Premier épisode | Épisode précédent
Le Lendemain matin je réveil mon maître. Alors qu'il est prêt a partir au Forum un esclave du nom de Manius lui demande audience.
- Maître puis-je vous parler ?
Gallius - est-ce important ?
Manius - non pas vraiment maître.
D'une voix excédé Gallius lui répond :
alors ne me dérange pas, ça attendra !
Manius est un esclave avec qui je ne m'entends pas, il est jaloux de ma position.Iil a toujours visé la place que j'occupe auprès du maître. Si Gallius m'a choisi, c'est parce que je suis plutôt beau. Même si je prends de l'âge, j'ai toujours un visage juvénil et un corps androgyne, svelte avec des hanches un peu rondes et un cul rebondi et ferme. Sans oublier une peau d'une douceur satinée. La cuisinière de la villa, me nomme '' enfant de Vénus '' La légende raconte, que la déesse Vénus descend parfois de l'Olympe parmi les humains. Elle dépose ses mains sur le ventre de femmes enceintes endormies pour que l'enfant, hérite de sa grâce et de sa beauté.
C'est pour cela que certains esclaves me disent :
- Toi, tu dois être ''un enfant de Vénus''.
Moi ça me fairt sourire.
Il est vrai que Manius n'est pas beau avec un visage ingrat. Je ne sais pas pourquoi le maître l'a acheté, car il faut dire que la plupart des esclaves sont bien faits (surtout les femmes). Il est toujours de bon augure qu'un maître s'entoure de belles personnes, même ses esclaves.
Manius a été acheté très jeune, on a presque le même âge, mais nous n'avons jamais eu de bon rapport. De plus, il est assigné aux travaux de la villa les moins envieux. Entretien de la villa, lavage des habits et du linge, s'occuper des ordures et propreté des latrines.
Ma position auprés du maître et au service des repas est convoitée.
Ce soir, au retour du maître, dans le tablinum, Manius a le droit de lui parler. Là, je ne participe pas à la conversation. Puis j'entends mon maître crier très fort énervé. Manius sort, vient me voir et me dit :
le maître veut te voir.
Je ne comprends pas tout et je me dirige vers le tablinum, mon maître m'y attends. Il me regarde méchamment mais silencieux, je baisse le regarden signe de soumission. Manius revient accompagné de Servius. Nous sommes côte à côte et Galluis d'une voix sèche et d'un ton contrarié :
vous savez pourquoi je vous ai convoqué ?
Moi - non maître.
Je reçois une gifle magistrale, je perds presque mon équilibre. Je sens le gout du sang dans ma bouche, ma joue me fait un mal fou et ma lèvre inférieure est fendue. Servius fait un pas vers moi, mais mon maître lui assène un coup de poing violent, qui le fait tombé à terre. Je le vois cracher du sang sur le sol. Je ne bouge pas de peur de subir le même sort.
Gallius - je crois que je dois répéter que je ne veux aucune relation quelqu'elle soit entre mes esclaves et je détéste me répéter ! Manius vous a vu hier soir. Je dois sévir et vous punir.
Je suis pris d'une peur horrible que va-t-il nous arriver ? Mon maître ordonne à Servius de se mettre à genoux devant lui. Alors qu'il se met en position, mon maître relève sa tunique et présente son gros sexe au repos face au visage de Servius et lui ordonne :
allez puisque tu aimes ça, suce !
Servius s'y refuse.
Gallius - suce, c'est un ordre, ou je te frappe encore et de plus en plus fort !
Mon maître le prend fortement par les cheveux et plaque le visage de servius contre son membre qui commence a prendre du volume. Une énorme claque le fait abdiquer et il ouvre la bouche. Gallius y introduit brutallement sa queue et entame un va-et-vient violent. Ecoeuré je détourne le regard.
Gallius - ha non, toi tu vas regarder, Manius oblige le !
Manius me prend fortement par le bras et empoigne mes cheveux et m'oblige à regarder le calvaire de Servius.
Gallius défonce la mâchoire de Servius, qui, à chaque introduction du gros sexe du maître dans sa bouche, a des hauts le coeur. A chaque fois, il s'étouffe et j'ai l'impression qu'il va vomir. J'ai mal au ventre de voir comme il souffre, je me sens mal et j'ai la nausée.
Le supplice de servius dure longtemps, je le vois souffrir et de ses yeux coulent de grosses larmes. De la salive mêlée de sang, coule sur son mentont, sur sa gorge et le long de son cou. Il gémit de douleur, mais ses plaintes sont étouffées par l'engin qui lui remplit la bouche.
Moi - arrêtez maître je vous en prie !
Gallius - tu veux prendre sa place ?
Lr regard plaintif de Servius me remplit de pitié. Pour seule réponse et résigné, je tombe à genoux.
Gallius, affiche un sourire pervers et s'avance vers moi en tendant sa queue. Il attrape ma tête à deux mains et me fourre son sexe dans la bouche et entame des va-et-vient brutaux. J'écarte mes lèvres le plus possible, ma fissure me fait souffrir, mais je ne peux rien faire. Gallius me baise la bouche pendant encore de longues minutes. Malgré la douleur que mon maître m'inflige, et même si j'ai mal, la sensation de son gros sexe brûlant dans ma bouche, son goût et son odeur me procure une étrange sensation de plaisir. C'est la premiére fois que j'ai une queue dans ma bouche. Je sens sur mes lèvres et sur ma langue toute les aperités des veines gonflées et la forme du gland. Je sens un petit goût amer qui s'en libére. Parfois, Gallius me permet de reprendre mon souffle en la retirant de ma bouche, mais me l'introduit presque immédiatement.
Enfin, dans un grand cri, Gallius jouis et décharge son jus dans ma bouche. Je sens de gros jets de sperme chaud qui gicle au fond de ma gorge. Avec un ton sec il m'ordonne en me tirant par les cheveux
avale !
Je dois me soumettre et j'avale tous son foutre gluant avec dégoût. Lui avec un grand sourire de satisfaction me dit :
Très bien, tu suce comme une pute de lupanar ! Maintenant Manius va te montrer ta nouvelle affectation. Je ne veux plus te voir, allez, diparaît de ma vue !
En partant, j'entrevois une dernière fois Servius par terre, un oeil poché et du sang qui s'écoule de sa bouche.
Manius me tire par le bras et m'emmène face aux latrines et avec un sourire vicieux :
- Commence par laver çà ! Maintenant tu prends ma place et moi je prends la tienne auprès du maître.
Seithan
seithan@orange.fr
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