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La journée du samedi, je l'ai passée de mon côté. J'avais des trucs à faire, je suis allé voir un pote, j'ai un peu révisé dans ma chambre, ce genre de choses. C'était une journée un peu bizarre parce que j'étais très troublé par ce qui venait de m'arriver. Jusque là j'avais jamais imaginer sucer ou me faire sucer par un mec - j'avais une petite amie ! - et encore moins faire ça avec des mecs plus âgés que moi, par les potes de mon frère. Mais en même temps, tout ça m'avait beaucoup excité et je me demandais ce qui allait encore se passer. Cependant, comme une partie de la bande était rentrée, il y aurait assez de lit et Fred n'aurait pas à dormir avec moi - j'étais presque déçu.
A un moment dans l'après-midi, je suis descendu à la cave pour chercher une bouteille de lait ou un truc comme ça - mon frère et ses potes étaient au salon - mais en bas, j'entends du bruit. J'avance doucement en direction d'une pièce qui servait de débarras et là je vois Kamel et Fred. J'étais dans une position où je voyais tout mais eux ne me voyaient pas du tout. Ils venaient visiblement de descendre des couvertures mais Kamel ne voulait pas remonter tout de suite : il tenait Fred par le bras.
Kamel : Allez Fred, tu veux pas recommencer ? Putain c'était super bon !
Fred : J'ai dit nan. Ce qui s'est passé ce matin, c'était une erreur, un truc d'une fois.
Kamel : Tu dis ça mais t'as kiffé. La preuve tu m'as juté sur le dos. Regarde, je bande déjà !
Kamel avait pris la main de Fred pour la poser sur son entrejambe - et apparemment, il devait déjà bander parce que Fred retira sa main.
Fred: T'es dégeulasse putain.
Kamel : Ou alors juste branle-moi, c'est trop bon une autre main.
Kamel me tournait le dos mais je compris qu'il avait sorti sa queue de son boxer et qu'il tirait la main de Fred pour qu'il le branle. Fred résistait mollement.
Fred : Bon, mais je te branle juste alors.
Kamel : Attends, crache !
Fred cracha dans sa main pour pouvoir branler la bite circoncise de Kamel. De là où j'étais, je voyais les fesses de Kamel (sans poil, étonnamment, alors que devant il était bien garni) et le bras de Fred qui s'activait sur sa queue. Fred faisait un peu le dégoûté mais Kamel avait mis ses bras derrière sa tête et se laissait faire.
Kamel : Tu te débrouilles bien, p'tite tête.
Soudain on entendit une porte s'ouvrir et une voix cria :
Putain vous faites quoi ? Vous venez ou quoi ?
Kamel : Ouais ouais, on arrive !
Fred voulut arrêter mais Kamel le retint.
Kamel : Attends tu fais quoi là. Tu vas pas me laisser comme ça ? Je pourrai jamais débander...
Fred : Bah finis-toi rapidement alors.
Kamel : Nan ça faire tout retomber. Vas-y suce moi, ça sera rapide, je vais pas tarder à venir de toute façon.
Fred : Ah nan, pas sucer.
Kamel : Fais pas ta pute, merde. Suce et fais pas chier. Tu m'as branlé, tu peux me finir maintenant !
Kamel était soudain devenu menaçant - et il pouvait faire assez peur quand il était comme ça. En plus il avait agrippé Fred fermement par la nuque en l'obligeant à se mettre à genoux. Fred n'avait pas l'intention de s'opposer frontalement à Kamel - on sentait que Kamel avait l'habitude de ce genre d'autorité avec ses potes - et Fred finit par céder à moitié. A peine avait-il mis les genoux au sol que Kamel pointa sa queue vers sa bouche et qu'il commença à lui pilonner la gueule. Fred voulait se retirer mais n'y arrivait pas, il étouffait à moitié mais visiblement, Kamel s'en foutait - au contraire, il accélérait encore le mouvement.
Ils avaient un peu bouger et je pouvais mieux voir la queue de Kamel entrer et sortir de la bouche de Fred. Mais l'inverse était vrai aussi : Fred me repéra. Il tenta de réagir mais Kamel ne le laissait pas bouger et ne se rendit compte de rien. Mon premier réflexe fut de reculer puis je me suis dit qu'après tout, il m'avait vu - autant terminer de regarder la scène. Et puis, quelque part, j'en voulais aussi à Fred de se laisser faire, et le regarder se faire humilier par Kamel était comme une punition supplémentaire que je voulais lui infliger - et surtout, le laisser me voir le regarder.
Kamel avait raison : très vite, il a accéléré son rythme en répétant : " putain ça vient, putain ça vient ". Fred voulut se retirer mais Kamel ajouta : " Bouge pas, bouge pas ! " et effectivement, dans un grand râle, Kamel enfonça sa queue au fond de la gorge de Fred et donna encore des petits coups. Je vis Fred déglutir pour avaler ce qu'il pouvait, le rester coula par les côtés de sa bouche. Kamel sortit sa queue gluante mais il n'avait pas finit.
Kamel : Vas-y nettoie, sinon je vais crader mon boxer.
Et il présenta sa queue devant la bouche et Fred n'eut pas d'autre choix que de sucer encore un peu, d'avaler tout ce qui coulait encore un peu et de bien nettoyer le gland. Kamel remonta son pantalon et sortit de la pièce.
Kamel : C'était trop bon. Tu vois que tu sais y faire ! T'es ma petite pute maintenant !
Fred : Ouais c'est ça, dans tes rêves.
J'avais pris soin de me mettre derrière une vieille armoire. Kamel remonta sans même attendre Fred qui se releva, s'essuya la bouche comme il put et le suivit. En sortant de la pièce, il tourna la tête et me lança un regard noir mais ne dit rien et monta également.
L'après-midi se passe. Ils alternent entre partie de foot dehors et partie de jeux vidéo à l'intérieur. Je mange seul de mon côté pour ne pas les embêter. Dans la soirée, je vais à la cuisine pour chercher un truc au frigo et je tombe sur Kamel qui cherchait une bouteille de jus d'orange pour aller avec la vodka.
Kamel : Ca va ? Tu t'ennuies pas trop ? On va regarder un film, tu veux te joindre à nous ?
Moi : nan mais je veux pas déranger.
Kamel : Mais tu déranges pas ! Allez viens !
Et il me prit par le bras, sans me laisser vraiment le choix, et m'amena au salon. Il n'y avait plus que mon frère et sa copine, Fred, Kamel et Guy, un grand black que je connaissais pas très bien. C'était drôle parce qu'il y avait trois gabarits très différents : Kamel, le plus petit (genre 1m70), pas très beau du visage mais très musclé et très nerveux, qui se prenait un peu pour le meneur de la bande; Fred, au milieu niveau taille (1m80), bien foutu sans être très musclé mais très beau du visage; et Guy, super grand (1m90), mince, musclé sec, avec un visage très typé (très grosses lèvres, nez aplati, grandes oreilles) qui n'était pas dénué d'un certain charme.
Mon frère et sa copine étaient dans un fauteuil, et les trois autres étaient affalés sur le canapé - c'était un canapé assez énorme, profond et disposé en angle, ce qui fait qu'il y avait largement de la place pour quatre personnes. Kamel se posa à un bout du canapé et me dit de m'installer entre lui et Guy. Fred était sur la partie qui faisait l'angle. Il me regarda d'un drôle d'air mais ne dit rien.
Comme ils avaient visiblement tous beaucoup fumé, et pas que du tabac, ils avaient ouvert grand les fenêtres et il faisait super froid. On ne pouvait pas se permettre de fermer les fenêtres car il fallait vraiment aérer à fond avant le retour des parents le lendemain. Du coup, on prit les couvertures qui devaient servir pour dormir et on se mit tous en-dessous, comme si le canapé était un grand lit. On commença à regarder le film dont j'ai complètement oublié le nom, serrés les uns contre les autres.
Au bout de quelques minutes, tout à fait innocemment, j'ai eu froid et j'ai mis mes bras sous la couverture. Et au bout d'un petit moment, j'ai senti une main qui se saisissait de ma main gauche - c'est-à-dire du côté de Kamel. Je regardais Kamel pour comprendre ce qu'il voulait mais il regardait le film comme si de rien n'était. En revanche, bien cachée sous la couverture, sa main me guidait vers sa cuisse puis vers un autre endroit que j'ai vite deviné. Je devins tout rouge - heureusement, personne ne me regardait et surtout, les plis et la disposition de la couverture (avec les genoux, etc.) faisait qu'en bougeant très lentement, on ne voyait rien. Sans rien laisser deviner, Kamel avait mis ma main sur sa queue par dessus son jogging et guidait ma main pour que je la tâte. Puis, pour ne pas que ça paraisse trop louche, il ressortit son bras à l'extérieur et bougea comme pour trouver une meilleure position - mais en fait, pour se tourner un peu plus vers moi et ouvrir un peu plus ses cuisses.
Au début j'avais été un peu terrorisé par la situation et je voulus retirer mon bras à mon tour. Mais je mon regard croisa celui de Fred et, comme pour le défier lui, je pris la décision de jouer le jeu et de voir ce que ça donnerait. C'est comme ça que, sur le canapé, en plein salon avec tout le monde, sous la couverture, je commençai à caresser la queue de Kamel. Je la sentais grossir sous mes doigts à travers le jogging. Je la palpais pour sentir où était la base, où se trouvait le gland, palper les couilles. Il commençait à être assez raide. Là, je voulus à mon tour surprendre Kamel et voir si lui était capable de me suivre. Je fis comme si j'avais été mal installé et qu'il fallait que je me rasseye bien en tirant la couverture à moi et, en faisant ce mouvement, je pus rapidement faire sortir la queue de Kamel de son boxer et de son jogging sans que ça se voit. Je vis que Kamel lui-même a été surpris de mon audace mais qu'il ne pouvait rien faire, et surtout ne pas montrer sa réaction.
A partir de là, il y eut un petit jeu entre Kamel et moi. De mon côté, je me mis à lui caresser la queue mais il fallait que ça soit vraiment très discret pour qu'aucun geste ne se voit sur la couverture. De son côté, il devait être impassible et se concentrer sur le film alors même que j'étais en train de le toucher. La situation était à la fois très excitante et très frustrante - excitante parce que frustrante. Je ne pouvais pas le branler mais je pus lui toucher la queue sous toutes ses coutures. J'ai commencé par lui entourer la queue et par simplement serrer et desserrer la main. Parfois j'y allais assez fort - par certains aspects, le jeu s'apparentait à de la torture. Mais Kamel ne pouvait rien faire. Puis je suis descendu vers ses couilles - autant que je pouvais le faire sans me trahir et là aussi, j'ai joué avec, j'ai tiré sur la peau, sur les poils - je voyais son visage tiqué. Je n'y suis pas allé trop fort non plus - il fallait que le jeu dure longtemps. Je suis remonté sur sa queue jusqu'à son gland. Là je me suis rendu compte qu'il était complètement mouillé. Il y avait plein de précum. Je me suis amusé, avec mon index, à étendre le précum sur toute la surface de son gland. Je savais que ça devait être super dur pour Kamel de garder on calme mais il y réussissait plutôt bien même s'il avait du mal à ne pas tressaillir parfois. Moi, je faisais le tour de sa queue, comme si je voulais la garder en mémoire. Elle n'était pas très longue mais bien épaisse, d'une bonne courbure, avec un beau gland, et surtout, elle était bien chaude et bien gluante sous la couverture.
A un moment, mon frère et sa copine en eurent marrent du film et décidèrent d'aller dans leur chambre - c'est-à-dire pour aller baiser. A peine furent-ils parti que Guy, à côté de moi, retira la couverture d'un grand geste.
Guy : Putain vous foutez quoi là-dessous !
Et évidemment, il vit que j'étais en train de branler Kamel.
Marc-67
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