Depuis une semaine, mon quartier connaît quelques travaux. Voirie, éclairage, conduites d'eau... tout y passe. Autant vous dire que les désagréments sont légion. J'habite ici depuis bientôt 3 ans, c'est une ville résidentielle calme peuplée de jeunes couples avec ou sans enfants. Moi j'y vis seul depuis ma séparation l'an dernier, comme un nounours de 32 ans que je suis, dans ma grotte, mais la grotte est accueillante. Je suis gay, je ne le crie pas sur les toits, ceux qui doivent le savoir sont au courant et je le vis très bien ainsi. Donc, les ouvriers défilent du matin au soir dans la rue. Le spectacle est parfois pas désagréable du tout à regarder en cette période automnale.
Aujourd'hui, c'est mon premier jour de congés, j'en profite pour dormir un peu plus tard que d'habitude, pour traîner en caleçon/t-shirt et pour aérer et nettoyer la maison. Vers 10h, alors que j'étais en train ranger mon petit déj', la sonnette retentit. Bien que n'étant pas tellement habillé, je vais ouvrir. Deux ouvriers du chantier, l'un de 19 ans, le visage assez dur, brun, peau mate, grand et son collègue 30 ans, plus avenant, blond, barbu. Le plus âgé prend la parole :
"- Bonjour Monsieur, on est désolé de vous déranger, on travaille sur le chantier dans votre rue et on aurait besoin d'avoir accès à votre cave et à votre installation électrique et d'eau afin de faire des essais. On en a pour environ 1h - 1h30.
- Bonjour et bien pas de souci, faites comme chez vous, je vous montre les installations."
Je passe devant et les dirige donc vers la cave, je les entends se murmurer des choses sans comprendre. Je leur montre les installations et les laisse à leurs travaux.
Je décide tout de même de passer une tenue plus adaptée et je me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. J'enlève ma tenue de combat du matin et avant d'entrer dans la douche je vois quelques petites tenues que je me suis acheté hier et que je n'ai pas encore essayé, c'est le moyen, je suis à poil et tranquille dans ma salle de bain. Un de mes amants m'a demandé une tenue un peu travelo. Je me suis donc acheté un string et des portes jarretelles. Je commence par enfiler le string rouge que je me suis acheté, la sensation est agréable et excitante, j'enfile ensuite les portes jarretelles et je m'admire dans le grand miroir. A ce moment là, la porte de la salle de bain s'ouvre et je me retrouve dos aux deux ouvriers qui venaient pour tester les robinets. Le jeune de 19 ans a le regard qui change, donne un coup de coude à son collègue :
"- Tu vois bien que c'est une grosse pute, je te l'avais dit.
- T'as raison Marco, une belle grosse pute, enchérit son collègue.
Je reste sans voix et bredouille que c'est pas du tout ce qu'ils pensent,... J'ai à peine le temps de finir ma phrase qu'ils sont tous les deux sur moi. Ils m'ont maîtrisé, m'empêchant de bouger, d'hurler et ils me transportent vers ma chambre. Ils me jettent sur le lit, le plus âgé s'allonge sur moi et me maîtrise, pendant que j'entends le plus jeune qui fouille dans sa trousse de chantier. Je me retrouve en 2 minutes, à 4 pattes, le cul en l'air avec mon string et mes porte jarretelles, attaché par des cordes, avec un bâillon sur la bouche.
"- Tu vois Ben, moi les putes je les aime bien comme ça, offertes à des mâles, prêtes à recevoir.
- Ouais, t'as raison, mais c'est qu'elle m'a mis le barreau cette salope, je vais me l'essayer moi."
Ben fait le tour du lit et je sens que quelque chose se pose sur ma rondelle et tout à coup une douleur me fait hurler dans mon baillon, il a entré sa queue direct en moi, je sens qu'elle est longue et assez large, il commence ses va et viens comme un taureau sur une génisse et me baise sans se soucier de moi. Le mal du début laisse peu à peu place à un plaisir. Marco s'aperçoit que les larmes ne coulent plus sur mes joues et que mes yeux expriment du plaisir, il ôte le baillon et sans que j'ai le temps d'emettre un bruit me fourre une baffe :
- Ecoute bien la pute, les règles sont simples. A partir de maintenant, tu nous appartiens, on est tes macs. En clair, tu fermes ta gueule, tu prends ce qu'on te dit de prendre, tu acceptes tous les mecs qui viennent pour te baiser et tu leur procures du bien. Tu te plains pas et tu vas voir que tu vas même prendre du plaisir.
J'ai à peine le temps de me reprendre mes esprits que, pendant que son pote continue de me défoncer le trou, il me fourre sa queue énorme dans la bouche, à fond de gorge, me provocant des renvois. Il me baise littéralement la bouche pendant que son pote m'ouvre le cul à grands coups de bite. Au bout de 5 minutes, ils me remplissent en même temps les deux trous, sortent et remettent le bâillon. J'ai le cul en feu, très ouvert d'où dégouline du jus, Marco sort de son sac un plug queue de chien et le met dans mon trou. Il me laisse attaché sur le lit et me dit :
- Tu vas rester là, comme ça et t'auras de la visite, tu seras une bonne pute sinon tu vas le regretter.
Sur ce, il sort et me laisse souillé, humilié, rempli mais excité par tout ça.
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Nickolla Maix
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