J'adore m'exhiber. Pas dans des saunas, boites ou sur les plages où de nombreux mecs sont à poil, mais dans un lieu où l'exhibition est inattendue. Je ne me montre pas complètement à poil. J'ai un haut de survêtement court s'arrêtant au nombril, et un pantalon de jogging que je baisse à mi cuisses. Les mecs peuvent ainsi voir ce qui les intéresse le plus chez un autre mec. Prenant de l'âge, je reste petit (1,70m ) et mince (55kg ) et la nuit en particulier, on ne remarque pas mon âge. Et je cherche surtout à attirer des mecs murs. Je pratique souvent la nuit, à partir de minuit, en villle, ou de jour dans les bois. Dans ces cas là, je porte un short assez large, sans slip dessous. Je peux bien montrer, allongé dans l'herbe, les cuisses relevées et bien écartées. Ayant eu de nombreuses expériences, je débute ici une première série, que je ne continuerai que si j'ai des réponses encourageantes.
Une de mes premières expériences a eu lieu sous le rond point du périphérique à la porte de la Villette. Un routier italien était garé là. Il faisait chaud et il était en slip. Il a ouvert sa portière, et s'est penché vers l'intérieur de son camion. Il portait un slip en fines mailles qui laissait bien apparaître à travers le slip, la raie de ses fesses dans la lueur d'un lampadaire. Il a ensuite baissé son slip, exhibant complètement son cul, la raie entrouverte. Il devait être 1h30 du matin, avec peu de circulation. Mais je voyais 4 ou 5 voiture faisant le tour du rond point, en ralentissant notablement à hauteur du routier. Je me suis alors garé un peu devant ce dernier, au prochain lampadaire, ai ouvert ma portière côté chaussée, et suis descendu, penché vers l'intérieur de la voiture, le froc baissé et le cul bien à l'air. Les mecs en voiture avaient ainsi deux culs successifs à mater. L'un d'eux s'est arrêté, est venu me doigter le cul et m'a suggéré qu'on aille ailleurs. J'étais là pour l'exhib, et pas pour me faire enculer, et j'ai décliné sa proposition.
Une autre fois, je me suis promené au même endroit, en voiture, bite à l'air et bien bandée, plafonnier de la voiture allumée, devant les routiers dont certains mataient. L'un d'eux a démarré son camion et s'est engagé sur le périphérique. Je l'y ai rejoint et ai roulé à côté de lui, plafonnier allumé. Il n'arrêtait pas de mater. A la porte de Vincennes, il a quitté le périph et a rejoint le bois où il s'est garé. Je me suis arrêté un peu devant lui. Comme il ne bougeait pas, je me suis entièrement dénudé en dessous de la ceinture, suis sorti, sous ses yeux, de ma voiture dans cette tenue, puis me suis installé à l'arrière de la voiture, allongé sur les sièges, jambes en l'air, pieds appuyés contre le plafond. Là, il m'a rejoint, a ouvert la porte arrière de ma voiture, et a commencé à me doigter le cul. Un second doigt a suivi, puis un troisième. Je commençais à avoir mal, et ne voulait pas que ça finisse par un fist. J'ai repoussé sa main, et il est parti.
Tout près de là, le canal de l'Ourcq passe sous l'avenue de Flandre, et il y a dessous, de chaque côté du canal, deux allées, avec des rambardes pour éviter des chutes intempestives dans le canal. Je ne sais pourquoi, une des allées était très fréquentée pour la drague, l'autre déserte. Je me suis installé du côté de cette dernière et, pour une fois ai joué les mateurs. J'ai repéré un gros arabe, accoudé à la rambarde, froc aux chevilles, cul offert aux promeneurs. Comme sa position indiquait sa bonne volonté, il se faisait souvent doigter le cul. Un soir, je l'ai même vu se faire enculer par 5 mecs différents! Cul bien rôdé !! Il y avait aussi des petits groupes de mecs adeptes de partouzes, agglutinés, se déculottant, se tripotant se suçant. Ca finissait toujours avec un ou deux d'entre eux, penchés en avant, les mains sur les genoux, se faisant baiser par les autres, devant des mateurs qui se branlaient.
Un soir, je m'étais installé assis sur la rambarde, cul bien à l'air, le dos tourné vers l'allée la plus fréquentée. Et je vis arriver, de mon côté, un groupe de 3 arabes. Je me suis dis que ça allait être ma fête, et ça l'a été!! Ils m'ont agrippé et plaqué contre le mur du souterrain, cul exposé de leur côté.
Le premier m'a saisi par les hanches en m'attirant vers lui, et me l'a enfoncée dans le cul. Je grimaçais car ce salaud ne s'était pas lubrifié, même pas avec un peu de salive. Il a marmonné qu'il aimait bien mon petit trou bien serré ( contracté par la douleur en fait ). Et a laissé sa place aux deux autres qui m'ont enculé à leur tour. Le sperme du premier m'ayant lubrifié, ce fût plus agréable. Mais quand ils m'ont laissé, je suis rentré chez moi. J'ai bien vite remarqué que 3 enculages successifs était le maximum que je pouvais supporter.
Un peu plus loin, le canal est surplombé par une passerelle métallique. Je me tenais aussi là, tourné vers le canal, le cul bien à l'air, exposé aux promeneurs. Je n'y ai vécu que des choses soft. Attouchements sur mon cul, introduction de doigts, petites branles.Sympa. Le long du canal, une petite bute rejoignait le périphérique. J'aperçus deux mecs se tripotant la braguette. Une fois la butte escaladée, je vis qu'il s'agissait de deux arabes d'un certain âge. Je m'assois dans l'herbe au dessus d'eux et j'enlève complètement mon short. Ils s'approchent et l'un deux me couche dans l'herbe, et se positionne au dessus de moi, me relevant les jambes en les écartant. Ma rondelle étant ainsi exposée au second, celui ci s'est agenouillé et s'est introduit. Comme il avait un certain âge, ça a duré un bon moment, mais comme il y allait en douceur, j'éprouvais beaucoup de plaisir et aussi de l'excitation à l'idée de me faire enculer par un "papy" arabe. Le second a préféré me prendre, moi agenouillé, tête dans l'herbe, cul bien en l'air.
A Stalingrad, le canal coule, bien en contrebas de la chaussée. Il y a au niveau de la chaussée une rambarde et un étroit trottoir, contre lequel se garent les voitures. Je me suis souvent accoudé là, cul à l'air, et comme le trottoir était très étroit, les mecs qui se promenaient sur le trottoir étaient presque obligés de me toucher le cul, protégés par les voitures en stationnement. Une nuit, j'ai vu un mec qui attendait dans sa voiture. Je me suis positionné à sa hauteur, il n'a eu qu'à baisser sa vitre, pour, sans sortir de sa voiture, me doigter longuement le cul.
A un autre endroit, à la porte de Charenton, les boulevards des maréchaux surplombent les voies de chemin de fer de la gare de Lyon. Un peu plus loin se trouve un terrain vague où sont garés des wagons délabrés. Le grillage séparant ce terrain vague de la chaussée étant quelque peu défoncé, je suis entré, pour trouver quelques SdF installés là. J'ai grimpé dans un wagon de marchandises dont les portes étaient ouverte, et me suis allongé là, ayant enlevé mon short, bien en vue. J'étais assez jeune à cette époque, et, pour un SdF, une occasion alléchante. Un premier m'a vite rejoint, pour me faire un peu têter sa bite, puis m'a retourné à plat ventre pour me bourrer le cul. Deux autres nous ont rejoint, matant en se branlant, attendant leur tour. Quand les trois m'eurent enculé, mon "quota" étant atteint, je suis reparti
Un autre endroit "cool" était sous le métro aérien, au niveau de la station Chevaleret. Je m'adossais à un gros pilier, qui me protégeait des regards des gens qui circulaient sur la chaussée. J'avais la bite à l'air, me faisait branler, suçoter, certains passant la main à mon cul pour me doigter. Et c'est là que j'ai vu et participé à un viol. Un SdF, de petite corpulence, dormait en chien de fusil, dans un coin un peu abrité. Un arabe, très costaud, s'est approché pour lui caresser doucement le cul. Le SdF continuait à dormir mais s'est réveillé en sentant l'autre lui ouvrir sa braguette. Il l'a vite mis à plat ventre. Je me suis assis sur les épaules du SdF, une main sur sa bouche, pour étouffer ses protestations. L'arabe a bien dénudé le cul de notre victime et s'est mis à l'enculer. Quelques mateurs se sont approchés et ont contemplé le spectacle en se branlant. Quand l'arabe eût terminé, il me fit signe de le remplacer, et je bourrai à nouveau le cul du petit SdF. Quand nous en eûmes fini avec lui, il remonta son pantalon, et courut se trouver un coin plus tranquille.
Ces anecdotes ne sont pas des fantasmes, mais des histoires réellement vécues. Si je reçois des mails d'encouragement, je continuerai volontiers à raconter mes aventures, dans d'autres lieux de Paris, dans des bois, sur les parkings d'autoroute, dans des urinoirs collectifs, ..
Hotman7512
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