Premier épisode | Épisode précédent
Théo est arrivé vers 8h15, avant de nous libérer, il nous a installé à tous les 2 une cage de chasteté et nous avons eu ordre d'aller nous laver, ce que nous fîmes de façon appliquée comme toujours.
Jeans enfilés, nous sommes montés préparer le petit déjeuner que nous avons pris tous les 3 à table. Les consignes de la journée en termes de travaux pour ce mercredi ont été données et nous avons travaillé toute la journée. Absolument rien de sexuel ne fut pratiqué, même pas recevoir la pisse de Théo et j'étais frustré, je crois que Paul aussi. Nos cages ne nous permettaient pas de pisser debout, nous devions nous assoir sur la cuvette des chiottes.
Le mercredi soir fut calme et décontracté mais pas de sexe.
Lorsque Paul et moi allâmes nous coucher, nous nous sommes embrassés et caressés mais fûmes frustrés de ne pouvoir toucher nos queues. Cela ne m'empêcha pas de bouffer le cul de Paul à l'en faire couiner.
Jeudi, même topo ! Pas de sexe, pas de pisse, rien ! Et Théo alla même plus loin, le soir au coucher, je fus enchaîné en croix sur le lit et Paul enchaîné au canapé. Nous ne pouvions même plus nous toucher.
Vendredi, toujours rien, nous étions clairement en manque Paul et moi. Malgré ma concentration sur les travaux, je ne pensais qu'au sexe et à rien d'autre... De nouveau enchaînés loin l'un de l'autre le soir, avant de nous endormir, nous entendîmes des hurlements de plaisir féminins dans la chambre de Théo.
Le samedi fut à l'image des jours précédents, ni Paul ni moi n'émirent la moindre protestation ce qui semblait ravir Théo. L'avantage c'est que nous avons très bien travaillé, la chambre d'amis était terminée, et ils avaient visiblement bien avancé dans leurs travaux de la grange. J'étais cantonné au chalet pour ma part, souvent seul à travailler de ce fait.
Samedi soir, après notre douche, Paul fut enchaîné en croix sur le lit. Je m'installais sur le canapé pour prendre sa place pour la nuit et recevoir mes chaînes mais Théo me fit signe de monter au rez-de-chaussée. Dois-je préciser que mon coeur se mit à battre comme jamais ?
Je suis donc monté, suivi de près par Théo qui me fit bifurquer jusqu'à sa chambre. Arrivés dedans, il se posta devant le moi.
- Déshabille-moi.
Tout tremblant, je défais les boutons de sa chemise puis passe directement à genoux pour lui ôter chaussures, chaussettes, jean et boxer. Il est nu devant moi.
- Faut que je pisse...
En un éclair, sa bite est dans ma gueule et je suis abreuvé de sa pisse dont j'ai été privé depuis mardi et je soupire en avalant tel un drogué en manque. Il termine mais ne se retire pas, je reste immobile, je sens sa queue gonfler lentement, je commence à trembler d'excitation et de plaisir, je le regarde, il me sourit.
- Oui yan, c'est aujourd'hui...
Il pose sa main sur ma joue gauche, je respire fort, je couine. Il se retire et s'assoit sur le lit, la bite dressée.
- A poil.
J'obéis, j'ai juste mon jean à enlever, il se penche vers sa table de chevet, ouvre le tiroir et en sort une clé. Il m'ôte ma cage. Il se recule un peu sur le lit, laissant ses pieds en suspension sur le côté du lit.
- Je veux que tu gicles sur mes pieds et pas ailleurs alors vise bien sinon tu redescends.
- Tout ce que tu voudras Théo...
Et je m'astique et je ne regarde que ses pieds, très concentré car l'excitation est telle que j'en ai pour quelques secondes je le sais. Je gicle, j'en fous plein sur ses pieds, juste une ou 2 gouttes à côté.
- Masse-moi les pieds délicatement.
J'obéis en avalant lourdement ma salive, je pensais devoir lécher... Je masse 3 bonnes minutes chaque pied et avec précaution.
- Lèche tes mains puis nettoie mes pieds avec ta langue maintenant.
Il s'allonge sur le lit et me laisse le nettoyer, je m'applique de mon mieux. Lorsqu'il estime que c'est suffisant, il se décale sur le lit pour être dans le sens de la longueur, il écarte les jambes.
- Viens me lécher les couilles salope.
Je gémis et couine en même temps, j'ai beau avoir giclé, je suis toujours autant excité, je saute sur le lit et à 4 pattes je lui lèche les couilles en soupirant de plaisir pendant qu'il me regarde faire. Puis il relève les jambes.
- Lèche mon cul mais attention, n'essaie même pas d'introduire ta langue...
Je me rue dessus et je lèche avidement, trop heureux de cette situation.
- Bien bâtard, montre-moi le tien à présent.
Je me tourne et sans que je m'y attendre, il se redresse pour me bouffer le cul, je ne peux retenir un hurlement à la fois de plaisir et de surprise.
5 minutes de bouffage de cul puis il sort du lit, reste debout, je me tourne pour lui donner mon cul.
- Je vais prendre possession de toi yan, je vais te baiser et jouir dans ton cul, je vais t'imprégner de ma semence de mâle et ça va être très long...
- Je t'appartiens Théo, je suis ton bâtard, honore-moi, féconde-moi, mon corps est à toi !
Ses mains se posent sur mes fesses, je sens son gland sur ma rondelle alors qu'il écarte mes fesses, il pousse, il entre lentement. Je crie, des cris de joie, je ne me retiens pas et Paul, enchaîné en bas, entend tout c'est certain. Théo est à fond, ses mains sont maintenant sur mes tétons et il bouge lentement dans mon cul, mes cris deviennent des hurlements.
- Oh oui, baise-moi Théo, encule-moi sans aucune limite, je suis ta chose.
Il ne dit rien, il m'encule lentement mais surement, il prend possession des lieux. Mais il sait y faire, j'ai rarement ressenti autant de plaisir en me faisant prendre. Je crois même que c'est vraiment la première fois que j'ai autant de plaisir. Ou peut-être est-ce simplement le fait qu'enfin Théo a daigné me baiser qui me procure cette sensation.
Toujours est-il qu'il me baise lentement, il n'y a pas de violence, juste une poigne ferme et déterminée qui décuple mon plaisir et mes hurlements. Jamais on ne m'a fait gueuler comme il arrive à le faire. Arrive le moment où il sort et me retourne, je suis à présent dans le sens de la longueur, il me relève les jambes et rentre de nouveau en moi. Cette fois je le vois, il me regarde et je le fixe avec vénération tout en couinant ou gueulant pendant qu'il s'active lentement en moi.
- Je vais te marquer à l'intérieur yan, tu es le réceptacle de mon sperme maintenant, ce sera le seul que tu auras dans ton cul.
Je ne sais même pas quoi répondre, alors je continue de couiner et gueuler sous ses assauts qui restent sans violence, toujours fermes et appuyés.
- Je t'avais dit que tu me verrais différemment le jour où ça arriverait et tu es sans voix yan. Je vais continuer à te baiser et te faire baiser pendant tout ton séjour et même après... Et n'oublie pas que c'est moi qui décide quand ça arrive.
- Oui Théo, je veux t'appartenir, je n'ai jamais ressenti une telle envie pour un mâle et un tel plaisir à lui obéir.
Théo continue à m'enculer en grognant, avec un plaisir non dissimulé, à un rythme régulier pendant de très longues minutes. Je crois que c'est aussi la première fois que c'est si long et j'en suis ravi.
- Je suis satisfait de toi bâtard, tu bosses bien ici mais ton travail de putain n'a pas encore vraiment commencé, tu es à moi maintenant et pour le temps que je le déciderai.
- Oui Théo, marque-moi, je n'ai jamais ressenti ça, c'est incroyable.
Théo se met à rire.
- Tu es déjà marqué yan, j'ai joui en toi il y a quelques minutes mais tu as été tellement démonté que tu ne l'as pas senti...
- Mais... Tu n'as pas crié ta jouissance Théo...
- Je n'ai pas besoin de crier pour jouir ni de le montrer, c'est mon plaisir, pas le tien. En ce moment même tu es imprégné de ma semence de mâle, j'ai fourré mon bâtard...
Là encore, me voilà sans voix, première fois que je rencontre un mec comme ça, capable de tout contrôler. Il me lime encore le temps de débander puis sort, se lève et vient debout près de ma gueule, je nettoie sa queue avec passion. Il passe sa main dans ma raie qu'il me présente ensuite et je la lèche. Puis il me ramène au sous-sol et m'enchaîne au canapé. Il va retirer la cage de Paul qui bande direct mais il le laisse attaché et remonte dormir.
- Alors ? Demande Paul.
- Alors je suis enfin marqué, il m'a enfin baisé.
- Difficile de ne pas t'entendre hurler comme une salope... T'as gueulé quasiment 1 heure sans t'arrêter.
J'ouvre grand les yeux, je n'avais pas l'impression que cela avait duré aussi longtemps.
- J'ai pas vu le temps passer... Il m'a fourré de sa semence, c'était incroyable.
- P'tain ta gueule, j'ai envie de gicler là ! Je bande comme un fou et je peux même pas me toucher la queue.
Nous finissons par nous endormir et je fais de doux et beaux rêves, trop heureux de ce qui vient de m'arriver.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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