dire Marco ?
- Je vais lui raconter cela tantôt. Je te demande juste de garder contact par email.
JeanMarc
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