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Chapitre 6
Pierrick avait fait les courses. Il avait fait le plein de pizzas et avait pris une salade comme son Maître Akim le lui avait demandé. Il était encore choqué par ce qui s'était passé dans sa salle de classe. Devoir sucer son étudiant et être traité comme une pute, c'était déjà insupportable mais il en arrivait à regretter qu'Akim ait refusé de jouir dans sa bouche, le privant ainsi de son repas de midi. C'était encore plus humiliant. Non seulement il était une lope mais en plus il était une mauvaise lope et Akim ne s'était pas privé de le lui faire remarquer.
Pierrick frappa à la porte de chez son Maître. Celui-ci ouvrit la porte. En bas de jogging et tshirt, il regardait Pierrick. Ses yeux exprimaient la supériorité, mêlée à une sorte de jouissance et de dégoût devant la face pathétique de Pierrick. " Alors, tu attends quoi pour te foutre à poil ? Tu crois peut-être que je vais te laisser entrer dans l'appart habillé, sale pute ? ". Sans un mot, Pierrick posa les boites par terre et se déhabilla sur le palier. Quel besoin de contester, de toute façon, il n'avait pas le choix. Une fois nu, il reprit ses cartons et attendis qu'Akim lui fasse signe d'entrer. Il posa les courses dans la cuisine puis revient dans le salon où Akim attendait assis sur le canapé. Instinctivement, Pierrick sentit que sa place était par terre devant son Maître. Il alla même jusqu'à se mettre à 4 pattes, devant Akim, perpendiculairement au canapé, en position de meuble au cas où celui-ci aurait voulu étendre ses jambes. " Bien, bonne initiative salope " dit Akim en prenant mettant ses jambes sur Pierrick qui, la tête baissée appréciait d'avoir trouvé de quoi éviter une réflexion ou pire une dérouillée. " Tu sais, sale pute, je crois qu'il y a des choses qui semblent se mettre en place. Tu obéis presque bien mais c'est surtout parce que jusqu'à présent, je ne t'ai pas demandé grand-chose. Aussi, il va falloir qu'on passe à la vitesse supérieure. Tu sais que j'ai passé quelques commandes et j'ai été livré. On va donc pouvoir commencer ton entrainement. Je ne sais pas si tu vas apprécier tout ce que j'ai reçu mais sache que ce n'est que le début. " En entendant ça, Pierrick se demandait bien ce que Akim pouvait avoir commandé. La précision que " Tout n'allait pas forcément lui plaire " avait de quoi le laisser encore plus dans la crainte des achats de son Maître.
Dans un coin, un sac militaire en toile était posé par terre. " Va chercher le sac, sale chienne et amène le moi ". Sitôt dit, sitôt fait, à 4 pattes, Pierrick ramena le sac à son Maître. " Tu sais, avant de te montrer ce que j'ai acheté, je voudrais faire une mise au point avec toi, petite salope. En fait, tu as vu comme je suis, je peux avoir toutes les gonzesses que je veux, mais il y a des choses que je ne pourrais avoir qu'avec des sous-merdes comme toi. Tout d'abord, je n'ai pas à m'occuper si tu vas tomber enceinte ou pas. Je peux donc te remplir autant que je veux sans penser aux conséquences. Avec toi, pas besoin de te payer un dîner ou des fleurs, si je veux, ton dîner, boisson comprise, sort de ma queue et en plus c'est toi qui paye la bouffe pour moi. J'ai pas à me poser la question de savoir si tu as eu un orgasme ou pas, parce que je me fous de savoir si tu prends du plaisir, le seul plaisir qui compte c'est le mien et je me demande même si une part de celui-ci ne vient pas de ta frustration, raclure. En plus, je peux mater du porno tout en me faisant sucer, je peux te cracher à la gueule, tu ne vas pas te plaindre. Je peux être grossier, violent, te mépriser, je n'ai pas à craindre que tu le prennes mal. Je sais qu'avant peu, certaines pratiques qui feraient fuir une gonzesse, non seulement tu les supporteras, mais je suis sûr que tu en redemanderas. Et enfin, chose non négligeable, plus je vais te dépraver, plus je vais te salir, et plus je vais avoir envie de le faire. Autant te dire que tu vas en chier plus encore que tu ne l'avais imaginé jusqu'ici... ". Ces quelques phrases prononcées d'une traite, permirent à Pierrick de cerner encore un peu plus la situation qui était la sienne. Il était devenu le jouet de son Maître qui en arrivait à théoriser le pourquoi de ce qu'il comptait lui infliger et qui semblait infini par rapport à ce qu'il avait déjà fait vivre à son prof...
" Et maintenant, on va commencer à mettre quelques-uns de mes achats en service. Ne t'inquiète pas, je ne vais pas tout déballer ce soir, mais avec ce que je vais déballer, fais-moi confiance, la nuit va te paraitre longue... ". Et Akim se mit à vider méthodiquement une partie du sac sur la table du salon, à quelques centimètres de la tête de Pierrick dont les yeux semblaient vouloir sortir de leurs orbites.
" Pour commencer, une bonne chienne, ça doit ressembler à une chienne. Donc, voilà ton masque de chienne, des moufles en cuir et une queue. Je n'ai pas jugé nécessaire de te prendre des genouillères, je n'en ai rien à foutre si tu t'écorches les genoux et, de toute façon, une pute, ça s'arrache toujours les genoux sur la moquette si on lui démonte bien le cul. Tiens, j'ai aussi ce collier bien large, il te gardera la tête en bonne position pour les gorges profondes, et cette laisse. Elle est en acier, lourde et large. Mais tu remarqueras qu'elle est courte. C'est normal, on ne laisse pas du mou à une chienne, elle est faite pour rester au pied, non ? Maintenant, viens que je t'équipe, salope ".
En quelques minutes, Akim avait passé les différents accessoires à Pierrick. Il ne restait plus qu'à mettre en place le plug en forme de queue et c'est sans aucune préparation que Akim enfonça l'objet provoquant chez Pierrick une douleur intense. Une grande claque sur le cul de Pierrick vient faire diversion, puis une autre pour bien marquer que la salope était le territoire du Maître.
" Tu pourrais me remercier de t'avoir acheté de quoi afficher ta condition sale chienne... ". Pierrick sans un mot se mit à lécher la main de son Maitre. " Toi, tu es vraiment une grosse pute. Tu as compris d'office que je n'attendais pas un mot de ta bouche. Alors comme tu as été bien obéissante, je vais être gentil avec toi et je vais t'amener pisser ". Pierrick était abasourdi, son Maitre voulait l'amener pisser ? " Et comme c'est ton premier jour, ce sera dans la baignoire, suis moi. Pas besoin de te préciser à 4 pattes, salope ". Et, comme si de rien n'était, le tirant en laisse, Akim amena Pierrick dans la salle de bain, le fit monter, maladroitement, dans la baignoire et lui ordonna de pisser. Car désormais, dès qu'il serait en tenue, il ne pisserait pas sans en avoir reçu l'ordre et jamais autrement que comme une bonne chienne.
Lopsarnaud
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