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7h... Une sonnerie stridente me fait émerger d'un sommeil profond. J'arrête la sonnerie et traîne un peu sur mon matelas. J'ai dormi nu, je frotte ma queue raide contre le matelas, je regarde mes bracelets métalliques, je les aime... Je me mets sur le dos, je me branle en me titillant un téton, je suis excité, je gémis puis je me lève, m'interdisant d'aller plus loin.
Direction la salle de bains pour me laver. Je prends ma douche à genoux, c'est une douche à l'italienne, je me branle de nouveau, me titille toujours un téton, je couine encore pendant que l'eau coule sur mon corps. Je dois stopper sinon je vais jou... Gicler.
Le nettoyage intégral est terminé, je finis par un brossage de dents, j'ai toujours été très pointilleux sur la propreté alors quand je sors de la salle de bains, mon corps est intégralement propre et, si j'ose dire, prêt à l'emploi.
J'enfile mon jean et gravis les marches et sors de ma geôle, je m'active à préparer le petit déjeuner. L'horloge affiche 7h30, j'ai donc du temps.
L'odeur du café commence à emplir la cuisine, ça me réveille, je cherche ce que je dois préparer à manger, je farfouille dans les courses de la veille et j'installe le tout sur la table.
7h55. Théo se lève à 8h, tout est prêt. Je laisse le café au chaud et vais m'installer devant la porte de sa chambre à genoux.
8h00 pile, la porte s'ouvre, Théo apparaît nu, je l'admire, je crois même que je lâche un couinement.
- Bonjour mon Maître, dis-je avec vénération.
- Salut bâtard, lâche-t-il avant de m'attraper la tête et fourrer sa bite dans ma gueule pour y pisser.
Je me tiens droit, à genoux, mains dans le dos et je bois. Toujours un peu difficile celle du matin car forte en goût et acide mais je m'applique, l'entendre soupirer d'aise me motive à bien faire. C'est long, la vessie était bien pleine mais je n'ai pas perdu une goutte.
Bien qu'il ait terminé, il ne se retire pas, je sens sa bite gonfler lentement. Retenant les leçons précédentes, je ne bouge pas et laisse l'engin durcir et gonfler.
- Théo... Tu fais quoi ?
Une voix féminine dans la chambre, pas celle de ma soeur, je me contracte de surprise mais essaie de rester immobile.
- J'arrive, prépare ta chatte, je vais te baiser et te faire gueuler...
Théo bande comme un âne dans ma gueule, il me regarde.
- Tu prépares 2 tasses de café uniquement.
Il ne me laisse pas le temps de répondre, rentre dans la chambre sans fermer la porte et j'entends la femme hurler de plaisir à peine une minute plus tard.
Je me redresse et vais servir le café, je suis étonné par cette présence féminine et je n'ai rien entendu cette nuit, il faut dire que j'ai bien dormi. Je jette un oeil dehors, il y a une voiture devant l'entrée.
Des gémissements, des couinements, des cris s'élèvent toujours de la chambre. C'est cru et ça semble violent.
" Oh oui, baise-moi "... " T'aimes ça salope... "... " Vas-y défonce-moi... "... " Ouais, je la fourre bien ta chatte de putain... ".
Et ça n'arrête pas pendant au moins 10 minutes, gémissements, insultes, cris de plaisir... Puis les hurlements d'orgasme des 2 côtés.
Le calme pendant une minute.
- Allez, habille-toi et casse-toi maintenant, je te siffle quand j'aurais encore besoin de te baiser.
Pas de réponse, 2 minutes plus tard, je vois une jolie rousse sortir de la chambre, elle stoppe son avancée quand elle me voit. Il faut dire que je porte juste un jean et que mes bracelets métalliques et mon collier sont bien visibles. Théo la suit et la pousse pour qu'elle avance.
- Je t'ai dit de te casser, j'ai plus besoin de toi !
Elle baisse la tête, marmonne un " Oui Théo " et sort sans dire un mot, monte dans sa voiture et part.
Théo visualise les 2 tasses de café sur la table de la cuisine. Il est nu, me jette quelque chose que j'attrape au vol.
- Pour ton café.
C'est sa capote, nouée, pleine de son sperme et bien remplie. Je le regarde ahuri...
- Quoi ? C'est pas parce que je te baise pas que tu n'as pas le droit à mon foutre, t'aurais préféré venir le lécher sur sa chatte ?
Je fais une grimace qui le fait rire. Je n'ai jamais aimé les femmes, j'ai essayé étant jeune mais c'est pas fait pour moi, je ne suis pas du tout réceptif à leur morphologie. Je reste debout pendant qu'il s'assoit, ne sachant pas si j'ai le droit d'être à table mais j'ai retenu la leçon d'hier, je ne dis rien et attends les ordres.
- Assis et prends ton petit déj !
J'obéis, m'installe à table, il me regarde avec ce côté bourru, agressif et de mauvaise humeur du matin.
Je saisis la capote, attrape un couteau et la perfore au-dessus de mon café. Le sperme s'échappe et tombe dans la tasse, Théo semble satisfait et grogne de plaisir.
Pas un mot ne filtre ensuite, mon beau-frère ne doit jamais être dérangé le matin, c'est pas du tout le bon moment.
8h45, je fais la vaisselle, Théo est descendu au sous-sol, il remonte rapidement.
- Baisse ton froc.
Sans demander pourquoi, je le fais immédiatement, il m'installe une chaîne qui part de mon collier, passe dans l'anneau de mon cockring et remonte à mon collier. Un petit cadenas vient sceller le tout.
- Remonte ton froc, mets tes chaussures et tu vas sur le toit pour la matinée. Je veux que toutes les tuiles cassées soient remplacées.
Sans dire un mot, je m'exécute et monte travailler sur le toit. Bizarrement, la chaîne que Théo m'a posée me motive, elle me conditionne, je suis son esclave ici et il n'est pas un mauvais Maître à bien y regarder. Je suis bien traité, confortablement installé, je paie mon incarcération en nature et en travaux et ça me va bien.
Fin de matinée, Paul débarque au volant d'un fourgon. Théo a travaillé dans la grange toute la matinée à la vider, lorsque Paul arrive, j'ai ordre d'aller me laver puis de faire à manger pour 3. Pendant que j'y vais, il monte sur le toit inspecter mon travail. Je ne suis pas inquiet, j'ai bien travaillé.
Une fois mon lavage terminé, je remonte dans la cuisine m'affairer aux fourneaux. Les 2 hommes sont dehors et discutent tout en déchargeant le fourgon.
Le fourgon vide, ils rentrent. Je viens juste de finir le déjeuner. Théo claque des doigts et sort sa bite, je viens me mettre à genoux, la gobe et le laisse se vider la vessie.
Paul regarde en lâchant un " wouh ", je le regarde, ses yeux sont rivés dans les miens, ils brillent d'excitation.
- Vas-y si tu veux, lui dit Théo après que je lui ai bien pressé la queue avec mes lèvres pour les dernières gouttes.
Paul ne se fait pas prier et sort sa bite que je gobe aussi. Il commence à bander, ça va être long.
Au terme de longues minutes, Paul finit par pisser, j'avale sans sourciller, il soupire de soulagement en me caressant la tête. Il me regarde presque admirativement, j'en suis gêné.
Les hommes se mettent à table, j'apporte les assiettes, pour moi ce sera par terre comme l'indique le doigt de Théo au moment où je m'approche de la table.
Les discussions vont bon train entre eux pendant le repas, ils doivent encore vider la grange puis remplir le fourgon avec ce qu'ils auront sorti. Nous sommes dimanche, la déchetterie est fermée, il faudra emmener le fourgon plein demain. Paul restera donc avec nous ce soir, il envoie un sms à sa femme.
J'ai ordre de poncer la rambarde et la terrasse en bois pour l'après-midi après avoir été félicité pour mon travail sur le toit. Le repas fini, je fais la vaisselle et m'active au ponçage toute l'après-midi.
18h, arrêt des travaux, les 2 hommes rentrent prendre l'apéro, la bière commence à couler à flots dans leur gosier, moi je m'active pour le dîner et je sens que je vais beaucoup boire quand ils entament leur 3ème bière.
Je dresse la table, mets 2 assiettes mais Théo m'annonce que ce soir je mange à table et que j'ai le droit à une bière parce que j'ai bien travaillé.
Nous mangeons, discutons, rions de tout et de rien, je me sens comme à une soirée entre potes. La différence c'est que je suis le seul à être torse nu, pieds nus et que je porte mes bracelets métalliques, mon collier et cette chaîne qui en part pour s'enfoncer dans mon jean.
Repas fini, je fais la vaisselle, les mâles sont au salon à regarder la télé pendant une petite heure, moi je reste à genoux, en retrait mais Paul me regarde souvent...
L'émission se termine, ordre m'est donné de leur apporter une septième bière puis d'aller me laver. Aucun doute sur le fait que mon travail de putain va commencer.
Je descends donc dans ma prison et passe à la salle de bains me laver intégralement. Théo entre et regarde. Je termine ma douche et vais pour me sécher mais il me dit de le suivre. J'obéis, ruisselant, il m'indique le milieu de la pièce, là où est l'anneau au sol où il m'avait attaché hier. Cette fois il m'attache les bras écartés en l'air, il fixe la chaîne à une poutre puis m'écarte les jambes en tirant sur des chaînes au sol reliées à des anneaux ancrés dans le bas du mur.
Me voilà donc enchaîné en position de croix, je suis nu cette fois et il me pose mon bâillon.
Paul descend, il a pris une douche aussi, ses cheveux sont encore un peu mouillés. Il siffle en me voyant, se met la main au paquet à travers son jean tout en finissant de descendre les escaliers et se désaltérant d'une gorgée de bière.
Théo s'installe dans le canapé et commence à jouer avec son mobile.
- Il est à toi, profite bien, dit-il à Paul.
Paul s'approche et me titille un téton, je commence à me contorsionner...
- Sensible ? Demande-t-il en riant.
Je fais un " oui " de la tête. Il passe à l'autre téton, ça ne manque pas... Je commence à bander.
Les yeux de Paul se posent alors sur ma queue qui gonfle, je le vois ouvrir la bouche...
Il me lâche le téton et va poser sa bière. Il enlève sa chemise et me dévoile son torse imberbe sur lequel un tatouage tribal part de son téton gauche pour descendre jusqu'au bas ventre. Il est très bien fait, pas musclé mais mince...
Il revient vers moi et me titille de nouveau les tétons, ma queue tressaute, il la regarde avec insistance.
Une de ses mains descend en caressant mon torse et vient sur mes couilles qu'il commence à presser. Le cliquetis de mes chaînes augmente mon excitation.
- Suce-le... Dit Théo toujours affalé dans le canapé à jouer avec son mobile et en jetant de temps en temps un oeil sur Paul et moi.
Paul me lâche les couilles et le téton.
- Hein ?!
- Tu m'as bien entendu, tu baves devant sa bite alors suce mon bâtard !
- Attends mec, y a erreur là, je suis pas pédé.
- Pédé peut-être pas mais t'as envie de sa queue, t'as envie de lui depuis que tu es arrivé. Tu veux l'enculer ? Alors tu le suces avant... Et puis lâche-toi Paul, tu te plains qu'avec ta femme y a plus rien, t'as l'occasion ici de te faire du bien. Je suis sûr que t'aimes aussi les mecs.
Long silence, Paul me regarde dans les yeux.
- Ma première fois c'était hier quand j'ai enculé ton bâtard... dit-il toujours en me fixant.
- Et t'as aimé ?
- Oui... Mais ça fait pas de moi une tarlouze...
Théo se lève du canapé et vient poser une main sur l'épaule de Paul.
- Je te le laisse pour la nuit, tu en feras ce que tu veux sauf lui jouir dans le cul. Si tu le veux pour te défouler, tu le suces d'abord, je suis sûr que tu en meurs d'envie. Je suis sûr qu'il y a un bâtard qui sommeille en toi Paul... Je me trompe jamais sur ce genre de chose. Je peux te faire découvrir beaucoup de choses puisque tu ne niques plus avec ta femme...
Théo me regarde tout comme Paul, j'ai 2 mâles devant moi dont l'un essaie de prendre l'ascendant sur l'autre, je bande comme un fou et je vois le biceps de Théo se contracter pour appuyer un peu plus sur l'épaule de Paul...
Yan
ftasm@yahoo.fr
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