Premier épisode
Nous voilà descendus du train. Presque seuls dans la rue.
" Tu t'fais souvent niquer ? "
" Oui, j'aime bien ça. J'ai eu trop envie quand je t'ai vu dans le train.
" T'es majeur?
" Oui... J'suis en coloc et j'peux pas recevoir. C'est pas facile et j'ose pas toujours aller chez les mecs.
" T'as rien à craindre. J'ai envie de baiser moi aussi. On passe la nuit ensemble et demain matin, j'te raccompagne à la gare. Ca y est, on arrive. "
A peine la porte fermée, le petit a passé sa main sur ma braguette. ( Quand je disais que ce genre de petits jeunes sont chauds archi bouillants....)
" Toi, t'es bien chaud. T'inquiète, tu vas avoir toute la nuit pour me tâter les couilles. "
Et sans attendre, il commence à défaire les boutons de ma braguette.
" Suce la, passe bien ta langue dessus! "
Aussitôt à genoux, affamé, ouvrant la bouche au maximum pour gober ma pine, ravi de voir mon beau matos, il me décalotte entièrement le gland. Je dois avouer que je suis assez bien équipé niveau sexe. Moins longue qu'un pote black qui vient en boite quelquefois avec moi. Bien épaisse et surtout bien raide, avec un gland magnifique qui ne demande qu'à dégorger.
Laurent, le petit jeune, ne pensait surement pas que j'avais une queue comme ça. Je l'ai vu, à ses yeux, émerveillé, lorsque je l'ai sortie de mon boxer.
Putain, il suce trop bien le salaud. Un vrai plaisir avec ce mec.
" Lèche moi les couilles"
Il s'applique, me râpe bien les burnes à grands coups de langue, cherche mon trou avec sa main douce.
" On va se foutre à poils, ce sera plus pratique."
Je découvre Laurent: un beau corps de jeune homme, une peau fine, lisse, sans le moindre poil. Une paire de fesse rebondies, à damner un saint, un véritable appel à baiser pour un actif comme moi. Et un sourire ravageur en voyant mon envie. Son sexe est tendu lui aussi, sublime, délicat, au dessus de deux belles couilles lisses pleines de promesse.
Il se rapproche de moi et vient caresser mes pectoraux poilus puis, aimanté par mon corps, tout en continuant, suce, aspire mes tétons. Putain que c'est bon...
" Suce moi la bite, j'ai encore envie"
Il s'exécute sans problème, ravi, heureux de s'en régaler. Je décide de lui prendre la tête et de lui baiser la bouche. Petit à petit, je lui envoie ma pine au fond de la bouche puis, au moment ou il semble prêt, lui l'envoie jusque dans les amygdales.
Il est à la limite de régurgiter mais ne renonce pas, par l'envie de la prendre en bouche au max de ses possibilités, d'approcher ses lèvres de mes couilles. Il est à fond dans son trip.
Lorsque je le relève, il sourit. Je lui donne une serviette pour qu'il s'essuie la bouche dégoulinante de salive.
Je le pose sur la table qui me sert de bureau. Son cul est juste au niveau de ma bite.
Pour la première fois, je lui roule une pelle bien virile qu'il attendait depuis un moment. Puis je me penche pour gouter à son sexe tendu, beau comme un bijou. Lorsque mes lèvres se referment sur son gland, Laurent émet un petit miaulement de chatte en chaleur, se saisit de ma tête quand je prends possession de sa tige pour la lubrifier de ma salive. Visiblement, il kiffe. Moi aussi, je sais faire.
Il se trémousse, se cabre, il est prêt pour l'estocade.
Je relève ses jambes pour accéder à son petit trou, aussi délicat que le reste. Il est là, le dos sur la table, les fesses sur le bord, les jambes en l'air, offert. Quand mon majeur le pénètre, je sens le mec habitué. Un peu de gel, il se dilate bien. Vu ses plaintes voluptueuses, je sens que Laurent est mûr. Une chose est sûre, il n'est pas puceau vu la dilatation certaine de son petit trou. Il va voir ce qu'il va prendre.
Je me relève et, avant qu'il ne reprenne ses esprits, je lui introduit direct mon bambou jusqu'aux couilles. Cette pénétration agit sur lui comme un coup de fouet. Il tente de se redresser, la bouche grande ouverte sans avoir pu émettre un son, stupéfait. Il ne bande plus mais je voie dans ses yeux un bonheur intense, une envie de résister à cette douleur subite qui l'a traversé lorsque ma bite large et épaisse lui a élargi la rondelle.
Laurent souffle fort, halète, le temps que son petit cul se détende puis fini par se rallonger sur la table.
" Fabien.....baise moi, c'est trop bon " oui, il en veut, c'est bien ce que j'avais pensé...
Je le coulisse alors une ou deux fois sur toute la longueur de ma queue. Ses yeux sont grands ouverts, son souffle court. Il profite pleinement de chaque coup de bite qu'il reçoit. J'augmente la cadence. A présent, ma queue glisse parfaitement dans ce petit trou qui s'offre à moi. Laurent apprécie de plus en plus et reprend bruyamment ses gémissements.
" Ta gueule, tu vas ameuter les voisins"
Et, avant qu'il n'ai pu me répondre, je l'attire à moi et lui roule une pelle d'enfer. Je le tringle comme un fou, lui bourre le cul, lui explose la rondelle. Mes couilles claquent contre ses fesses. Le voilà calmé, subissant mes coups de bite, dominé. Il s'accroche à moi, s'offre, me caresse les bras. Ses plaintes sont magnifiques, contenues, sa jouissance au sommet. Un bon passif comme je les aime.
.
Je sens la sève monter, me fait plaisir et le pistonne comme il se doit. Par moment ma bite ressort et je lui la renvoie vigoureusement au plus profond de son petit cul. Je vais pas tenir longtemps comme ça. J'avais trop envie de le baiser et là, il va me faire juter.
Je me retire, les couilles bien remontées, le gland gonflé, le bambou luisant, tendu, gorgé, à la limite de la douleur. Laurent descend de la table, se précipite sur ma queue pour la prendre. Sa bouche chaude et humide accueille mon sexe. Sans tarder, au bord de l'explosion, je lui offre ce qu'il attend.
Les décharges sont généreuses, soutenues, libératrices. Laurent n'a pas reculé alors j'en profite et m'assure qu'il va bien tout prendre en bouche, jusqu'à la dernière giclée.
Lorsqu'il se redresse, il ouvre la bouche et me fait voir tout le sperme qu'il a recueilli. Putain, j'avais pas joui depuis une semaine, j'ai envoyé. Puis il ferme la bouche et avale presque tout...le mec, quelle salope.
Dans un élan incontrôlé, je l'attire à moi et lui roule une pelle pour profiter moi aussi de cette semence gluante et chaude qui lui reste....
" Merci Fabien, c'était trop bon"
" Tu m'as bien maté dans le train. Tu regrettes pas.
" Pas du tout
" J'te préviens, cette nuit, je vais te tringler à fond
" Hummm. Pas de problème. Tu baises trop bien. "
Le fait d'avoir joui m'a fait du bien. Je me sens zen et rien que de voir le petit cul de Laurent pour moi cette nuit ....quelle promesse. Il encaisse bien ce petit pédé.
" Bon, on va bouffer quelque chose. Tu préfères pizza ou kébab ?
" Comme tu veux"
Et finalement, on est allé au Mac Do du coin. Un petit minet que j'avais sauté il y a quelques mois était là et nous a chauffé. J'ai pas donné suite. J'ai ce qu'il faut pour cette nuit.
Nous somme revenus à l'appart et j'ai dis à Laurent de monter les escaliers devant moi, pour voir son cul. Hummm, tout ça me donne la trique.
Une lumière tamisée et un DVD avec des mecs qui baisent et voilà une bonne ambiance pour redémarrer agréablement. Laurent veut se mettre à poils mais je lui dit d'attendre. Presque allongé sur le canapé, je lui dit de venir me rejoindre.
Toujours aussi chaud, il se tortille, fait sa pute, me fait comprendre qu'il a faim de mon sexe. Je l'attire à moi et lui donne l'ordre de me sucer, me lécher, me caresser.
Pour un passif, il se débrouille bien. J'aime pas les passifs inertes qui tendent leur cul et c'est tout.
Il me plait bien à parcourir mon corps avec ses petites lèvres charnues, à me sucer, me pincer les tétons avec ses dents. Il se frotte sur moi, ondule, ronronne de plaisir, prend son temps, fait monter la pression. Il me fait un streap tease tout en finesse et j'adore. Je l'aide un peu lorsqu'il essaie de m'enlever mes vêtements. Il continue ses caresses et ses léchouilles sur mes cuisses, mes bras, mon ventre, oublie volontairement mon sexe bien tendu, salive mon cou, mes oreilles....hummm, putain, j'ai bien fait de l'inviter celui là.
Moi qui embrasse rarement, on fini par se rouler une pelle langoureuse à souhait. Il me chauffe, il me chauffe.
Il reprend ses caresses qui me font un effet des plus agréable, passe cette fois ci par mes bijoux de famille qu'il suce admirablement bien.
" Tu suces trop bien, putain que c'est bon"
Il se rallonge sur moi, chaud bouillant, frotte son petit cul sur ma bite pour me signaler son désir. Il prend le tube de gel qui trainait à côté et s'en remet une petite dose. Je le laisse faire. Je le laisse poser son petit trou sur mon gland mais cette position ne me convient pas.
Je me relève, le prend dans mes bras et je vais l'allonger sur mon lit sur le ventre. D'instinct, il écarte les jambes, cambre sa croupe, s'offre.
Chaud, excité, bandant comme un cerf, je l'encule direct. Il émet une plainte de gonzesse que je calme en lui envoyant la tête dans l'oreiller. Il n'attendait que ça, et moi aussi.
Un second coup de bite et je m'assure de lui l'enfoncer jusqu'aux couilles. Il a bien retenu la leçon de tout à l'heure et ses gémissements sont comme je les aime. Son cul est trop bon, je sens bien ma bite lui coulisser l'intérieur. Il est heureux. Comme je suis plus grand que lui, j'arrive à atteindre ses lèvres, lui crache ma salive dans la bouche pendant que je lui laboure le cul.
J'ai de la résistance mais lui aussi....quelle pute. Il prend bien les coups de bite. J'adore ce mec.
" Alors mon pote, t'aime bien?
" Ouiiiii
Je lui en redonne une autre tournée et je sens au bout d'un moment qu'il gémit différemment. Une jouissance le parcours soudain pendant que je l'astique de façon virile. Comme il ne veut pas me décevoir il n'ose pas me dire qu'il a joui. Je passe ma main sous son ventre. Le petit, il a bien craché. Il s'est lâché.
" C'était bon
" Désolé, Fabien
" Tu n'as pas à être désolé, ça me fait plaisir de t'avoir fait juter"
Je me retire, le retourne et le colle contre moi. Il est un peu sonné et lessivé par son éjaculation mais aussi super heureux que je le prenne bien. Ses mains douces me caressent le corps, lissent mes poils. Dans un sursaut de bonheur, il m'embrasse passionnément et me dit:
" Merci Fabien. Prends moi autant que tu veux, comme tu aimes, c'est trop bon avec toi"
Faut pas me dire ça deux fois. Un cul comme le sien, doux et bien ouvert maintenant, c'est le rêve pour tout baiseur qui se respecte.
Je me lève pour aller boire un coup et Laurent aussi. Il en profite pour changer la serviette que j'avais mise sur le lit et va savonner ses petits bijoux. On est là, tous les deux, nus, et le dvd montre en ce moment un mec qui se fait ramoner le cul par un beau black avec une queue énorme.
En me regardant nu, la bite levée au dessus de mes grosses couilles, Laurent reprend des envies et sa queue se raffermi. A cet âge là, la sève monte vite, on a toujours envie.
Je l'entraine vers la chambre.....
Je me suis allongé sur le dos et Laurent se fait plaisir à lécher tous les poils de mon corps, sans oublier les aisselles. Il me savoure, heureux de cette liberté que je lui donne, bavant sur mes couilles, lubrifiant mon bambou qu'il honore avec sa langue.
Le plaisir est décuplé par les sens du toucher, de cette odeur de mâle et de foutre qui règne dans la chambre, du son de ses sucements. Il me plait trop ce Laurent. J'ai envie de lui, de son cul, de sa bouche, de son corps. Ma bite est raide, trop raide, mes couilles remontées, mon gland demande à vomir.
Je le prend dans mes bras, le retourne pour me positionner face à lui. Il a compris, lève ses jambes pour m'offrir son petit trou et saisi ma bite pour la diriger.
Je le pénètre sans la moindre hésitation. Laurent émet un miaulement de petit chat tout en caressant ma nuque lorsque mon mandrin lui force l'anus. Je sens sa rondelle glisser, caresser toute la longueur de ma tige et céder, vaincue, à la base de mes couilles. L'effet est extraordinairement agréable.
Tellement agréable que je ressort pour lui renvoyer bien à fond et fermement mon bambou qu'il a si délicatement lubrifié de sa salive quelques instants avant.
Son cul est trop agréable, parfait pour ma bite qui glisse en lui. Nos corps sont collés, nos lèvres se retrouvent et je lui fourrage la bouche pour le pénétrer là aussi. Je me lâche, l'enserre dans mes bras, lui envoyant de violents coups de reins, claquant mes couilles contre lui, haletant, ravi du plaisir que je lui procure et qu'il me rend bien.
Laurent s'accroche à moi, m'encourage, se laisse dominer, fait sa pute.
"Fabien, lâche toi en moi"
Je ne prends pas le temps de lui répondre, redouble d'ardeur, ne pense plus à rien sauf à baiser, à profiter de ce cul bien chaud offert à ma bite, à ce plaisir intense qui monte en moi et m'envahi.
Quand j'arrête brutalement, Laurent comprend que j'envoie. Putain que c'est bon. Il a bien fait de me dire de lui jouir dans le cul....Putain que c'est bonnnnnn.....
HUMMMM, je crache, je jouis, je jute...HHHH...je me vide les couilles, quel bonheur!!!.
Quelle superbe soirée, quel bonheur de jouir dans le cul d'un mec qui le réclame.
On se met tous les deux sur le côté, le temps de souffler, de profiter. Le moment ou les acteurs de cinéma fumaient une cigarette. Nous sommes là, zen, en silence, repus et rassasié de sexe.
J'ai du somnoler un petit moment. Laurent est encore dans mes bras. Il me regarde et souri.
Hummm, toujours aussi craquant, ce petit jeune. Mes batteries sont rechargées, je sens ma bite raidir et je sens comme une envie réciproque en touchant la queue de Laurent.
Il se penche et va finir de décalotter mon gland encore imprégné de sperme, le suçote délicatement...
hummm, mon petit coco, à ce jeu là, tu vas en avoir une autre tournée...
Jusqu'au petit matin, la nuit a été chaude, intense. J'ai rebaisé Laurent encore deux fois avant de le raccompagner prendre son train.
Si vous avez aimé mon histoire, vous pouvez m'écrire. Merci.
Caramel
caramel35@orange.fr
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