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À mon réveil, le soleil était omniprésent et ses chauds rayons réchauffaient la cour arrière. Je passai dans la cuisine, le café était sur le réchaud et un petit mot était placé sur la table me souhaitant une bonne journée et me disant de profiter de la maison, ma soeur étant partie chez des amis pour la journée.
J'avalai un café et mangeai un bol de céréales. Je mis de la musique sur le patio, me versai un autre café, sortis sur la terrasse et plongeai dans l'eau de la piscine. Après avoir fait quelques longueurs, je vins m'allonger sur une chaise longue et ingurgitai lentement mon café. Je me prélassais au soleil en pensant à la semaine écoulée, j'étais tout à ma rêverie et ma queue montrait des signes d'excitation quand j'entendis tousser derrière moi. Je me tournai la tête et j'aperçus le fils du jardinier debout se balançant sur ses jambes.
" Excusez-moi Monsieur si je vous dérange, je remplace mon père, il a pris sa retraite et il m'a laissé ses clients. "
" Non, c'est à moi de m'excuser pour ma tenue, votre père passait le mardi et je n'attendais personne aujourd'hui, je passe un maillot. "
" Non, non ce n'est pas nécessaire, restez comme vous êtes, vous êtes bien plus confortable ainsi et c'est bien plus agréable à regarder. "
Il avait dit cela le plus simplement du monde, ce beau garçon dans la mi-vingtaine. Je le regardai plus sérieusement, il était grand, brun, musclé par le travail, bronzé, il portait une salopette sans t-shirt, les boutons sur le côté étaient lâches et je pouvais facilement discerner ses hanches et le début de ses fesses, il semblait avoir un sexe impressionnant qui se ballottait dans son froc, il était très excitant.
" Je n'ai pas l'habitude d'être ainsi quand le jardinier vient faire son travail. "
" Ne vous inquiétez pas, soyez très à l'aise. Faites comme si je n'étais pas là. "
Facile à dire me suis-je dit. Il retourna à son travail et moi à ma rêverie, du moins en apparence. Je ne le quittais pas des yeux et lui, il semblait me regarder constamment du coin de l'oeil. Je me levai et retournai à l'intérieur me verser un verre de jus frais. Je le vis par la fenêtre de la cuisine regarder constamment en direction de la maison. Qu'est-ce que je fais? Je fonce?
Je plaçai des glaçons dans le seau à glace, y déposai deux bières et revins sur le patio. Je déposai le bac sur la petite table près de ma chaise et je plongeai dans l'eau. Je traversai lentement la piscine à la brasse afin de bien écarter les jambes et l'exciter davantage. De l'autre côté, je m'appuyai sur le rebord et lui demandai :
" Une bonne bière t'irait? Nous avions l'habitude d'en offrir à ton père afin de lui permettre de se rafraîchir. "
" Je veux bien, merci. "
" Il te faudra d'abord la gagner, cette bière. "
" Ah oui! Comment? "
" Tu dois traverser la piscine. "
Il me regarda avec un sourire ironique, détacha les bretelles et laissa tomber sa salopette, il arborait déjà une semi-érection.
" Dernier arrivé est l'esclave de l'autre. " Dit-il.
Il plongea par-dessus moi et je m'engageai à sa suite. J'étais plus rapide, mais il avait une bonne avance et au moment où il toucha l'autre côté, il se retourna vers moi en souriant.
" J'ai gagné. " Et il sortit de la piscine.
" Et je suis ton esclave, Maître. "
Je remarquai son excitation, je sortis et lui demandai :
" Qu'est-ce que je peux faire à mon maître pour lui plaire? "
Je me prosternai à ses pieds. Je lui saisis les chevilles, lui baisai les pieds et je laissais mon cul bien haut en baissant les reins.
" Débouche les bières, esclaves. " Il se pencha et m'administra une bonne claque sur les fesses.
J'ouvris les bouteilles et je lui en tendis une. Nous étions bandés comme des chevaux.
" Beau physique et bien emmanché, jeune homme. "
" Je peux en dire autant de toi. "
" Esclave, je ne t'ai pas autorisé à parler. Tourne-toi et montre ton cul. "
Je me tournai et me penchai par en avant.
" Mets-toi à quatre pattes, tend bien ton cul et écarte les fesses. "
Je me positionnai, lui dévoilant mon anus dilaté. Il cracha dans le trou, y plaça un doigt, l'enfonça lentement, tourna un peu. Il versa de la bière dans la raie et commença à me licher le trou du cul avec ardeur. Il me ramona l'anus, me fourra avec la langue, je gémissais. Il me frappa le cul.
" Tu n'as pas à geindre sans que je te le dise. "
Sans crier garde, il me pénétra sans ménagement. Il fonça en moi d'un seul coup sans plus de préliminaires.
" Hein! Mon cochon, tu aimes ça te faire bourrer le cul par une grosse queue. Tiens prend ça. "
Il sortit complètement et chargea à nouveau. J'avais l'anus complètement dilaté, je n'offrais aucune résistance à cet intrus. Tout en me fourrant avec force, il me donnait claque par-dessus claque sur les fesses.
" Allez, donne-moi ton cul. Ouvre bien que je te fourre. Ça vient. Sens-tu grossir ma queue dans ton cul. Je vais te remplir de mon foutre. "
Au moment où il m'aspergea l'intérieur de son sperme, il effleura à peine ma queue qui éjacula aussitôt sur les dalles de patio. Il se pencha sur moi et par-derrière, il me pinça les tétines. Il sortit de moi et se releva.
" Ne bouge pas, tu es encore mon esclave. "
Il se plaça devant moi et m'offrit sa queue.
" Allez, ouvre grand. "
En ouvrant la bouche, il pointa le fond de ma gorge et y entra sans ménagement.
" Suce bien, tu ne le regretteras pas. "
Quelques coups de langue suffirent à ramener la vie dans son mât. Il avait maintenant une autre érection et il en profitait pour me fourrer la bouche. Il me tenait la tête à deux mains, je ne pouvais aucunement résister et il m'envoya tout son jus dans le fond de la gorge.
Il se baissa, me souleva dans ses bras et me déposa sur une chaise longue, j'étais épuisé par l'effort. Il tendit ma bière.
" Prends-en une bonne gorgée. Tu es doué, tu sais. T'as une maudite belle paire de fesses, un beau cul et tu suce comme un dieu. "
" Merci. Mais c'est la première fois de cette façon sans préliminaires. Tu m'as beaucoup excité avec tes paroles. "
Après nos bières, il se rhabilla et retourna travailler. Je m'enfonçai dans un sommeil réparateur et à mon réveil, il était parti. Je me levai et plongeai dans la piscine. L'eau finit par me ramener à la réalité. Je sortis de l'eau et ramassai les bouteilles vides. À l'entrée de la maison, je croisai ma mère, elle venait de terminer sa journée de travail.
" Salut! Bonne journée? "
" Oui, très bonne même. "
" Deux bières? "
" Oui, le jardinier est passé. Tu ne m'avais pas dit que monsieur Harvey avait pris sa retraite, c'est son fils qui le remplace et il a changé de journée. Il m'a pris par surprise, car je ne l'attendais pas. "
" J'avais oublié de te le dire, je suis désolé. Il n'était pas trop gêné de ta présence? "
" Non, mais si Sonia avait été là... "
" Il aurait eu à choisir? "
Elle avait dit cela avec un sourire moqueur, laissant sous-entendre sa connaissance de ma journée. Je lui ai répondu avec un sourire moi aussi.
" Disons que je n'ai pas eu besoin de m'habiller. "
" Je n'en doute même pas. "
Les semaines suivantes, le jardinier était plus réservé et il se présentait à jour fixe ou il nous avisait de sa venue. Une journée, alors que nous étions seuls tous les deux, nous avons eu une discussion.
" Tu ne sembles plus très à l'aise avec nous, pourquoi? "
" Écoute, je suis payé afin d'entretenir votre propriété, non pour sauter le propriétaire. De plus, je ne sais pas ce que ta mère dirait si elle savait. "
" Premièrement, tu ne m'as pas sauté, mais nous nous sommes envoyés en l'air, c'est tout différent. Deuxièmement, elle sait. "
" Quoi? "
" Je n'ai rien à cacher à ma mère, nous n'avons rien fait de mal, j'ai même déjà baisé devant elle avec mes deux cousins. "
" Vous êtes des personnes spéciales. "
" La sexualité n'est pas tabou dans notre famille, nous nous en parlons depuis que je suis petit. Aimerais-tu baiser avec ma soeur? "
" Hein! Pourquoi? Elle voudrait? "
" Je ne sais pas, veux-tu que je le lui demande? "
" Non, les filles ce n'est pas mon bag. "
Il s'approcha de moi et m'embrassa. Autant il avait été dur la première fois autant il faisait maintenant preuve de tendresse. Je lui rendis son baiser et entrouvris les lèvres afin de laisser nos langues communiquer.
" J'aimerais recommencer, mais la situation n'est plus la même, notre relation doit être différente et il est préférable de garder un rôle employeur employé entre nous. "
" Comme tu veux, je serai toujours disponible s'il te revient le goût de jouer avec mon corps. "
" C'est un goût que j'aurai toujours. " Il dit cela avec une tristesse dans la voix et retourna à son travail.
Ma mère le croisa et dit :
" Qu'est-ce que tu as Dave, tu as l'air triste. "
" Ce n'est rien Madame. " Ajouta-t-il très gêné.
" Un instant, viens ici et assied toi. J'ai à vous parler, tous les deux. "
" Éric, lui as-tu dit que je savais? "
" Ben oui. "
" C'est ce que je pensais. Tu n'étais pas obligé de le lui dire, tu l'as mis dans une position difficile envers moi. Tu sais qu'il n'y a pas de problèmes avec moi, mais lui non. Sa réaction est normale, nos éducations sont différentes et nos réactions en découlent. Tu aurais pu attendre un peu. Toi Dave, sois sans crainte, il n'y a pas de problème. Respecte la famille et nous te respecterons. Ce qui se passe ici, se passe ici, tu comprends bien? "
" Oui, madame, très bien. Je suis très discret. "
" Fort bien. Nous respections beaucoup ton père et ton père aussi. Il savait comment nous vivions, mais nous avions une entente entre nous et toute la maisonnée s'habillait lors de sa journée de travail, s'il devait la changer, il nous avertissait avant de venir et tu sais pourquoi. "
" Oui, madame. "
" Tu dois savoir qu'ici, tout le monde peut faire ce qu'il veut, mais dans le respect de chacun. Le fait de s'habiller lorsque ton père venait travailler était justement une marque de respect mutuelle. "
" Je comprends. "
" Je sais aussi qu'il s'est passé quelque chose entre Éric et toi. "
" Excusez-moi, Madame. "
" Pourquoi? "
" Je suis votre employé et je ne devais pas réduire l'écart entre nous comme je l'ai fait. "
" Quel écart? Nous ne sommes pas supérieurs ni toi inférieur. Qu'est-ce que c'est que cette histoire? "
" Vous me payez pour travailler, pas pour abuser de votre garçon. "
" Tu veux me convaincre que tu as abusé d'Éric, je ne te crois pas, l'inverse peut-être. Nous te payons pour faire un travail, peu importe le nombre d'heures que tu prends pour le faire. Si tu prends deux heures à baiser, tu finis tout simplement deux heures plus tard, c'est tout. "
" Vous êtes bizarres. "
" Pourquoi? Parce qu'on te respecte. "
" Non, par la façon dont vous voyez les choses. "
" Vivre et laisser vivre, c'est la devise de la maison. Tu peux même travailler à poil si le coeur t'en dit. Personne ne dira un mot. L'important c'est que le travail se fasse et que tu respectes les autres. "
" Vous parlez souvent du respect, c'est important pour vous? "
" C'est primordial. Tu arrives pour travailler, ma fille est étendue nue sur la chaise. Tu t'approches d'elle, mais elle fait comme si tu n'étais pas là. C'est à ce moment que le respect entre en ligne de compte. Elle te montre son désintéressement et tu te dois de respecter ce choix. Même chose si elle semble s'intéresser à toi, mais que toi tu as les yeux sur Éric, elle doit te respecter. "
" OK, je comprends et c'est tout à fait normal. J'ai le plus grand respect pour toute votre famille. "
" Justement maman, il m'a repoussé tout à l'heure, car il veut garder un écart entre l'employeur et l'employé, c'est stupide non? "
" Éric, le respect. Tu dois respecter son choix même si tu ne le partages pas. Vous pouvez être en désaccord sur un point et même sur plusieurs, mais l'harmonie sera toujours là si vous respectez le point de vue de chacun. "
" Oui, mais c'est dommage. "
" Éric, tu serais capable d'avoir du sexe devant ta mère comme ça? "
" Oui. "
" Pas moi, je serais incapable de me concentrer en sachant qu'elle nous surveille. "
" Je ne surveille pas mon garçon, mais je regarde. Je ne joue ni à la voyeuse ni à l'autruche. "
" Je suis désolé, je ne voulais pas dire cela comme cela. "
" Pas de problème, je sais exactement ce que tu voulais dire. "
" Ta mère est au boutte. "
" Je sais, c'est de famille. " Dis-je en fanfaron.
" Non, toi tu es au bout. " Dit Sonia déjà revenue.
" Ha! Ha! "
" Les enfants, s'il vous plaît. "
" C'est une blague. "
" C'est comme ça que je l'ai pris petite soeur. "
" Excusez-moi, Madame, je pense que je devrais rentrer. "
" Décante ce que l'on vient de dire, Dave. Et on se revoit la semaine prochaine. "
" Salut tout le monde. "
Il prit congé et nous ne nous sommes pas revus seuls depuis. Nos rencontres ont toujours été amicales, mais son besoin de garder cette distance entre nous tant qu'il sera notre jardinier était plus fort que son attirance.
Rodrigue