Premier épisode
Léon nous à vu nous lever, et juste pour le frustrer autant qu'il m'a frustré il y a quelques années, j'ai attrapé Narî par les fesses pour le rapprocher de mon corps.
"Tu joue à quoi t'est parents vont nous voir."
"J'ai toujours voulu le faire, elles me donnent envie."
Je sourîs, il était mignon lorsqu'il était gêné.
"Par contre cache moi, je bande toujours."
Mignon mais pas romantique. On ne peut décidement pas tout avoir dans la vie. On s'approchait des cabines lorsque j'entendis une voix au loin crier notre prénom.
"Où allez vous?" cria Léon. Il était fourbe, il savait qu'en attirant l'attention sur nous notre plan allait tomber à l'eau. Il souriait, Narî semblait se tendre à mes côtés, il allait sûrement faire une connerie si je ne réagissais pas avant.
"On rentre à la maison, Narî se sent pas bien." Fis-je avant de le tirer dehors.
"T'est un génie mais je compte quand même te prendre derrière hein." chuchota mon brun en s'approchant de moi.
"Sortons alors."
J'allais rentrer dans une des cabines, toujours sa main dans la mienne, jusqu'à ce que celui-ci tire mon bras pour m'en empêcher. Je me suis retourné vers lui et avant même que je parle celui-ci lâcha:
"Au point où on en est je veux te baiser sans retenue, je veux t'endre gémir, je veux pouvoir te claquer le derrière sans avoir peur de faire trop de bruit. Je veux m'allonger contre toi une fois qu'on aura fini de baiser. Habille toi."
C'est une nouvelle facette que je découvrais de lui, il m'intimidait, ses yeux étaient toujours posés sur moi, déviant de temps en temps sur mon entrejambe pendant que je m'habillais. Je sentais la chaleur augmenter dans mon corps, je ne souhaitais plus que l'avoir en moi et entendre sa voix rauque râler de plaisir pendant qu'il me prendrait de derrière.
***
Nous rentrions chez Narî, l'air chaud du mois de Juillet nous étouffait malgré le fait que nous étions dans la voiture décapotable de mon brun. Celui-ci n'arrêtait pas de se plaindre de la chaleur.
"Tu sais tu peux retirer ton tee-shirt comme moi. Tu dois étouffer là dedans."
"Lo', t'est mignon mais est-ce que tu crois que je sus en état de pouvoir me déshabiller là? Je suis entrain de conduire."
Un silence s'installa, il se tourna vers moi et me sourit. Ses paumettes étaient toutes rouges.
"Déshabille moi."
"Tu sais que je bande déjà? Ça va pas me calmer du tout."
"C'est bien pour ça que je te demande au lieu de m'arrêter sur le côté." Il sourit de nouveau. Je m'approchai et relevai petit à petit son haut blanc qui laisse transparaître sa peau bronzée et ses muscles en dessous, il releva les bras et le retira entièrement, quant à moi je repris ma position initiale. Il se tourna vers moi avec un air étonné.
"Quoi?"
"J'ai dit déshabille moi. Intégralement."
"Intégralement? Non."
"Les routes sont vides, fait-le. Ne me désobéis pas."
Je dégluitit avant de lui retirer son short et tant bien que mal son caleçon rouge. Il était nu, il était beau. Elle était imposante, environ 19 x 7 je dirais, elle était bien évidemment tendue. Je l'excitais et cette idée m'excitait, moi.
"Bien. T'est tellement excitant quand t'est docile Lo. Il nous reste 4 minutes avant d'arriver à la maison, fais tout ce que tu veux mais fais moi cracher. Je veillerais à bien te punir sinon."
Et merde...
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A.AF
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