Premier épisode | Épisode précédent
L''attente du retour de mon beau-frère est moins longue que j'aurais cru, j'entends la voiture se garer, la portière claquer... Une seconde portière claquer... A moins que ce soit le coffre. Non... Là le coffre vient de claquer.
Des bruits de pas au rez-de-chaussée, des voix... Théo n'est donc pas seul mais les déplacements restent en haut. Ils finissent même par disparaitre l'espace de quelques minutes.
Puis la porte du sous-sol s'ouvre, la lumière revient, je plisse les yeux, je m'étais habitué à la pénombre.
- Et voilà la bête...
La voix de Théo. Je cligne un peu des yeux, il a une bière à la main. Il est suivi par un autre homme, cheveux noirs, barbe fournie mais très entretenue, le type de bûcheron canadien bien viril. Il a une bière aussi.
Théo s'adosse au mur, son ami me regarde amusé.
- Et c'est donc ton beauf ?
- Ouais, cadeau de ma femme pour un mois minimum.
Mes yeux se rivent sur Théo quand j'entends le mot " minimum ", il affiche un sourire jusqu'aux oreilles et prend une bonne gorgée de bière.
Son ami s'avance vers moi et me tourne autour tel un prédateur autour d'une proie. Proie facile, je ne peux pas bouger. Il se plante devant moi, boit une gorgée et m'attrape un téton qu'il commence à malaxer.
L'effet est immédiat, je couine dans mon bâillon, me tortille un peu, sentir que mes bras restent bloqués dans mon dos augmente mon excitation, je penche la tête de biais et couine de nouveau. L'homme sourit, reprend une gorgée, sa main caresse mon torse, mon ventre puis remonte sur l'autre téton, provoquant de nouveaux couinements de ma part.
Après quelques titillements, sa main repart sur mon torse, il recommence à tourner autour de moi, sa main suit tranquillement sur mon épaule, dans mon dos, elle descend le long de ma colonne vertébrale, me provoquant des frissons.
Il est derrière moi maintenant, sa main descend lentement, elle se heurte à mon jean, elle passe par-dessus et trouve immédiatement le trou à l'arrière, elle s'y engouffre, me caresse les fesses et continue sa progression sur le chemin vers ma rondelle qu'il me titille très doucement.
De mon côté, mes yeux sont plantés dans ceux de Théo qui affiche un sourire sadique et satisfait.
- Tu veux l'essayer Paul ?
L'homme dont je connais enfin le prénom fait un " hmmm " positif pendant qu'il avale une gorgée de bière et m'enfonce un doigt provoquant un petit soubresaut de ma part, je ne m'y attendais pas. Et pourtant, ça faisait un moment qu'il titillait ma rondelle finalement.
- Vite fait alors si tu veux que je t'aide ensuite pour la grange car ma femme ne tardera pas à venir me chercher, je la connais bien. T'as des préservatifs ?
J'écarquille les yeux, Théo montre du doigt l'armoire, Paul s'y dirige, pose sa bière et prend un préservatif, sort sa bite que je regarde rapidement, elle est raide, dure et de taille correcte, mais mon regard se tourne de nouveau vers Théo, bien que ne pouvant pas parler, j'ai envie d'hurler " Non mais t'es sérieux là ? Tu me fais baiser par procuration ou quoi ? Je suis ton bâtard et le premier truc que tu fais c'est me faire baiser par un autre ?! ", je me sens limite offusqué d'une telle méthode. Théo semble lire dans mes pensées et se met à rire.
- Je t'avais dit que je te baiserai pas aujourd'hui yan, j'ai jamais dit que je te ferai pas baiser...
Paul s'installe tranquillement derrière moi, il me fait me pencher légèrement, mes yeux ne quittent pas ceux de Théo. Je l'entends cracher et je sens sa queue s'insinuer entre mes fesses, son gland se présente devant ma rondelle. Sans vraiment prendre de précaution, il m'encule directement. Il entre sans s'arrêter, pas avec violence mais à fond en soupirant d'aise.
Une fois au fond, il s'immobilise quelques secondes.
Je sais donner du plaisir, j'ai compris que c'est à ça que je vais servir alors je fais mon job, je commence à contracter mon cul pour masser la bite de Paul. Il gémit immédiatement.
- Oh putain l'enculé ! Ouais ! Vas-y salope, fais ton taf de bâtard !
Quelques minutes à bien masser et exciter la bite de Paul puis il pose ses mains que chaque côté de mes hanches et commence tranquillement à aller et venir.
Je regarde Théo dont les yeux semblent briller d'excitation à me voir ainsi enchaîné et me faire prendre par un de ses potes.
Paul s'active tranquillement, il prend son temps, je l'entends soupirer de plaisir, il me lime mais sans violence, sans à-coup, le rythme est régulier. Et cela dure 15 bonnes minutes.
- Ah ça fait du bien de limer une pédale surtout comme ça, déjà on l'entend pas gémir comme une pute mais j'adore la façon dont tu l'as enchaîné Théo. Ma femme accepterait pas ça...
- Tu pourras l'utiliser régulièrement si tu veux, il est à moi, il est docile et il aime ça.
Paul a lâché mes hanches, ses doigts viennent sur mes tétons, zone ô combien sensible, à peine les triture-t-il que je me crispe, ma tête part en arrière, je couine dans mon bâillon, mon corps se contracte de plaisir, je masse la queue de Paul pendant qu'il me lime...
- Putain de bâtard ! Il sait y faire le salaud !
Paul accélère le rythme, devient violent cette fois, je l'entends qui commence à respirer plus fort.
Moi aussi je respire plus fort, il me titille les tétons c'est à la fois délicieux et douloureux, je souffle dans mon bâillon, je bave depuis le temps que je le porte, Paul est sauvage maintenant, il me défonce littéralement, il pousse tellement fort quand il entre à fond que je pars vers l'avant mais cette chaîne au sol me maintient fermement là où je suis, tirant sur mes couilles... Et Paul se défoule quelques minutes avant de souffler comme un veau au moment où, dans un râle de mâle qui atteint l'orgasme, il décharge son foutre dans la capote.
Il reste immobile une bonne minute avant de se retirer en douceur, ôter le préservatif, ranger sa queue et retourner chercher sa bière.
Les 2 hommes remontent alors en riant, la lumière disparaît, la porte se referme et j'entends leurs voix sans en distinguer les paroles mais ils semblent rires. Puis ils sortent du chalet et je les entends se diriger vers la grange.
Après un temps que je n'arrive pas à évaluer, j'entends une voiture, ce doit être la femme de Paul si j'ai bien compris. Encore quelques rires puis 2 portières qui claquent et la voiture repart.
Théo vient me voir, il se poste devant moi l'air triomphant et fier de lui.
Il se penche légèrement vers mon oreille.
- A genoux mon bâtard...
J'obéis bien entendu.
Il sort sa queue, défait mon bâillon et y met sa bite à la place. Il pisse, j'avale et il faut dire que je commençais à avoir soif.
Une fois terminé, il remballe le matériel et me fait signe de me relever.
J'obtempère, il passe derrière moi, libère mes bras puis ôte la chaîne qui me reliait au sol. Je suis libre en quelques sortes du moins, libre d'obéir pour la suite.
Je ne dis rien, j'attends les instructions bien que je me sente vexé de ne pas avoir pu le sucer ou qu'il n'ait pas été le premier à me prendre mais Théo aime humilier et il a totalement réussi.
Il va vers l'armoire et sort une paire de chaussures de type sécurité.
- Mets-les, il faut que tu vides les courses du coffre de la voiture, que tu les ranges ensuite tu prépareras le repas pour toi et moi. Je suis très fier de toi pour ta première prestation, je suis extrêmement excité et content de t'avoir à moi bâtard.
- Alors pourquoi tu me baises pas ? Dis-je sans vraiment réfléchir et sur le coup d'une petite colère qu'on pourrait appeler caprice voire jalousie.
Théo s'approche lentement de moi, sa bouche proche de mon oreille, il murmure...
- Mais parce que tu dois me mériter yan... Parce que je fais ce que je veux et que te voir te faire enculer devant moi est plus jouissif que de t'enculer moi-même... Parce que je veux t'humilier et surtout yan... Je veux te faire attendre, te faire baver et être sûr que quand je vais te baiser, ce sera la seule chose qui compte pour toi, que tu seras tellement attisé par le désir de m'appartenir que tu donneras encore plus que ce que tu peux donner immédiatement alors non yan, je vais pas te baiser tout de suite et estime-toi déjà honoré de recevoir ma pisse et ma bite dans ta gueule de tarlouze.
Il se recule un peu, penche la tête sur le côté et me caresse la joue.
- Ai-je été suffisamment clair cette fois bâtard ?
Je le regarde, les yeux écarquillés non de stupeur mais de respect.
- Parfaitement clair Théo.
- C'est bien, dans ce cas, enfile tes godasses et monte vider les courses, moi, j'ai une bière à finir...
Yan
ftasm@yahoo.fr
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