j'?allais souvent pêcher au bord de la rivière avec mon copain Marc, surtout l?été, car à 18 ans, nous avions encore de longues vacances. Un jour, en arrivant à notre endroit préféré, je le trouve en train de pêcher avec un autre type. Il fait les présentations. Voici Jean, mon meilleur copain, et Henri, un copain de mon père. La cinquantaine, et, costaud, mais commençant à prendre du ventre. Il semblait bien connaître Marc. Ce dernier me dit par la suite qu?il venait souvent chez eux. Le père de Marc était veuf. Les visites de son copain lui faisaient passer un moment à boire un coup ou jouer aux cartes. Certains soirs, il restait même coucher chez eux.
Le lendemain j?arrivai pour pêcher un peu plus tôt, et je vis Marc et Henri quittant la rivière pour se diriger vers une vieille grange où ils entrèrent. Un peu intrigué, je m?approche. Certaines planches de cette vieille grange étaient disjointes, et je jette un ?il à l?intérieur. Je n?en revenais pas. Marc était debout, les mains appuyées contre la paroi, pantalon et slip aux chevilles, cul bien arqué. Henri était derrière lui, dans la même tenue et se frottait contre Marc. Au bout d?un moment, je réalise qu?ils ne se frottaient pas, mais que Marc se faisait enculer par Henri. Et qu?il semblait aimer ça puisqu?il poussait des petits gémissements, tout en se branlant. Ne voulant pas me faire surprendre, je suis reparti à notre coin de pêche. J?étais rêveur. Marc avait de temps en temps des petites copines, et depuis longtemps qu?on se connaissait, il ne m?avait jamais proposé de jeux sexuels.
Au bout d?un moment, Henri et Marc me rejoignent, l?air de rien et la partie de pêche commence. Henri est parti avant nous, car il avait des courses à faire, puis il devait diner et coucher chez François, le père de Marc Je suis resté seul avec Marc. Je lui ai fait remarquer qu?il y avait longtemps qu?on était des amis proches, qu?on se disait tout ( puisque Marc m?avait raconté, dans le détail, ses aventures sexuelles avec une de ses copines ). Mais que je venais de me rendre compte qu?il ne me disait pas tout, car je l?avais vu avec Henri dans la grange. Voyant Marc rougir un peu, j?ajoute que je ne porte aucun jugement de valeur, mais qu?ayant vu son plaisir, j?avais envie d?essayer, mais que je redoutais un peu la douleur. Plus décontracté, Marc me répond que la première fois, ça fait un peu mal, mais qu?après c?était vachement bon, d?autant plus que Henri avait une petite bite, et que c?était un bon baiseur, s?attachant à donner du plaisir à son partenaire. Je lui demande alors ce qui lui avait donné envie d?essayer.
Trois mois auparavant, en arrivant à la piscine, Marc avait vu Henri arriver en même temps. Après s?être mis en maillot, ils sont partis prendre une douche, en se savonnant. Il y avait peu de monde, et à un moment ils se sont retrouvés seuls. Henri en a profité pour baisser son maillot et se savonnait le cul et le reste. Marc qui le regardait du coin de l??il, n?arrivait pas à savoir s?il se savonnait la bite, ou s?il se branlait en se savonnant. Henri s?était aperçu que Marc le regardait, et lui fit un clin d?oeil complice. Ils partirent alors nager. Quand ils se sont reposés, debout dans la piscine, sous l?eau, Marc sentit tout à coup la main d?Henri le caresser doucement entre les cuisses. Marc eut un frisson de plaisir, réalisa qu?il bandait et qu?il rougissait. Il repartit immédiatement nager. Ils quittèrent ensemble la piscine, Henri devant coucher chez François. C?était une petite maison. Henri et François dormaient dans le même lit, et Marc dans la chambre d?à côté, séparée par une mince cloison. Et Marc entendit bien vite des petits bruits, qui lui faisaient penser à des grincements de sommier. Il se lève tout doucement, et va mater par le trou de la serrure ce qui se passait dans la chambre d?à côté. Il voit son père, à poil sur le lit, sur le ventre et Henri lui aussi à poil, s?agitant, couché sur son père. Et à un moment, il voit clairement Henri retirant sa bite du cul de son père pour la lui remettre aussitôt. Henri enculait son père. Le visage de François était détendu, les yeux mis clos, avec un sourire béat. Marc repartit dans sa chambre se branler, en pensant à son père se faisant enculer avec un plaisir évident. Le lendemain, Marc aborda Henri franchement. Il lui rappela les caresses sur ses cuisses à la piscine, lui avoua qu?il l?avait vu baiser son père, et qu?il aimerait bien essayer de se faire mettre. Et Henri l?entraina dans la grange. Et maintenant il baisait le fils dans la grange, et de temps en temps, le père pendant la nuit.
Me décidant, je demandais à Marc s?il pouvait faire part à Henri de mon envie d?essayer. Le lendemain, je les vois arriver, et Henri ne me fait aucune proposition. Puis j?entends Marc dire à Henri que j?aimerais bien me faire dépuceler le cul par lui. J?étais rouge de honte. Henri me regardait d?un air coquin et amusé, puis me proposa d?aller dans la grange. François se joignit à nous. Il voulait mater le spectacle, et, moi je me sentais rassuré par sa présence. Henri fût très prévenant. Après m?avoir déculotté, il me lécha longuement l?anus, ce qui me donna beaucoup de plaisir, puis m?enfonça un doigt mouillé de salive dans l?anus, joua avec pour m?habituer. Bien sûr quand il présenta sa bite et me l?enfonça un peu, je me crispai de douleur. Henri arrêta sa progression, me conseilla de me détendre, et la douleur finit par disparaître. Il commença alors à s?introduire en moi et commença de lents mouvements de va et vient. Je compris alors pourquoi Marc se faisait enculer régulièrement. Qu?est ce que c?était bon !
Et Henri prit l?habitude de nous amener ensemble dans la grange. Il enfilait l?un de nous, puis se retirait, puis enfilait l?autre, puis revenait au premier.. ravi d?avoir à sa disposition deux trous du cul de jeunots. Et un jour, il nous surprit en nous demandant de le baiser. Il se mit en position et nous découvrit un gros cul bien poilu d?un mec de 50 ans. Ce n?était pas un apollon, mais ça m?excitait énormément d?enculer un " vieux ". Je trouvai ça très vicieux et y pris grand plaisir. Marc me succéda dans son cul.
Un jour, je pris Henri à part, et lui demandais, s?il pensait que François, le père de Marc, me laisserait l?enculer. Il me promit de lui en parler et dès le lendemain, je fus invité à diner chez François. Drôle de diner, où je savais que j?allais baiser François, François savait que j?allais la lui mettre dans le cul, et son fils, Marc se demandant si j?allais enculer son père, et ayant du mal à y croire. Il n?eut plus de doute, quand après diner, il me vit rejoindre son père dans sa chambre.
Une fois là, François me dit que Henri avait fini par tout lui raconter : que, s?il l?enculait, il baisait aussi son fils et moi, et qu?il se faisait aussi baiser par nous. François était fermement décidé à enfiler Henri un de ces soirs. Quant à moi, je l?attirais parce que j?avais le même âge que son fils, et que je lui ressemblais un peu, mais que bien sûr, il n?avait jamais demandé à son fils de réaliser son rêve : se faire mettre par lui, ou la lui mettre. Il se mit ensuite à plat ventre, en écartant ses fesses avec ses mains. Je voyais un cul ressemblant à celui d?Henri et je bandais à mort. Décidément j?étais très attiré par des culs de mecs murs. Je le ramonai longuement, puis il me rendit la pareille. Mon copain Marc me confia le lendemain avoir assisté au spectacle par le trou de la serrure en se branlant. Et je lui parlai de la forte envie qu?avait son père de l?enculer. Du coup, le soir même, le fils et le père dinant seuls ensemble, au milieu du repas, Marc se leva, se retourna, se déculotta, écarta les fesses et offrit sa rondelle au regard de son père. Le père encula le fils sans attendre, contre la table de la cuisine, et le fils lui rendit la pareille plus tard dans le lit.
Au stade où nous en étions, François nous invita pour l?apéro, un dimanche en fin de matinée. La maison était une ancienne ferme, un peu à l?écart, nous étions surs de ne pas être dérangés, et comme c?était une chaude journée d?été, François nous accueillit complètement à poil, en nous invitant à nous mettre dans la même tenue. Il servit l?apéro autour d?une table basse, nous autres installés sur des fauteuils en osier. Pour remplir nos verres, il devait se pencher en avant, et se fit bien tripoter le cul. Pendant un moment, nous restâmes assis, cuisses écartées, nous contemplant mutuellement nos parties intimes. Je décidai de pimenter un peu le jeu, en glissant un peu sur mon siège, une cheville reposant sur un genou, cuisses écartées, offrant bien à tous la vue de ma raie des fesses et de ma rondelle. François vint bientôt me doigter. Henri arriva pour me tenir les jambes en l?air, la rondelle plus accessible, et François m?enfila immédiatement. Et le reste du temps fut consacré à des baises multiples et variées. Henri nous fit remarquer qu?il manquait quelque chose,
l?enculage réciproque entre Marc et moi, les deux jeunots. Devant les deux autres assis dans les fauteuils, nous leur offrîmes le spectacle, juchés sur une table basse. Je trouvai la bite de mon copain un peu grosse pour mon petit trou, et, quant à son cul, rien à faire, je préférais les mecs murs.
Le lendemain François eût la visite d?un autre fermier, du même âge que lui, qui était venu le voir, la veille, nous avait aperçu par la fenêtre en train de nous enculer et était rentré chez lui. Il avait cependant bien envie de participer à nos jeux, et pouvait amener son frère, de deux ans son cadet. Les deux étaient célibataires, et avaient depuis longtemps pris l?habitude de se " soulager " mutuellement de façon très agréable, par des enculages réciproques. François accepta avec enthousiasme, et quand il nous fit part de la nouvelle, j?étais aux anges à l?idée d?avoir deux nouveaux culs de mecs murs à enfiler à ma guise.
Hotman7512
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