Nb: Ne vous attendez pas à une histoire courte et rempli de baise.
Coucou! Je suis Lorenzo, 19 ans, plutôt musclé, châtain, je suis sorti avec un gars nommée Léon il y a quelques années, mais celui-ci n'assumait pas encore sa bisexualité à l'époque et c'est donc rabattu sur ma soeur. Ils sont mariés à présent et malgré ma frustration, pas un jour ne s'écoule où je ne rêve de lui dans mon lit. Cet été je souhaitais réaliser ce rêve en le rendant jaloux pour attirer son attention.
C'est donc en ce jour ensoleillé qu'on c'est tous dirigé vers la piscine municipale et j'en ai profité pour inviter mon meilleur ami Narî. Une fois installé j'attrape celui-ci par la main et on court vers le bassin tel des gamins.
Je venais de plonger dans l'eau lorsque je sentit une main se poser sur ma taille, je me retournai et vit mon beau-frère me sourire, voyant mes joues rosires celui-ci rigola et commença à nager en me laissant seul, sa main chaude sur mon corps me manqua instantanément. Il est bizarre.
Je me décidai donc de l'oublier et jouer avec Narî. On rigolait dans l'eau et le fait que celui-ci soit tactile m'aidait à me détendre, je le sentais se rapprocher de moi, je pouvais sentir la bosse dans son maillot lorsque je faisais semblant de le frôler en jouant. Ou alors, il sautait sur mon dos et se penchait pour poser sa tête au creux de mon cou pendant que je le tenais par les fesses. Ses mains baladeuses caressaient mon torse et ses doigts se perdaient dans mes cheveux. Je me promenais dans l'eau, toujours dans cette position, attirant le regard de quelques personnes, dont celui de mon beau-frère. Mon plan fonctionnait. Il nous scrutait.
Nous sortîmes de l'eau et je me reçu une claque violente sur les fesses de la part de mon meilleur ami.
"Celle-là c'est pour t'avoir battu à la course."
"J'en ai perdu deux si je m'en souviens bien."
"T'est vraiment une pute toi, à tendre ton cul comme ça. Le second sera pas une fessée mais plutôt un massage une fois qu'on arrivera aux transats."
"Parfait". Je pourrais donc rendre encore plus jaloux Léon.
Une fois arrivé les membres présents nous regardèrent en souriant, certains mangeaint tandis que d'autres bronzaient.
"Vous avez l'air de bien vous amuser dîtes-donc."
"En même temps Narî agit comme un gosse maman".
Celui-ci sourit et me tira à l'écart de la famille, dans un endroit plus calme. Monsieur voulait son massage.
"Allonge toi".
Narî s'allongea sur le ventre et me tendit l'huile. Je me plaçai donc à califourchon sur lui pour mieux lui masser son dos large, faisant des mouvements circulaires pour l'apaiser. Je dirigeais ensuite mes mains vers ses bras musclés et les encerclaient tant bien que mal entre mes deux mains, je fis des allers-retours comme si je les branlaient, mon brun rigola et se retourna subitement. Je sentais à présent son morceau de chair réveillé sous mes fesses, il me fixait droit dans les yeux par pure provocation, le batard se lècha les lèvres rosies pour m'exciter d'avantage.
Mon regard s'abaissa sur son corps et dieu, qu'est-ce qu'il était baisable, c'est incroyable. Je souhaitais juste lui retirer son maillot de bain rouge et le tenir par sa chaîne au cou pendant qu'il me baisait brutalement. Narî était magnifique, la machoire carré, le teint latino, la barbe typique rasée d'il y a 3 jours, les yeux marrons et les lèvres charnue. J'était en chaleur et son maillot déformé par sa bite en érection n'aidait pas.
"Quand est-ce que tu va arrêter d'agir comme si nous n'étions que amis?"
Je lançai un dernier regard en direction de Léon, il nous regardait, parfait.
"Maintenant"
Je plaqua mes lèvres contre les siennes pendant qu'il ondulait son bassin sous mes fesses pour me faire sentir son excitation. Il prolongea le baiser en plongeant ses mains dans mon maillot pour tenir fermement mes fesses de ses deux grosses mains viriles. Je me levai subitement et celui-ci me regarda d'un air perdu.
"Tu fais quoi?"
"On va dans les cabinets. Maintenant."
Seconde partie à suivre ;)
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A.AF
Autres histoires de l'auteur : Baise avec mon meilleur ami et beau-frère
