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Chapitre 4
[Merci pour vos message et, comme ça a l'air de vous plaire, voici la suite ;)]
Après un bon quart d'heure de léchage de pieds, Akim regarda Pierrick. On pouvait voir dans son oeil un mélange de joie de voir son prof à ses pieds mais aussi un peu de mépris pour cette pauvre chose prisonnière de son bon vouloir. " Tu as faim, salope ? " " Oui Maitre Akim... " "Et bien je vais aller te préparer à manger... ". Même si Pierrick voulait croire en une sorte de bienveillance de son nouveau Maitre, il savait au fond de lui-même qu'il n'y avait rien à espérer mais qui sait, pourquoi pas ? Il fallait juste espérer que Akim se lasserait vite de jouer (mais était-ce un jeu ?) avec lui. Quand Akim revint, il portait une assiette et un verre. L'assiette était pleine de spaghettis recouverts de sauce tomate et le verre, quant à lui, était plein de grenadine. Que d'attentions pour ce repas sur lequel, nu et à quatre pattes, il se jeta, l'absence de couverts étant le signe que, chienne il était, chienne il restait. Il mangea tout, bu tout et du remercier son Maitre qui le regardait faire avec un sourire qui s'élargissait au fur et à mesure du repas improvisé. " Et bien, grosse merde, tu as apprécié ? " " Oui Maitre... " " J'ai donc bien fait de cracher de gros mollards dans tes pâtes, la sauce n'en était que meilleure, et de pisser dans ton verre. Maintenant que je sais que tu apprécies, je t'en donnerai à la source. D'ailleurs, ouvre la bouche... " Et Akim cracha à trois reprises dans la bouche de Pierrick qui dû avaler en même temps les mollards de son Maitre mais aussi la révélation de la préparation de son repas. Il comprit dans l'instant que rien ne servait d'espérer et que la situation qui était la sienne n'était pas près de s'arranger.
Akim partit vers la chambre et, arrivé là-bas, demanda à Pierrick de le suivre. Un tapis de sol et une couverture posés au pied du lit ne lui laissèrent aucun doute sur l'endroit où il allait dormir. " Et si tu te comportes bien, on verra à améliorer ton espace de vie, salope mais pour l'instant tu dors là. Demain matin, tu te lèves à 06h00, tu prépares le petit déjeuner pour moi : café, biscottes, jus de fruit. Pour toi, un demi-litre de tisane ça sera suffisant et à boire dans un bol quand je te dirai de le faire. Couche-toi et essaye de dormir, j'ai encore deux ou trois trucs à faire dans le salon, tu as intérêt à dormir quand je viendrai me coucher... ". Sitôt dit, sitôt fait, Pierrick se coucha sur son tapis, sous sa couverture et après avoir tourné un moment, accablé de fatigue, il réussit à s'endormir. Akim, quant à lui, ouvrit son ordi pour aller surfer sur des sites de vente en ligne, la carte de Pierrick posée à côté de lui. Il savourait d'avance la tête de Pierrick quand ils ouvriraient certains colis... Puis il alla se coucher en jetant à peine un regard sur Pierrick qui, roulé en boule, bougeait un peu, rêvant à un avenir meilleur ou cauchemardant à sa nouvelle condition...
Le lendemain, à 06h00, Pierrick était debout et préparait le petit déjeuner. Il s'était réveillé plein de courbatures de cette nuit pendant laquelle il avait mal dormi, se réveillant chaque fois en se demandant où il était et percutant chaque fois la gravité de sa situation. Car elle était peu enviable cette situation : un jeune étudiant tenait dans sa main son destin en tant que Prof mais aussi l'ensemble de sa vie sociale. Il pouvait tout perdre sur un coup de tête d'Akim. Et visiblement celui-ci était loin d'être bête. Il le savait et il n'avait pas hésité à le lui dire clairement. Un Maitre chanteur était devenu son Maitre tout court et il n'avait aucune solution pour s'en sortir sans perdre beaucoup. Une voix l'appela du fond de la chambre " Viens ici salope ! ". Pierrick se rendit très vite dans la chambre. Il était nu, comme hier soir, et il pouvait voir Akim étendu sur son lit, recouvert par sa couette et ses draps. " Viens ici, plus près... ". Pierrick était à côté du lit. En une seconde la couette vola et Pierrick se retrouva face à Akim, nu, allongé sur son lit, arborant un barreau matinal énorme. " Une chienne, ça doit toujours s'occuper d'un os quand ça en voit un. Alors tu vas venir me sucer salope et vite, j'ai pas vidé mes couilles hier et il va bien falloir que tu commences ton boulot, sale pute. Et ne me regarde pas avec cette tête, tu devais bien te douter que maintenant que tu m'appartiens, je ne vais pas me fatiguer la main à me branler quand tu as une bouche de suceuse faite pour ça ! ". Pierrick était pétrifié. Bien entendu, il avait bien, l'espace d'un instant dans la nuit, pensé qu'Akim voudrais, peut-être, faire plus que de l'humilier. Mais il n'avait pas pensé que ce serait comme ça. Il avait bien envisagé que Akim lui demanderait certaines choses mais la dimension de pur objet et maintenant d'objet aussi sexuel qu'il était devenu n'avait pas encore pris corps. Là, c'était le cas. Une grosse queue bien raide attendait qu'il la suce et, visiblement, son propriétaire étant son Maitre, il allait devoir vite s'acquitter de la demande, de l'ordre, qui lui avait été intimé. Lui qui n'avait jamais sucé une queue, lui qui n'avait jamais envisagé que cela serait le cas, se trouvait dans l'inconfortable position de devoir le faire immédiatement. Et là, sans réfléchir, il vint se placer entre les jambes d'Akim et se mit à sucer comme son ex l'avait sucé une fois. Elle n'aimait pas ça, ça se sentait, et elle s'était forcé, maladroitement. Aussi, il essaya de faire mieux. Sucer mieux qu'il n'avait été sucé. C'était bizarre cette sensation. En même temps, il se dégoutait de devoir tailler une pipe à un mec, qui plus est un mec qui avait décidé de le traiter comme une chienne, mais il en éprouvait aussi comme une sorte de plaisir coupable, comme si le fait d'être rabaissé à ce point lui apportait quelque chose, comme s'il trouvait dans cette forme de mépris que lui envoyait Akim comme une sorte d'intérêt de sa part. Comment se faisait-il qu'il éprouve une sorte de reconnaissance pour l'intérêt étrange qu'Akim lui portait ? Etait-il vraiment, sans le savoir, fait pour être cette salope aux ordres qu'Akim semblait avoir décelée en lui ? Tout en réfléchissant inconsciemment à toutes ces choses, Pierrick continuait à sucer son Maitre, alternant les léchages et les gorges profondes, les gobages de couilles et les suçages de gland. Il s'employait à s'appliquer, guettant une accélération du souffle d'Akim, une pression de la main qui pesait sur sa tête. A un moment, les 2 mains d'Akim se posèrent de part et d'autre de sa tête et son Maitre se mit à bourrer sa gueule comme une chatte. Pierrick suffoquait mais il continuait, sachant que, quoiqu'il arrive, il ne pouvait se soustraire à ce traitement. Akim continua quelques minutes puis, dans un râle, il lâcha plusieurs jets au fond de la gorge de Pierrick qui, réprimant son réflexe de recracher ce qui restait au fond de sa bouche avala les dernières gouttes en regardant cers Akim qui, les yeux baissés vers lui, le regardait comme à travers un brouillard. Akim avait vraiment kiffé cette longue pipe de sa chienne et il appréciait le coeur qu'elle semblait à avoir mis. L'espace d'une seconde il se dit qu'il pourrait maintenant laisser Pierrick tranquille mais une chose l'arrêta. Il venait de voir que Pierrick bandait, chose dont Pierrick lui-même à ce moment précis n'était pas conscient. Akim venait de trouver non seulement une salope, une chienne obéissante mais qui, en plus, commençait confusément à y prendre du plaisir. Akim savait que, dès cette seconde, il n'aurait plus de limite, plus de tabou, plus d'interdit. Il avait trouvé de quoi satisfaire non seulement ses besoins immédiats mais aussi ses fantasmes à venir. Il possédait un nouveau jouet et comme tous les sales gosses, il n'aurait de cesse de le tester pour en éprouver les limites quitte, qui sait, à casser son jouet...
" Allez, va finir de préparer le petit déj, tu vas finir par nous mettre en retard... ". Et c'est avec le goût du premier sperme de sa vie dans la bouche que Pierrick alla finir de préparer le petit déj. Après un passage rapide sous la douche, Akim entra dans la cuisine, bu son café et grignota un peu en vérifiant bien que Pierrick buvait son demi-litre de tisane. Puis, voyant Pierrick se diriger vers la salle de bain, il lui intima l'ordre d'aller s'habiller comme ça sans passer par la salle de bain donc pas de douche mais aussi pas de lavage de dents ni d'arrêt aux toilettes. Et c'est donc la gueule sentant bon le sperme, la vessie bien pleine et dans un pantalon et pull sans forme que Pierrick partit en direction de l'IUT par le bus, en effet, il avait donné ses clefs de voiture à Akim pour que celui-ci n'ait pas à prendre les transports en commun.
Heureusement aujourd'hui Pierrick n'avait pas Akim en cours, il allait donc pouvoir, autant que faire se peut, respirer et essayer de réfléchir à sa condition. La matinée se passa normalement, parfois Pierrick était un peu absent mais comme la majorité de ses étudiants se foutaient des cours, cela passa relativement inaperçu. Puis vient la pause de midi...
[N'hésitez pas à passer un petit mail, ça fait toujours plaisir et peut être bientôt la suite ;)]
Lopsarnaud
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