Premier épisode | Épisode précédent
J'ai donc repris ma place en cuisine au service des repas et au coucher de mon maître. Je suis content, mais je redoute le retour de Manius. Il est parti depuis plusieurs jours pour amener une missive au père de Gallius à Naples.
Ce soir, je rejoins Gallius dans sa chambre. Il m'y attend assis sur son lit. Moi - bonsoir maître.
Gallius - c'est bien, tu es à l'heure. Mais avant je dois re parler. A tu vu ce que j'ai fait placé à côté de l'entrée ?
J'ai en effet remarqué une banquette.
Galluis - c'est pour toi tu y dormiras la nuit, c'est mieux que sur le sol. Et dessous, il y a un coffre il y a du linge une couverture et surtout deux nouvelles tenues. Demain je veux que tu te laves correctement et que tu débarasses de cette tenue. J'ai l'impression qu'elle sent l'urine de Manius.
Je suis émue de cette marque de gentillesse et je me mets à terre en baisant les pieds de manius pour le remercier.
Moi - merçi mon maître.
Je le regarde dans les yeux pour voir s'il souhaite que je le remercie en lui faisant du bien, mais non, il sourrit et me dit.
Gallius - relève-toi et finit mon coucher et va dormir. Reviens demain, propre et avec une nouvelle tenue.
Je vais me coucher et prépare ma couche et je m'endors très vite.
Le matin je suis réveillé par les premiers rayons de soleil, immédiatement je rejoins Maria dans la culina et lui demande de m'aider. Je sais qu'elle crée des préparations lavantes.
Maria - allez enlève cette tenue, et pas de fausse pudeur.
Elle jette ma vielle tenue dans le feu. Elle fait chauffée de l'eau et avec un linge enduit de sa préparation elle me frotte tout le corps. Elle me fait mettre debout dans une grande bassine et me rince avec de l'eau chaude. Je fini par me sécher correctement. Elle décide aussi de me laver et de me couper les cheveux. Bien propre j'enfile une nouvelle tunique, c'est très agréable de passer une tenue propre. J'ai même droit à quelques petites gouttes de parfum.
Maria prépare le plateau pour le petit déjeuner de Gallius.
Puis je prends le plateau pour l'amener à mon maître. Je rentre dans la chambre, Gallius dort encore.
Je m'attarde à le contempler. Son souffle est lent et régulier. Je le trouve beau. Je regarde son visage grave mais qui s'illumine quand il sourrit. Ses yeux verts fermés par ses paupières aux longs cils noirs sumontés par deux sourcils noirs fournis.
Le linge fin qui le recouvre mets ses formes en valeur. Je regarde son torse musclé, son ventre plat et ses jambes bien dessinées. Je remarque aussi la grosse bosse que forme son sexe avec une érection matinale. Je me surprends à saliver. Il est temps de le réveiller.
Avec douceur je le réveille.
Moi - Maître, maître.
Il se réveille lentement et ouvre les yeux.
Moi - bonjour maître.
Il s'assoie sur le bord de son lit et je lui donne le grand verre d'eau fraiche qu'il boit tout les matin à son réveil.
Gallius me regarde de haut en bas.
Gallius - très bien, tu es propre et tu porte une nouvelle tunique. Tu as même couper tes cheveux ?
Moi - oui c'est Maria qui m'a aidé.
Gallius - c'est une vraie mère pour toi.
Il hume l'air et me dit :
Gallius - tu es aussi parfumé ?
Moi - oui maître.
Il se lève et me regarde fixement, un silence pesant se fait.
- tu es vaiment beau comme ça.
D'un coup ! il lance un juron, s'avance vers moi, saisit fermement ma tête dans ses mains et dépose ses lèvres sur les miennes. Il m'embrasse et sa langue se fraye un passage dans ma bouche. Nous sous embrassons pour la première fois. Il embrasse bien et j'aime ça. Mais il s'arrete rapidement et de toute sa force il me soulève et me dépose sur le dos sur son lit. Il me prends par les chevilles et les relève très haut. Je me retrouve le cul en l'air bien visible. J'apperçoit qu'il bande dur. Il m'écarte les jambes à me faire mal. Il crache dans une de ses mains et s'enduit la queue , puis il crache sur ma raie et y passe sa main tout en tatant mon anus au passage. Un de ses doigt me pénetre rapidement. Il me masse l'anus et très vite il en met un deuxieme puis un troisiéme, puis le quatrième. Il me doigte et me dilate l'anus. Je vois qu'il me fixe avec un regard remplit se desir. Une fois mon cul bien, ouvert il retire ses doigts pour les remplacer par sa bite. A peine je sens son gland brûlant sur mon trou qu'il me pénètre lentement de toute la longueur de son sexe. Je sens bien son gros gland et toute la longueur de sa bite écarté mes chair et me pénértré entièement jusqu'à que je ressente les picotement de ses poils surmon anus. Il pousse une petit gémissement de bien être.
- ha que tu es bien ouvert et acceuillant.
Les jambes bien écartées, tenues par ses mains, il commence de lents mais puissant va et vient. Il me fixe et m'ordonne :
- regarde-moi !
La situation est ardente, il me baise durement mais il ne me fait pas mal. Je ressens plutôt énormément de plaisir, je retients mes cris de plaisir. Alors que ses allers et retours dans mes entrailles se font plus rapidement, il me dit sévèrement :
tu aimes ça ?
Je n'ose paz répondre, je ne sais pas ce qu'il souhaite entendre, et il dit :
alors tu aimes ma grosse queue dans ton petit cul ? Répond !
Je ne peux que répondre un " oui " à peine audible tellement que sa queue me remplit. Il dit :
alors montre-moi, couine !
Il n'a pas besoin de me le dire deux fois, tellement j'aime sa bite qui me laboure maintenant furieusement. Je pousse des gémissements de délice que je retiens avec peine pour ne pas ameuter toute la villa.
Gallius - oui, cri, ça m'excite !
Alors qu'il se démène en moi, je prends un plaisir immense, je vois des gouttes de sueur qui luisent sur son front. Parfois, il arrête de me fixer pour regarder sa grosse queue disparaître dans mon cul.
Je sens qu'il est au bord de la jouissance. Il me donne plusieurs coups de reins violent en criant de plaisir et de délivrance. Je ressens alors la bonne chaleur se son sperme qui se répand au fond de moi, ce qui me provoque un orgasme fulgurant. Mon corps est pris de soubresauts incontrôlables. Puis il se retire de moi et s'allonge à côté de moi.
Je laisse mes jambes redescendre doucement avec douleur, car il me les a tellement écartées que j'ai mal aux aines. Quelques minutes s'écoulent et il dit :
laisse-moi et reviens ce soir.
Je le quitte, mais j'ai,une furieuse envie de me masturberr. J'arrive à m'isoler et je me branle rapidement et je gicle plusieurs jets abondant de sperme sentant celui de Gallius dégouliner de mon cul sur mes cuisses. Je dois attendre que Maria quitte la culina pour le marché pour aller me vider sur les latrines.
Seithan
seithan@orange.fr
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