Aujourd'hui, j'ai 29 ans, je suis marié et j'ai un enfant. Et pourtant...
Pourtant, quel émoi homosexuel l'année de mes 18 ans !
Nous étions en vacances, mes parents ma soeur et moi, dans une location à Chaudron, petit village du Jura près de Malbuisson sur le bord du Lac de Saint-Point. Nous y étions déjà venus deux ans auparavant. Cette année, je venais d'avoir 18 ans et ma soeur de 21 ans, n'est venue nous rejoindre qu'une seule semaine avec son ami Daniel, 24 ans, étudiant aux Beaux Arts.
Le quatrième jour de sa venue, ma soeur préfèra aller, en fin d'après-midi, avec mes parents, faire des achats à Pontarlier. Ni Daniel ni moi n'étions tentés. Malgré un ciel plombé et un temps orageux, on décida d'aller se baigner dans le lac. Vers 17 heures, nous descendons le petit chemin de 800 mètres, qui mène vers les criques de graviers qui sont autant de petites plages. Nous longeons le bord du lac pour nous éloigner des premières criques où sont les barques de pécheurs. La 4ème, totalement isolée et plutôt bien cachée, est la bonne. Nous étendons nos serviettes, ôtons nos fringues et nos baskets. Nous sommes en slips de bains que nous avions mis chez nous avant de partir. Vu l'heure tardive et l'orage menaçant, nous étions seuls. L'eau fraîche du lac nous a fait du bien. Pendant 20 minutes nous avons nagé et plongé depuis le vieux ponton vermoulu. Le premier à se sécher et à s'allonger sur sa serviette fut Daniel. Je sortais de l'eau à mon tour et je me frictionnais avant de reposer ma serviette sur laquelle je m'entendais. Daniel et moi, couchés sur le dos, échangions quelques mots en regardant le ciel. Soudain j'entends :
- Fred, me dit Daniel tout à coup, mon slip me sert.. Je bande dedans et ça me sert trop. Tu t'en fous si je l'enlève...
- Euh, non... Fais comme tu veux...
Sans hésiter, Daniel ôta son slip noir et se rallongea en pleine érection. Je le regardais enlever son slip et, sans m'en rendre compte, je mâtais sa belle bite tout raide... Daniel le remarqua...
- Tu ne bandes pas toi aussi, me dit-il ? Tiens, tends ton bras et viens la toucher pour sentir comme elle est raide. En disant cela, il me pris les doigts et allongea mon bras pour poser ma main sur sa bite.
- Vas-y, prends la, n'aies pas peur...
J'avais la tête en feu. Ma main se resserrait sur sa longue queue et mes doigts la pressaient pour apprécier sa raideur.
- Et toi, tu ne bandes pas, me dit-il, en se redressant et s'appuyant sur son coude. Laisse-moi voir, ajouta t-il. Sa main libre était déjà sur mon slip et je m'apercevais en même tant que lui que je bandais comme un fou.
- Ben tu vois que tu bandes aussi... Et m^me super bien pour ton âge ! Fais comme moi, dit-il, enlève ton slip.
Je me suis surpris à ôter mon slip rapidement et sans hésitation... Daniel mis très vite sa main sur ma queue qu'il caressa doucement. Ma main, vite remise sur son sexe, le caressait aussi...
- Fred, me dit-il, as-tu déjà fait l'amour avec un garçon ?
- Non, ni avec un garçon ni avec une fille...
- Alors tu vas commencer avec un garçon. Je vais d'abord mettre mon sexe en toi et après tu feras pareil avec moi. Tu vas voir comme c'est agréable...
En disant cela il s'était mis à genou entre mes jambes et dévissait le bouchon du flacon d'Ambre solaire qu'il avait dans son sac. Daniel était super beau gosse. Pendant que j'admirais son torse et sa superbe queue en érection, je sentais ses doigts glisser entre mes fesses, et s'insinuer avec douceur dans mon anus qu'il enduisait d'Ambre solaire. J'étais dans une sorte d'inconscience et mon excitation était à son paroxysme. Quand ses doigts quittèrent mon cul pour lubrifier sa verge, je mourrais d'envie d'être enculé. Il me pénétra avec une extrême douceur, en tenant mes cuisses dans ses bras pour relever mes fesses. Son gland passa les deux sphincters tout doucement et sa verge bien huilée s'enfonça toute entière en moi. J'avais la tête dans les étoiles... Plus il me baisait, plus je bandais. Il alla vite, accélérant ses allers-retours sans ménagement, me cognant les fesses et jouissant comme un damné, le corps tendu, la tête en arrière, retenant un léger râle entre chaque saccade. Il relâcha mes cuisses et s'assis sur ses talons en admirant mon érection...
-A toi Fred, me dit-il, viens jouir dans mon cul. Il me tendit le flacon d'Ambre solaire et se mis à quatre pattes. Je me plaçais à genou derrière lui, lubrifiant son anus et ma bite comme il l'avait fait...
- Vas-y Fred, encule moi... Baise moi fort... très fort...
Je pris ma bite à pleine main pour la pointer sur son anus. Je l'enfonçais maladroitement car je l'entendis gémir... Peu importe, j'étais en lui et, à 18 ans, je baisais un trou pour la première fois de ma vie ! Mes va-et-vient instinctifs étaient comme ceux d'une bête... Le plaisir arrivait, j'allais exploser en lui... Il resserra son anus au moment où j'éjaculais violemment, me procurant une des plus fortes jouissances que je n'ai jamais ressenties. Affaissé sur son dos, je ne bougeais plus. Après quelques secondes, il se dégagea doucement, se relevant et me disant de vite aller dans l'eau pour laver nos bites et nos culs... Je le suivais dans le lac.
Ce fut lui qui, le premier, me lava la queue et les fesses de ses deux mains douces. Enhardi, j'en fis autant. Je le sentis alors se coller contre moi pour m'embrasser les lèvres. Je me laissais faire et bientôt nos baisers allèrent au-delà de tout ce que j'avais connu dans mes flirts. - Faire l'amour sans s'embrasser comme des amants, n'est pas faire l'amour, me dit-il...
- Tu dis ça à ma soeur aussi, dis-je en rigolant ?
Pour toute réponse, il m'enlaça de nouveau, se serra encore contre moi et me roula une pelle mémorable, un record d'Hollywood...
- Dis donc, Fred, j'ai l'impression tu bandes encore me dit Daniel ?
- C'est ta faute, lui dis-je, tu embrasses trop bien...
Nous sortîmes de l'eau et on se frictionna vite. Il faisait lourd. Je regardais Daniel. Il me regardait lui aussi et je ne pouvais cacher que je bandais encore.
- Viens, dit-il, adosse toi à l'arbre.
Il mit sa serviette par terre devant moi, s'agenouilla dessus, pris mes hanches entre ses deux mains, avança ses lèvres vers mon sexe et se mis à me sucer comme un dieu. Ma queue se durcit encore plus. Je me laissais faire, excité jusqu'à la folie. Daniel s'interrompit une seconde et me dit :
- Regarde bien Fred comment je fais, comment j'inonde ton sexe de salive, comme ma langue et parfois ma lèvre inférieure râpent la couronne de ton gland et comment de temps à autre j'enfonce te queue jusqu'au fond de ma gorge. Regarde bien, car après tu vas me faire la même chose.. . Daniel repris ma queue dans sa bouche et continua à me sucer jusqu'à ce qu'il sente mon sperme jaillir dans sa bouche. Je crois bien qu'il l'a bu jusqu'à la dernière goutte! Il se redressa et se mit contre l'arbre...
- A toi Fred chéri, me dit-il
Ce "Fred chéri" me fit tout drôle et m'emplit de douceur... Je mis tout mon talent à le sucer aussi bien que possible et ce fut un éblouissement de recevoir son foutre à grands jets, chauds, salés et si bon à boire...
- Est-ce que ma soeur aussi te suce comme ça ?
- Oui, mais pas aussi bien que toi, me dit-il en rigolant.
Je me relevais, Daniel me pris dans ses bras. Nous étions de nouveau nus, enlacés pour s'embrasser à pleine bouche. On finit par se séparer et se rhabiller.
- Ben dis donc Fred, me dit Daniel, te voilà complètement dépucelé, on dirait... T'as aimé ça ?
- Ouais, super... On refait ça quand tu veux, où tu veux...
- Eh, minute ! Je retrouve ta soeur tout à l'heure et après, on ne se quitte plus jusqu'à ce qu'on reparte pour Paris dans trois jours... Evidemment, ne va pas te vanter. Ton dépucelage de petit pédé, ça reste entre nous. D'accord ?
- Pédé toi-même, espèce de violeur, lui dis-je en riant... D'accord de ne rien dire à ma soeur, si tu me promets qu'à Paris on trouvera le moyen de refaire l'amour comme on a fait aujourd'hui.
- D'accord, Fred, me dit Daniel, promis.
A Paris, l'occasion ne s'est jamais retrouvée. Daniel et ma soeur restèrent ensemble encore un an puis se séparèrent. Moi, enhardi par mon expérience de l'été, j'écartais de mes flirts toutes les filles qui refusaient de baiser. J'étais surpris du nombre de filles qui disaient oui très vite. J'ai souvent repensé à Daniel. Longtemps après quand j'ai eu 24 ans à mon tour je ne pus m'empêcher de penser que c'était l'âge qu'avait Daniel quand il avait dépucelé le jeune puceau de 18 ans que j'étais...Malheureusement, aucune de mes copines n'avaient de frère.
Laurent
Autres histoires de l'auteur : Le locataire étudiant | Avec l'ami de ma soeur | Au bord du lac