Divorcé depuis sept ans, trois grands enfants loin de la maison, je loue à des étudiants un studio libre, avec entrée indépendante, au rez-de-chaussée de mon pavillon. Charles est mon troisième locataire, après Gaël et Lucie. Chacun et chacune sont restés deux ans. A la fin de chaque mois, l'étudiant locataire monte à l'étage pour payer son loyer et recevoir une quittance. Depuis quatre mois, Charles venait régulièrement.
Le cinquième mois, vers 18 heures, je l'ai vu monter en mini short serré et débardeur noir moulant ! Il est beau gosse et ses vingt-deux ans resplendissaient sous cette tenue plus qu'avantageuse. Séduit, je lui ai balancé une vanne :
- C'est pour aller draguer que tu t'es mis sur ton trente-et-un ?
Il me regarde en souriant.
- Non dit-il, c'est parce que j'avais envie de rester moi-même, y compris en venant chez vous payer mon loyer... et pas seulement pour me promener dans le Marais.
Je suis estomaqué...
- Tu te promènes dans cette tenue dans le quartier du Marais ? Est-ce une façon de m'avouer que tu es gay ?
- Oui... Un silence... Je me sens en confiance avec vous... Depuis le premier jour, je brûlais d'envie de ne pas le cacher.
- N'ajoute pas qu'en ce moment tu es venu me draguer, dis-je en riant...
- Un peu, si
- Quoi ? Tu veux me draguer !!! Mais attends, tu dérailles... J'ai 63 ans, je suis divorcé, je suis même grand-père...
- Et alors...
- Et alors rien... Mais quand même... Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire... Ou plutôt si... je sais quoi dire...
- Et dire quoi ?
- J'avoue que tu me troubles.
- Vous aussi vous me troubler... et ça, dès le premier jour. Je n'ai pour amants que des hommes mûrs aux cheveux grisonnants. Eux seuls m'attirent. Je n'y peux rien, c'est comme ça...
- Veux-tu dire que je suis un peu ton type d'homme ?... que je te fais craquer ?
- Oh oui... Tu...euh... Puis-je vous tutoyer ? Puis-je aussi t'appeler par ton prénom ?
- Adorable Charles, tu es attendrissant. Bien sûr que tu peux me tutoyer et m'appeler Laurent...
- Laurent... c'est vrai ? Je peux vraiment t'appeler Laurent ?
- Mais oui, avec plaisir...
- Laurent...
- Oui ?
- Est-ce que je peux t'embrasser ?
- Ah, tu en en là...
- Est-ce que je peux ?
- Oui...
Charles s'approcha de moi avec son visage d'ange. Au moment de poser ses lèvres sur les miennes il ferma les yeux. Doucement, nos bouches s'entrouvrirent et nos langues jouèrent amoureusement de ce contact fusionnel, si proche de l'aveu total de nos désirs cachés.
Charles releva son visage, tout souriant...
- Qu'est-ce que j'enlève en premier ? Mon short ou mon débardeur ?
- Les deux, dans l'ordre qui te plait...
Si Charles enleva son short en premier c'est parce qu'il savait qu'en dessous il avait mis un mini-string rouge. Ce gamin en jouait, d'autant plus que notre baiser l'avait suffisamment émoustillé pour que son sexe soit déjà tout raide. Réinstallant d'une main l'avant de son string, Charles ne put s'empêcher de laisser dépasser son gland. Pour ôter son débardeur noir, Charles s'amusa à me tourner le dos pour que j'admire ses fesses parfaites que rien ne cachait.
Quand il posa son débardeur sur une chaise, il me fit de nouveau face avec, cette fois-ci, une queue encore plus raide qui dépassait de moitié de son string.
- Tu vois Laurent, je ne peux pas te cacher que ta soixantaine me plait plus que tout...
- Oui Charles, je le vois sans hésitation... Avance vers moi, approche...
Charles était si près de moi que je sentais irradier la chaleur de son corps. Ma main abaissa son string et mes doigts jouèrent à aller chercher la ficelle nichée dans sa raie. Avant de libérer sa queue, je voulais marquer mon territoire en touchant son anus sans pudeur. Son string descendit à mi-cuisse, sa queue raide bandait à mort devant mon nez. J'attendais pour le sucer que mon majeur s'enfonçe d'abord jusqu'au fond de son rectum. Charles m'en était reconnaissant. Il dilatait son cul le plus possible et le faisait onduler pour que mon doigt puisse s'enfoncer tout au fond. Par cette attitude, Charles m'avouait qu'il voulait un homme, un vrai, et pas une fiote... Quand mon doigt, bien au fond, se mit à travailler son anus, je vins engloutir sa bite jusque dans ma gorge pour lui faire savoir, sans pudeur, combien il avait eu raison de me draguer.
Ensuite, je me mis nu moi aussi et nous partîmes dans ma chambre faire l'amour comme l'un et l'autre en mourions d'envie. Ce fût sublime.
A soixante-trois ans, j'avoue sans honte que Charles est le premier garçon que j'ai sucé et que j'ai enculé. Pendant deux ans, nous avons fait l'amour très souvent. Il est aussi le premier et le seul garçon à m'avoir fait jouir de l'anus en en me limant infatigablement le cul de sa belle bite toujours raide. Charles m'avoua que jouir dans les fesses d'un vieux qu'il propulsait au comble de l'orgasme anal, était l'un de ses plus grands plaisirs et l'un de ses plus grands bonheurs de jeune étalon homosexuel.
Mon Charles adoré, tu es parfait.
Laurent-bi
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