Domination par Stéphane mon futur mari

Chapitre 20

Prises de décisions

Jeudi matin, mon réveil sonne et je me réveille. Stéphane est déjà debout dans la salle de bain. Je me lève et rentre à mon tour dans la salle de bain.

Moi : Bonjour mon homme.

Stéphane : Bonjour mon amour bien dormi ?

Moi : Oui et toi ?

Stéphane : Comme un gros bébé, je vais prendre un café, on parlera à table.

Moi : Je passe sous la douche en vitesse et j'arrive.

Je me prépare et remets le costume de la veille en changeant tout de même de chemise. Arrivé à table, Rose sers du café à Stéphane et en me voyant, m'en sert un également.

Moi : Bonjour Rose.

Rose : Bonjour monsieur.

Je m'installe à table et boit mon café. Mon homme, lui, lit le journal.

Stéphane : Et quoi à ton boulot ?

Moi : Ah mon avis, j'aurais mon préavis vendredi. La secrétaire pense avoir le sien aussi prochainement. Le patron a fait envoyer un courrier à la clientèle pour dire pratiquement que je ne faisais plus partie de la boite. Donc j'ai commencé à plier bagage en prenant soins d'effacer ce qui pourrait lui être utile.

Stéphane : Et tu comptes faire quoi ?

Moi : S'il me vire, je compte m'installer à mon compte, reprendre contact avec ma clientèle et faire le même travail mais en tant que patron. Il me faudra un coup de main pour trouver des bureaux accessibles facilement pour la clientèle et une secrétaire ainsi que les outils de travail.

Stéphane : Que veux-tu dire par coup de main ?

Moi : En fait, j'ai un capital pour pouvoir ouvrir ma propre boite. Je le destinais à la rénovation de la maison familiale mais ça peut attendre. Je ne sais pas où trouver des bureaux à un prix démocratique et sécurisé. Pour le matériel je ne sais pas très bien combien ça peut coûter, je n'ai aucune expérience juridique non plus et il me faudra aussi un excellent comptable.

Stéphane : On va prendre un rendez-vous avec mon avocat et mes conseils en affaires et pour les bureaux, je crois avoir une idée mais il faut que je me renseigne. Pour ce qui est du comptable tu prendras celui du garage, il est très bon tu verras. De plus il est comme nous. Enfin, si ton boss te vire. Sur ce, moi il faut que j'y aille, j'ai encore beaucoup de boulot et je rentrerais encore tard ce soir. Tu fais comme hier pour le repas, tu vois avec Rose.

Moi : Je crois plutôt que je vais aller manger dans un petit restaurant sympa que je connais bien. Et si tu veux, je viens te rejoindre ensuite au garage. Comme ça je ne m'ennuierais pas tout seul dans cette grande maison où il faut encore que je trouve mes marques.

Stéphane : Comme tu veux mon ange.

Et il s'en va. Je termine mon café et signale à Rose de ne pas me faire à manger ce soir. Je pars à mon bureau, arrivé sur place je monte et vois la secrétaire.

Moi : Bonjour, pourrais-je avoir un café s'il vous plait ?

La secrétaire : Tout de suite.

Je rentre dans mon bureau, j'ouvre mon courrier, relève mes emails et vois trois réactions de clients. Ils ont reçu le courrier de mon patron, ils décident de ne pas en tenir compte. Je sauvegarde ces trois emails sur une clef USB et continue mon rangement. Je reprends encore quelques bricoles. Mon bureau est presque vide de tout ce qui pourrait servir à mon patron après mon départ. S'il me vire demain, je peux pratiquement partir tout de suite. Je suppose qu'il ne voudra pas que je preste mon préavis. Je suis sur le point de partir quand la secrétaire me passe un client au téléphone. Celui-ci voulait avoir des précisions sur sa future campagne de publicité dont j'avais transmis le dossier à mon patron avant de partir en vacances. Je lui réponds que je n'en ai aucune idée et que c'est le patron qui devait prendre en charge la suite avec lui. Je conseille au client de téléphoner sur le portable de mon patron, je lui donne son numéro et je raccroche. Tout compte fait, qu'il se démerde avec le patron, je ne sentais pas ce client là. Je quitte mon bureau et dis au revoir à la secrétaire. Je repars en voiture direction mon appartement afin de finir tous mes cartons pour dimanche. Je reprends le reste de ce que je peux ramener à la maison .Ca me prend pratiquement toute la journée. Vers 17h00 je reprends la voiture et passe par chez Nicole pour mon oreille. Elle me retire le petit anneau qu'elle y a mis et effectivement le trou s'est élargi. Je ne traine pas et passe ensuite par chez ma mère voir si tout va bien et ramasser son courrier. Ensuite je repasse par la maison et décharge mes plantes d'intérieur que je dépose dans l'entrée. Je crie après Rose.

Moi : Rose, vous êtes là ?

Rose : Oui monsieur je change le lit de la chambre principale.

Je monte.

Moi : Rose, je vous ai ramené mes plantes d'intérieur, je ne voulais pas les jeter à la poubelle. Je ne sais pas où les mettre, je vous laisse faire.

Rose : Pas de souci, je m'en occupe. Vous allez rejoindre monsieur ce soir ?

Moi : Oui.

Rose : Alors je vais vous remettre un colis pour lui. C'est pour le garage mais ça devait arriver ici. Je lui ai téléphoné, il est au courant.

Moi : Ok pas de problème. Je vais passer sous la douche et me changer pour sortir. Je ne sais pas vers quelle heure nous rentrerons.

Rose : Pas de souci, je serai chez moi si vous avez besoin de quelque chose.

Je vais dans la salle de bains et prend une longue douche ensuite je passe une crème, me parfume et mets la boucle d'oreille que Stéphane aime, mon bracelet et mon collier. Dans le dressing je prends un pantalon en cuir noir classe, chaussures et chaussettes noires, un t-shirt blanc moulant et mon nouveau veston en daim noir. En me regardant dans le miroir, je m'apprécie dans ces tenues que je ne portais jamais avant. Je suis sur le point de partir quand mon portable sonne.

Moi : Allô ?

Stéphane : Mon amour tu arriveras vers quelle heure au garage ?

Moi : Vers 21h00 pourquoi ?

Stéphane : Eh bien j'ai fini pour aujourd'hui et je n'ai pas encore mangé, on va manger ensemble.

Moi : Pas de souci je viens te chercher et on va aller là où je voulais aller.

Stéphane : Non, attends-moi à la maison. Je suis là dans dix minutes.

Moi : Comme tu veux.

Je l'attends donc à la maison et effectivement, il arrive dix minutes après.

Stéphane : Eh bien en voilà une tenue !

Moi : Quoi tu n'aimes pas ? Je l'ai mis pour aller te rejoindre au garage après avoir été mangé.

Stéphane : Si, elle me plaît, tu es craquant dedans mais tu aurais attiré tous les regards sur toi. Et sans moi. Et si un mec te draguait !

Moi : Je sais me défendre.

Stéphane : Et si tu tombais sous son charme !

Moi : Il n'y a pas de risque, j'ai tout ce qu'il me faut ici, je t'ai toi et c'est amplement suffisant.

Stéphane : Oui mais avec l'épisode Felipe, je me méfie !

Moi : Eh bien c'est sympathique comme début de soirée. Voilà que mon homme me fait une scène de jalousie. La prochaine fois que je sortirais seul, je m'habillerais avec un sac poubelle.

Stéphane : Tu exagères ! Ce n'est pas ce que je voulais dire, enfin bref je me change et on va manger !

Moi : Ok.

Stéphane : Ok qui ?

Moi : Ok mon homme.

Il quitte la pièce et je reste planté là à réfléchir. Il m'a payé des beaux vêtements, m'a demandé de me mettre en valeur pour lui, il m'a relooké et maintenant que ça me plait d'être en valeur pour lui et que j'ai envie de plaire, il me fait une scène de jalousie. Sans m'en rendre compte j'ai une larme qui me coule des yeux. Stéphane arrive alors que je suis perdu dans mes pensées tout en regardant par la fenêtre.

Stéphane : Je suis prêt.

Moi : Euh oui j'arrive.

Stéphane : Mais tu pleures.

Moi : Non pas du tout.

Stéphane : Si tu pleures, je le vois bien. Qu'est-ce qu'il y a ?

Moi : Rien ça va passer.

Il vient, me prend la tête dans ses mains et il m'embrasse.

Stéphane : Je t'aime tu le sais, mais qu'est-ce qu'il y a ?

Moi : Rien. Je voulais juste te plaire en m'habillant comme ça et tu me disputes alors que cela me plaît de te plaire. En plus tu me balance au visage Felipe, je ne pensais pas avoir mérité ça.

Stéphane : Pardonnes-moi, je me suis emporté trop rapidement. C'est mon côté jaloux et possessif je crois. Viens dans mes bras.

Je me blotti dans ses bras et il me serre contre lui.

Stéphane : Là, c'est fini. On oublie cet épisode et on va manger. Ce soir, je sors mon futur mari.

Moi : J'avais réservé une table, je vais annuler.

Stéphane : Oui, j'ai réservé dans un restaurant que je connais bien.

Moi : Je vais peut-être me changer alors.

Stéphane : Non reste comme ça, je suis habillé pratiquement pareil que toi.

Nous prenons la voiture de mon homme et partons manger. Sur le chemin :

Moi : On ne rentrera pas trop tard il faut que je sois à l'heure pour voir mon patron.

Stéphane : On mange et on rentre, promis.

Moi : J'ai fini de tout emballer à mon appartement, tout est prêt pour dimanche.

Stéphane : Très bien. Ton boss va te virer, tu en es sûr ?

Moi : Presque certain avec tout ce qu'il a fait dans mon dos sur le temps que nous étions en vacances.

Stéphane : Alors on va agir dès ce soir.

Moi : Que veux-tu dire ?

Stéphane : Si je croise la bonne personne, tu auras alors tous les bons conseils pour t'installer à ton compte. A propos, Rose t'a donné un colis pour moi ?

Moi : Ah euh oui le voilà je l'avais mis dans ma veste.

Stéphane : Eh bien, tu l'ouvriras au restaurant, c'est pour toi !

Moi : Encore ? Tu me gâtes trop !

Stéphane : Non, ce n'est pas un cadeau, c'est utile pour ton avenir professionnel. Tu comprendras au restaurant, d'ailleurs, nous arrivons.

Effectivement, nous arrivons devant un restaurant huppé de Liège. Mon homme se gare devant le porche et deux voituriers viennent nous ouvrir la portière. On entre et l'on nous installe à une table nous demandant notre vestiaire. Avant de donner ma veste, je retire mon GSM et le petit colis. On vient nous apporter la carte.

Stéphane : Je voudrais une bouteille de champagne Rosé.

Le serveur : La même que d'habitude monsieur ?

Stéphane : Oui.

Moi : Tu viens souvent avec des mecs ici ?

Stéphane : Non, je viens ici avec Christian une fois par mois. En règle générale le samedi ou sa femme fait la fête entre filles ou alors avec des clients. Mais tu es le premier mec ici et tu es mon futur mari.

Moi : C'était juste une question. Je ne suis jamais venu ici avant, ce n'était pas forcément dans mon budget puisque comme tu le sais, je mettais beaucoup de mon salaire pour rénover la maison de ma mère. Je me privais de beaucoup.

Stéphane : Maintenant tu n'auras jamais plus besoin de te priver.

Le serveur arrive avec la bouteille de champagne et deux coupes ainsi que des amuses bouche. En fait, quelques fraises et des biscuits provenant de Champagne. Personnellement je trouve l'idée du serveur, de ses amuses bouches de très mauvais goût. Le serveur s'en va.

Moi : Je trouve l'idée du serveur de ce genre d'amuses bouches de mauvais goût, pour deux hommes.

Stéphane : Ne critiques pas sans avoir gouté ! Moi personnellement, j'adore.

Moi : Ah bon ?

Stéphane : Les fraises donnent avec le champagne un petit effet aphrodisiaque et les biscuits lui donnent un autre goût, goutte !

Je goute et effectivement, ce n'est pas mauvais. Ce n'est pas ma tasse de thé mais bon. J'ouvre la carte du restaurant et manque de tomber le cul par terre en voyant le prix de la bouteille de Champagne. 470 € ! Il est fou de mettre un prix pareil pour du champagne. Les prix de la carte ne sont pas donnés non plus. Il y a intérêt que ce soit bon.

Stéphane : Tu as choisi ?

Moi : On prend une entrée ?

Stéphane : Oui.

Moi : Alors pour moi, ce sera un carpaccio de saumon et ensuite des ris de veau façon du chef.

Stéphane : La même chose pour moi.

Le serveur : Bien monsieur et pour le vin ?

Stéphane : Je vous fais confiance.

Le serveur : Bien monsieur.

Il reprend les cartes et nous laisse.

Stéphane : Ouvres ton colis !

Moi : Ah oui j'avais oublié.

J'ouvre mon colis et à l'intérieur se trouve des cartes de visite à mon nom avec ma profession, le nom de Stéphane avec sa profession ainsi que nos numéros de téléphones et notre adresse. En fond il y a le sigle gay mais il faut vraiment avoir le nez dessus pour le voir.

Stéphane : Comme ça on saura que nous sommes ensemble et que nous travaillons ensemble.

Moi : A quoi veux-tu que cela me serve ?

Stéphane : Pour tes futurs clients et les miens.

Moi : Ah bon.

Stéphane : Tu n'avais pas de carte de visite ?

Moi : Non, juste celles du boulot.

Stéphane : Maintenant tu as une privée.

Le repas se passe et il est excellent sous tous les rapports. Nous discutons mon homme et moi de mon travail. Surtout de la façon de m'y prendre avec mes clients si je suis viré. A la fin du repas on prend un digestif mais je dois avouer que je suis un peu arrangé. Entre le champagne, le vin blanc, le rouge et maintenant le digestif, je serai content de rentrer. Stéphane paye et nous nous levons pour partir lorsque je tombe sur mon patron.

Mon patron : Bonsoir Pat.

Moi : Bonsoir monsieur.

Mon patron : Je ne m'attendais pas à vous voir ici.

Moi : Mon futur mari m'a invité.

Mon patron : Votre quoi ?

Stéphane : Vous avez bien compris. Enchanté.

Mon patron : Euh oui enchanté. Il y a vraiment beaucoup de choses qui ont changé Pat.

Moi : C'est ma vie privée elle doit être respectée. De toute façon, je suppose que demain vous m'annoncerez mon licenciement vu les emails de clients que je reçois, la copie de la lettre que vous leur avez envoyé et que j'ai lu.

Mon patron : Le contexte économique m'y oblige, je n'ai pas le choix ou ma boite coule. Mais nous en reparlerons demain matin.

Moi : Oui nous en reparlerons. Bonne soirée.

Stéphane : Avec ses capacités, il retrouvera très rapidement du travail et je pense que vous vous en mordrez les doigts.

Mon patron : Monsieur, je suis dans le métier depuis plus de vingt ans. Je sais ce que je fais et je n'ai pas de leçons à recevoir de vous, vous ne savez pas à qui vous avez affaire.

Stéphane : Et vous encore moins.

Mon patron : Si. A un petit garagiste et rien d'autre.

Je dois intervenir sinon ça va finir en bagarre.

Moi : Je pense que vous vous êtes tout dit. Stéphane on y va !

Stéphane : Je ne suis peut être qu'un petit garagiste mais je vais vous faire couler et je vais vous ruiner en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire !

Mon patron : Oui, on verra, vous ne me faites pas peur.

On sort avant que cela ne se dégrade et on reprend la voiture. Stéphane prend le téléphone de la voiture via le system main libre et téléphone à son avocat.

Stéphane : Francis ? C'est moi. Je veux tout savoir sur la société ..............................., son actionnariat ses fonds, ses crédits aux banques et dans quelle banque se trouve cette société. Je veux qu'on lui coupe les vivres, je veux la voir en faillite le plus rapidement possible, compris ?

Francis : Ok, je m'en occupe et te recontacte demain dans la journée. J'aurais toutes les informations mais pourquoi t'attaquer à cette société ? C'est celle ou travail ton futur mari non ?

Stéphane : Il le vire demain matin. Je viens d'avoir une conversation avec et il m'a pris de haut en me traitant de petit garagiste. Je vais lui montrer ce qu'il peut faire le petit garagiste !

Francis : Ok, je te sonne demain.

Moi : Tu veux vraiment sa peau ?

Stéphane : Oui et en plus, une fois en faillite, tu récupèreras toute la clientèle et le pied serait que tu t'installes dans ses bureaux.

Moi : Pas dans ses bureau, ça me porterais malheur mais pour le reste je te laisse faire, fonces. Pour ma part, une fois le C4 signé, je vais lui en mettre une, ça me fera du bien.

Stéphane : Tu ne veux pas que mon avocat t'accompagne pour ton C4 ? On ne sait jamais qu'il y aurait une clause ou l'autre.

Moi : Pas bête, je ne suis pas infaillible.

Stéphane téléphone de nouveau à Francis.

Stéphane : Francis c'est encore moi, peux-tu envoyer un de tes collaborateurs demain première heure au travail de Pat. Je voudrais qu'il regarde que les papiers de son licenciement soient faits correctement.

Francis : Mon fils sera chez toi demain à 7h00. Ensuite que Pat vienne avec lui à mon bureau pour le montage de sa société de publicité dont tu m'as parlé ce matin. Après ils iront ensemble voir des locaux que j'ai déjà trouvé pour lui.

Moi : Merci cher Maître.

Francis : Pat, oublies le " Maître " avec moi. Tu fais partie de la famille maintenant. Garde le maître pour ton futur mari quand vous êtes au lit " rire "

Moi : Ok. Merci pour tout.

Stéphane : Je veux 45% des parts de la future société et Pat 55%. Tu prends sur le compte financier ce qu'il faut et si Pat n'a pas assez d'argent tu lui finances le reste avec le compte investissement sûrs.

Francis : On n'en n'est pas encore là. De toute façon, il nous faudra une réunion pour les actes de création de la société. Laisses-moi faire le job pour lequel tu me paye, tu veux bien ?

Stéphane : Oui Francis, j'obtempère.

Francis : Bon, maintenant je vais me coucher. Bonne nuit.

Nous : Merci et bonne nuit.

Moi : Si je ne m'abuse, il vient poliment de t'envoyer chier non ?

Stéphane : Oui il te semble bien mais il faut dire qu'il est tard et que sa femme est une couche tôt. Mais tu verras son fils est très bien, il est de notre bord mais est bi. Je l'ai sauté. Un bon petit cul mais on en est resté là. Histoire de ne pas avoir de problème avec Francis.

Moi : Mais tu sautes tout ce qui bouge ma parole ! C'est moi qui devrais être jaloux. Qu'est ce qui me dit que hier tu ne m'as pas trompé ?

Stéphane : Merci, c'est gentil. Tu oublies que je t'ai honoré par deux fois hier soir.

Moi : Oups un oubli et il est vrai que de voir ton sourire de satisfaction alors que tu dormais m'a vraiment fait plaisir.

Stéphane : Faut dire que tu sais être vraiment salope quand tu as envie de moi. Tu sais m'exciter.

Moi : Quand je me suis couché hier, je voulais dormir à la base mais il y avait 23 degrés dans la chambre avec ton fichu chauffage central. Je ne sais pas m'en servir, je n'avais le choix que de dormir sans les draps. Et comme je dors sur le ventre, je t'étais naturellement offert.

Stéphane : Tu trouves qu'il fait trop chaud dans la chambre ?

Moi : Oui. Je suis habitué à dormir sans chauffage dans ma chambre. En principe ça ne me dérange pas un peu de chauffage mais là, c'est trop.

Stéphane : Dès que je rentre je rectifie le tir et demain je t'explique comment ça fonctionne. Ce n'est pas compliqué.

Moi : Ok mon homme.

Nous rentrons et, pour ma part, je décide de me coucher car je suis fatigué et un peu bourré aussi. Il faut le dire, même si je suis nerveux avec la fin de soirée et la rencontre avec mon patron qui ne paye rien pour attendre demain. Je me fous à poil et me couche. Stéphane se met à poil aussi mais va dans son bureau. Je me mets sur le côté et essaye de dormir. M'étant pour finir assoupi, je ne sens pas mon homme est entré dans le lit. Ce n'est que quand je sens sa queue rentrer dans mon cul que je réagi.

Stéphane : Laisses-toi faire ! Je veux dormir en toi cette nuit !

Il entre lentement en moi et je gémis légèrement mais cambre mon cul pour lui donner un accès plus facile. Il est à fond en moi et me prend dans ses bras tout en m'embrassant dans le cou.

Stéphane : Bonne nuit mon ange.

Moi : Bonne nuit mon homme.

Et nous finissons par dormir jusqu'au réveil.