Ce jour-là, j'avais les hormones en ébullition. Mon corps avait besoin de s'exprimer. Je suis rentré dans ce sauna, prêt pour une aventure sexuelle.
Après la douche et un peu de temps au hammam, je décide d'aller dans le labyrinthe, une zone peu ou pas éclairée. Les corps se cherchent, se touchent, se caressent.
Plusieurs mains se baladent sur mon corps, sans doute pour deviner mon gabarit (sportif, légèrement musclé, beau corps galbé), mon âge (tout juste 19 ans). Je fais pareil pour deviner et trouver un partenaire qui pourrait me convenir.
Un homme, plus décidé que les autres, m'attire contre lui et cherche mes lèvres. Il est plus costaud que moi, sûr de son désir. Je réponds à son envie et nos lèvres sont unies. Je me laisse aller. J'aime ses lèvres pulpeuses et cette façon qu'il a de me fouiller la bouche avec sa langue épaisse. Son parfum m'enivre. Ses bras m'ont déjà entouré et d'instinct, je suis à lui.
Des bras solides, virils, qui me serrent fermement, mais aussi avec douceur. Je lui réponds en passant mes mains autour de son cou. Je sens qu'il adore, car son étreinte augmente, sa langue me laboure le palais, nos salives ne font qu'un. Ses larges mains caressent mon dos, se promènent sur mes fesses, mes cuisses.
Nous sommes dans la pénombre. Je distingue à peine les silhouettes, mais au fil des minutes, ma vue va s'adapter à cet environnement. Je pense que c'est un quadra ou sénior. Je ne suis pas contre. Un homme bien bâti, assez carré, qui dégage une puissance naturelle, une virilité affirmée.
Je bande, je suis bien, j'adore.
Il m'emmène dans un recoin plus isolé même si je sens encore beaucoup de monde à proximité.
Cependant, un mec, à peu près la même carrure, se colle derrière moi, plus intéressé que les autres. Peut-être m'a-t-il vu rentrer dans le labyrinthe ? Mon sénior le laisse faire. Je suis donc bloqué entre deux hommes, super ravi de cette situation et je trouve cela très agréable.
Le sénior, très chaud, sûr de lui, enlève sa serviette et me fait comprendre de l'imiter. Le mec derrière, qui a compris qu'il était accepté dans le jeu, ne tarde pas à faire pareil.
Ce contact total de nos corps me fait bander un max.
Moi qui le peu de fois ou je suis allé au sauna, aimait bien voir mon partenaire, là, dans la pénombre, je suis chaud, OK pour continuer.
Mon sénior, très câlin, reprends ses pelles bien baveuses. Le mec derrière, un barbu très entreprenant s'est joint à nous et nos langues se mélangent. Il est de plus en plus chaud. Je dirais même, c'est de plus en plus chaud entre nous trois.
Quatre mains explorent mon corps, me caressent. Une certaine osmose s'installe entre nous trois. Je suis à eux et ils l'ont bien compris.
Ils me font sentir leur désir en frottant chacun leur corps et leur sexe contre moi. Je me tortille légèrement pour leur montrer mon approbation. Le barbu m'envoie son souffle chaud contre mon cou ; ses mains s'aventurent sur mon petit trou pour savoir si je suis open pour le lui offrir... bien sûr que oui et je le laisse explorer mon intimité.
Il s'écarte pour récupérer du gel tout à côté. Pendant ce tout petit moment, j'en profite pour passer une main sur la bite du sénior et la caresser. Il apprécie avec un petit grognement de satisfaction.
- Mon petit chéri, elle est pour toi.
Le mec, une bite de malade, épaisse, raide, un bambou comme on en rêve, pas sûr que mon cul, ça passerait. Le problème ne se pose pas pour l'instant. Et une paire de couilles magnifique, qui déborde de ma main.
J'ai bien envie de lui demander pour aller dans une cabine et le sucer, lui lécher les couilles, les tétons... tout, tout, il me fait trop envie.
Le barbu ne me laisse pas le temps de lui demander et il me met direct un doigt dans le cul avec du gel. Je gémis tant son doigt large m'ouvre bien le trou.
Mon sénior, qui a deviné la situation, malgré l'obscurité, me murmure :
- Laisse-toi aller, mon petit chéri. Profite.
- Oui, mais je n'ai pas envie de faire ça ici
- Détends-toi, il va te faire du bien... et il me guide pour que je suce ses tétons en même temps que le barbu me prépare.
Il est maintenant passé à 2 doigts. Comme j'ai une énorme envie, je me dis que l'endroit importe peu finalement et je lui tends mon cul pour lui faciliter les choses.
Un autre mec veut participer, mais le sénior lui fait comprendre qu'on est assez
- Le petit a envie avec nous. On est assez. Tu lui demanderas après.
Celui-ci n'insiste pas, mais reste à côté pour mater.
Mon barbu a remis du gel et il est surement à 3 doigts maintenant. Il n'est pas brutal et fait en sorte que je me dilate bien puis se colle contre moi et, avant de passer aux choses sérieuses, me fait toucher son sexe. Je tâte un bâton magnifique, dur, bien relevé, le gland bien gonflé, un peu surpris par la longueur et l'épaisseur de la tige, déjà bien lubrifié, prêt à rentrer en action. Ce barbu est bien doté par la nature et il le sait.
Je vais probablement le sentir passer, mais j'ai trop envie qu'il me baise maintenant.
- Laisse-moi faire. Penche-toi un peu.
Sans attendre ma réponse, s'il en attendait une d'ailleurs, il s'est mis en position, m'a déjà explosé la rosette et introduit surement plus que le gland dans le cul.
Je gémis sous l'effet de la surprise. Je me retrouve poussé contre mon sénior qui me tient fermement et qui se trouve ravi de la situation.
- C'est bon mon petit chéri, ça va aller. Détends-toi. Il va bien s'occuper de ton petit cul.
Le mec continue et sa bite rentre doucement en moi
Peu habitué à me faire enculer, surtout par des bites de cette taille, je gémis, me cambre, pour lui faire comprendre que mon cul souffre.
Il s'arrête un petit moment, recule légèrement pour laisser mon cul se dilater. Le sénior en profite pour passer la main sur ma bite et mes couilles et toucher la bite du mec qui m'encule.
- Putain, mon petit chéri, tu vas bien profiter, il a ce qu'il faut pour te faire plaisir.
Je ne réponds pas, trop occupé à reprendre ma respiration. J'ai envie de cette queue alors pas question de lui dire que, jusqu'à présent, j'en ai pris que des plus petites, que là, j'ai mal et qu'il est au plein de mon cul. Pas question de renoncer.
Le mec en profite pour redonner un coup de reins et m'envoyer tout son bambou dans le cul. Je gémis un peu plus tellement je sens cette bite glisser en moi, tellement il n'en finit pas de glisser, glisser pour finalement s'arrêter, bien à fond.
Le sénior couvre mes gémissements en me mettant sa main sur la bouche, en m'embrassant.
- T'aimes bien ma bite dans le cul, ma salope. me dit le barbu
- Remet du gel, s'il te plait, je ne suis pas habitué et elle est grosse.
Ça lui fait surement plaisir, car il se retire et remet du gel sans perdre de temps. Lui aussi, il veut profiter, maintenant qu'il a ouvert la voie.
Putain, qu'est-ce que ça peut être bon de se faire enculer par une bonne bite. Surtout lorsque l'on sent qu'elle remplit bien, qu'elle dilate bien le boyau. À 19 ans, je n'avais pas beaucoup d'expérience et j'avais, jusqu'à ce jour là, surtout joué avec des bites " normales ". Revenons à mon histoire.
Le barbu y va ce coup-là franchement et me réencule aussitôt pour me l'expédier jusqu'aux couilles et commencer des va-et-vient très virils. Ses couilles claquent contre mes fesses. Je m'accroche au sénior sous ses assauts, sous des gémissements assez bruyants.
- Baise le bien à fond, il te veut.
Le sénior appuie sur ma tête pour que je me penche bien, pas pour que je le suce, mais pour que je présente bien mon cul au barbu.
Je gémis énormément sous les coups de bite. Je ne dirais pas que j'ai mal, mais je sens cette grosse queue me pénétrer, m'ouvrir le cul, me dilater. Je suis heureux de me faire baiser, mon plaisir est immense et je veux profiter de chaque seconde de ce bonheur.
- Je vais te baiser après, mon petit chéri
Je m'entends lui répondre OUIIII, moi qui pensais quelques minutes auparavant que sa bite était trop grosse pour mon cul. À ce moment-là, je suis prêt pour tout...
Le barbu prend son pied, me baise comme un forcené, jouant avec sa queue dans mon cul. Il sort sa longue bite pour me la renvoyer aussitôt, me faire sentir qu'il me domine, qu'il me baise bien à fond. Je ne gémis plus, mais j'émets de petites plaintes de plaisir pour lui faire comprendre que j'apprécie. Je suis ravi. Il a compris lui aussi le message et me remercie en m'embrassant dans le cou.
Il profite bien, fait durer le plaisir, se penche sur moi pour me pénétrer au maximum, claque ses couilles contre mon cul. On ne m'a encore jamais baisé aussi bien et aussi longtemps. Ce barbu a une endurance et un savoir baiser merveilleux.
J'arrive à distinguer plusieurs mecs maintenant près de nous, surement des envieux, pour mater, mais cela m'importe peu. Je me fais baiser en plein couloir, presque à la vue de tous. J'entends un mec dire à un autre :
- Le petit jeune, il s'en prend une bonne dans le cul.
Quelques mecs essaient de participer, mais le sénior les écarte. La saillie dure pour le plaisir de tous et surtout pour moi.
Maintenant je suis trop bien, je bouge du cul, je me prête comme une pute en chaleur. Le barbu accélère et je sens qu'il est presque mûr, qu'il va bientôt cracher. Il me tient fermement et commence à gueuler. Soudain, il se bloque, la bite bien à fond dans mon cul et pousse un grand cri de jouissance. J'essaie de me dégager, mais il me retient bien, savoure ces quelques instants où les couilles envoient, ou le sperme abondant et crémeux parcoure violemment la tige pour laisser le gland exploser et se répandre dans l'intimité de l'autre.
Moi aussi, je suis secoué, rempli de bonheur. C'est trop bon.
Un petit moment se passe. Le barbu reste un peu en moi, le temps de débander.
- Tu l'as bien baisé, mec.
- Tu as aimé, mon petit chéri ?
- OUIIIIII
Mon sénior ou quadra est ravi de mon plaisir. Il prend du gel à son tour sans rien me demander.
Le barbu se retire et je sens comme un vide. Lequel des deux passe un doigt sur mon cul, sans doute pour sentir le sperme en sortir, je ne saurais le dire.
- Tu m'as bien vidé les couilles. T'as un super cul.
Le barbu, reprenant son souffle, se met devant moi et me fait une bise plus qu'amicale.
Sous le coup de l'émotion, du plaisir, je les laisse faire et ne réagis pas lorsque le sénior se retrouve placé derrière moi, pour satisfaire son envie.
- Penche-toi bien, mon petit chéri.
- Elle est trop grosse, je ne...
Trop excité sans doute, il ne m'écoute pas et son gland, grâce au gel et au sperme déjà présent, s'est déjà calé à la bonne position. Il m'introduit sans la moindre hésitation son énorme bambou dans le cul.
Pas du tout en état de résister, coincé entre ces deux hommes et malgré tout animé d'une énorme envie de me faire baiser, mon semblant de refus n'avait aucun sens.
Son braquemart bien raide m'envahit, me dilate encore plus l'anus, glisse dans mon corps, me remplit de bonheur. Je suis open bite, open plaisir, surpris totalement qu'une telle queue rentre si facilement en moi et me procure un tel plaisir. C'est encore plus intense que lorsque le barbu m'a pris. J'ai l'impression de ne plus avoir de cul tellement il est en moi.
Je ne gémis plus. Ce sont maintenant des cris de plaisir que je donne.
C'est sans doute pour cela que le sénior a laissé le barbu me baiser avant lui, pour me préparer, bien me dilater le petit trou.
Le barbu me donne l'ordre de rester en bonne position. Je découvre un homme musclé, viril, encore excité. Le sénior me baise sans ménagement en me tenant fermement les cuisses.
Les gémissements de plaisir, tous ces corps à corps dans la pénombre, cette odeur de sperme qui se répand font que l'excitation est à son maximum.
C'est la première fois que deux hommes me baisent à suivre.
À un moment, le sénior me soulève à son tour tout en essayant de me branler. C'en est trop pour moi, un plaisir trop intense me traverse et je crie, je jouis, envoyant plusieurs jets de sperme sans doute sur le ventre ou sur les cuisses du barbu.
- Putain, il aime ça, la salope. Crache-lui dans le cul. Il est bien chaud.
Le sénior, super heureux de m'avoir fait jouir, ne tarde pas à me décharger dans le cul avec un grand cri de mâle qui vient d'accomplir une mission.
Une onde de plaisir me parcoure le corps et j'ai comme l'impression de ressentir une seconde fois, comme avec le barbu, tout son sperme qui gicle en moi.
- La salope, il est chaud, il aime la bite.
Je suis lessivé, vidé tout en ayant eu plein le cul, heureux. Le quadra reste en moi quelques instants pour s'assurer de bien se vider les couilles et enfin se retire, vient tâter mon cul bien ouvert, bien gluant de sperme, savourant sa réussite.
- Alors, t'as aimé, mon petit chéri.
- Oui, c'était trop bon.
Il me donne une bonne tape sur les fesses.
Des mecs qui avaient maté toute la scène tentent une approche, mais j'ai eu assez. Je leur fais comprendre de ne pas insister. Une petite bousculade ambiante me sépare du quadra et du barbu.
Je tâte à mon tour mon cul, encore ouvert, laissant échapper du foutre de ces deux mâles dominants. La tête me tourne légèrement, sonné par ces deux saillies puis je remets ma serviette pour sortir de la pénombre du labyrinthe.
Je ne saurai jamais qui m'a baisé.
Caramel
caramel35@orange.fr
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