Rome, Gaius Julius Caesar règne en maître absolu sur tout son empire. Moi je me nome Situs et la politique ne me regarde pas je suis esclave, comme l'étais mes parents. Mon père et mort dans un accident alors que j'étais encore un bébé, quand à ma mère, la maladie l'a emporter à mes 7 ans. Le patricien que nous servions m'a gardé, mais je me suis mis directement à travailler.
Mon maître s'appelle Gallius, un homme grand avec beaucoup d'influence, connue pour son incroyable appêtit sexuel. Toutes les esclaves féminines ont dû accepter ses envies. Il a aussi quelques maîtresses parmis de riches patriciennes et il fréquente le lupanar le plus luxueux de Rome.
Mon travail est d'aider à la préparation des repas et le service de ces derniers. Lors des grands banquets, les serviteurs doivent être bien entretenus, cheveux et ongles coupés et soignés. Nous sommes habillés de tenues courtes mais neuves et propres, nous avons même le droit a trois gouttes d'huile parfumée.
Ce jour-là, mon maître a organisé un grand banquet avec des hommes très importants de Rome. Le repas est bien arrosé de bon vin. Les convives sont ravis et l'ambiance est bonne. Moi je m'efforce de faire mon travail correctement.
La soirée se termine très tard. Gallius qui a l'air bien ivre me demande de l'accompagner dans son cubiculum. Arrivé dans sa chambre, il s'assoit sur le lit et je dois l'aider à se déshabiller. Mais où est son esclave particulier ? C'est son travail pas la mien ! Mais je dois m'exécuter. Puis, en rangeant ses habits, je fais tomber à terre une fibule, je me baisse pour la ramassser et elle me glisse encore deux fois des mains. Enfin, je la récupère et me retourne vers mon maître. Il est nu assis sur le lit son sexe en totale érection, il me regarde d'un regard vitreux avec un sourire vicieux qui se dessine sur son visage. Il me dit.
tu viens de m'offrir un spectacle des plus ravissants. Tu as un cul magnifique, aussi beau que celui d'une femme.
Je n'ose rien dire. C'est la première fois que je vois Gallius nu. Malgrés ma surprise et mon malaise de le voir ains, mon regard ne peux se détaché de lui. Son corps est massif et bien fait et légérement hallé. Je le trouve beau et son sexe est très gros et long. Il se lève et viens vers moi, il me prend le bras et avec tour de main, je me retrouve face à un mur. Il me tord le bras dans le dos, je ne peux plus bouger.
tu as déjà reçu le sexe d'un homme en toi ?
Tout tremblant et tétanisé je réponds doucement :
non maîte jamais.
un cul pareil ne serait resté vierge.
Mais qu'arrive-t-il à mon maître, je ne lui connais pas de relation homosexuelle.
Gallius me relève ma tunique et place son énorme sexe entre mes fesses. Un frisson de terreur me parcourt le corps, il veux me pénêtrer. Il essaie plusieurs fois, mais il n'y arrive pas et finit par débander. Avec un grand soupir de déception, il retoune sur son lit se couche et s'endort presque aussitôt.
Le lendemain matin nous avons retrouvé l'esclave personnel de Gallius dans l'hortus (jardin) mort. Le méducus a expliqué qu'il était mort d'un arrêt du coeur sans autres explications.
Mon maître m'a ordonné de le remplacer. Je deviens donc l'esclave particulier de Gallius. Mon travail est de répondre à ses demandes, de veiller au rangement et à la propreté de son cubuculum et de ses affaires personnelles. Par ailleurs, je ne dormais plus avec les autres esclaves, mais sur une paillasse à l'entrée de la chambre de mon maître, pour être toujours disponible.
Le matin, je l'aide à mettre sa tunique et sa toge quand il sort de la villa. Le soir je l'aide à se déshabiller.
Depuis le soir du baquet il ne s'est rien passé de plus je me demande même s'il s'en souvient.
Plusieurs jours sont passés et je fais mon travail du mieux que je peux.
Un soir il était invité à un banquet chez un ami. Il rentre très tard et il est saoul. Arrivé dans sa chambre je veux l'aider à se déshabiller mais il me stoppe net. Il me regade sévèrement et dit.
je n'ai pas oublié, le soir du banquet. Aller montre moi ton cul je veux le revoir. Enlève ta tunique.
Moi - mais maître je ...
G - quoi ! Tu remets en cause un de mes ordres, mets-toi nu sur-le- champs !
Je dois me déshabiller et lui me regarde avec un regard lubrique.
G - retourne toi , prends appuie sur le lit et tends bien ton cul !
J'ais très peur, mais je fais tout ce qu'il me dit. Je l'aperçois se mettre nu et je vois à nouveau son sexe gros et long avec un gros glans rouge vif. Il prends une petite fiole qu'il verse sur ma raie, puis, s'enduit le sexe avec. C'est gras et de ses doigts, il masse mon anus avec.
G - avec ça, cette fois-ci ça va bien rentrer.
Je sens son gros gland chaud sur mon anus il pousse et il réussi à forcer le passage. Je cri de douleur, j'ais l'impression d'être déchiré, mais il continue à me pénéter.
G - détends-toi ! Sinon tu auras encore plus mal.
Me détendre ... Avec ce qu'il me met dans le cul ! C'est bien trop gros pour mon moi et pour une première fois. Mais il s'en fout et je sens ses poils pubiens sur mes fesses. J'ais l'impression d'être fendu en deux. Puis il commence ses va-et vient. Alors que je serres les dents pour ne pas crier et ameuter tout le quartier, la douleur s'est mêlée avec une sensation bizarre, mais semi-agréable, que je ressens au fond de moi. Quelle est cette émotion qui nait en moi. En me concentrant sur celle-ci,, la douleur deviens un peu plus endurable. Mon maître me lime sans douceur, je sens bien son sexe qui laboure mon intimité. Heureusement ça ne dure pas trop longtemps et d'un coup il crie et je sens sa queue grossir et vibrée au plus profond de moi. À ce moment, je ressens une chaleur se répandre dans mon cul. Malgré la situation grotesque, c'est agréable, mais je dois cacher mon émotion. Les esclaves n'ont pas droit au plaisir.
Il se retire et m'ordone de partir, ce que je fais immédiatement. À l'entrée de la chambre, Servius un esclave de mon âge m'attends.
L - j'ai entendu un cri mais je n'ai pas osé entré.
Moi, en pleurs - il a... il a mis son sexe en moi. J'ai très mal.
Servius me demande de le suivre dans la culina. Il me prodigue des soins avec des sortes de pommades dont il a le secret. Ses soins calmes un peu ma douleur. Une fois terminé, je reviens directement à la chambre de mon maître. Il est endormi sur son lit. Je referme la porte et me couche devant sur ma paillasse.
Le lendemain, il se lève très tard avec un mal de tête. Il me crie :
viens ici et donne-moi le breuvage contre le mal de tête.
Je lui sers immédiatement, mais je n'ose pas le regarder. Et comme s'il ne s'êtait rien passé, il ne fait aucune allusion à ce qu'il m'a fait subir. Son attitude me trouble. Et alors qu'il me regarde il remarque une tache rouge derrière ma tunique.
c'est quoi cette tache sur ta tunique?
Je ... j'ai saigné.
Là, il comprend et il se contente de se taire et de me tourner le dos.
A tous les lecteurs dites moi si cela vous a plus et j'écrirais la suite.
Seithan
seithan@orange.fr
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