Premier épisode | Épisode précédent
Je suis resté installé comme une chienne avec le plug pendant une éternité avant d'entendre la sonnette retentir. Ne pouvant pas bouger, ni parler je me mis à hurler à travers mon bâillon mais sans succès.
" - Y'a quelqu'un ? ... Oh hé.... La porte est ouverte... Nous sommes les pompiers... On vient pour les calendriers. "
J'entends des pas qui se rapprochent.
" - Oh hé... y'a quelqu'un ? "
Une seconde voix différente s'approche et des pas se font entendre dans le couloir. Je suis gêné qu'on me trouve comme ça mais j'ai tellement envie qu'on me libère de cette emprise.
" - Y'a quelqu.... Gabriel, viens un peu voir par là "
Un des deux pompiers est entré dans ma chambre, je ne le vois pas, j'ai le cul tendu vers la porte avec mon plug dans le trou, je sens sa présence, je le sens s'approcher. Son collègue entre dans la chambre.
" - Oula, je vois qu'il y un feu dans une chienne ici... Tu vois Antoine que ça a du bon de vendre ces putains de calendriers. "
Je sens des mains se poser sur moi, mon cul, mon dos ... et tout à coup, une grosse fessée claque sur mon cul, je gémis de surprise, de douleur et d'excitation.
Le Antoine en question passe devant et vient se poser devant moi. C'est une force de la nature. Métis antillais, il mesure 2.03 m, les cheveux courts frisés, des yeux clairs et des mains énormes. Il se penche vers mon visage, lèche ma joue jusqu'à mon oreille pour me dire :
" - On a vu le petit mot de tes macs sur la porte, tu vas prendre cher dans ta chatte de pute, moi je suis très bien monté mais mon pote c'est autre chose, tu vas couiner ! Et ce ne sera que le début, on va te faire tout le calendrier des pompiers et appeler nos collègues qui ont posé dessus ! "
Il se recule, ouvre son fut et sort une magnifique teub lourde et épaisse qui tombe sur une paire de boules énormes et rasées, il approche son paquet sans rien dire, et défait mon bâillon, j'ouvre machinalement ma bouche et il y fourre sa queue demi molle.
" - C'est ça la pute, t'as bien compris, vas y pompe moi bien. T'as vu Gabriel, on va bien s'amuser, et les potes vont adorer, appelle les ! "
Pendant que je m'occupe à bien sucer la queue lourde et grossissante d'Olivier, j'entends que Gabriel s'éloigne et qu'il téléphone.
" - Putain ils sont chauds, ils étaient en manoeuvre pas loin, ils arrivent " je sens les mains du soi disant Gabriel qui touche mes sous-vêtements, me caressent délicatement, fermement. Il fait claquer le fil de mon string sur ma rondelle ce qui me fait gémir la bouche pleine.
" - Eh bien la pute, ça te plait d'être offerte comme ça en tenue de femelle on dirait ! "
En disant ses mots, Gabriel retire violemment le plug " queue de chien " et le jus qui était dans mon cul dégouline le long de mes cuisses, sur le porte jarretelle. Il entre ses doigts épais dans mon trou pour jouer avec, en ressort du jus et vient me le donner à manger. Je ne vois toujours pas ni son corps, ni son visage, trop occupé à pomper la queue d'Olivier devenue dure comme du fer. Le jus que Gabriel me fait manger lubrifie ma gorge et Olivier en profite pour me mettre son barreau en fond de gorge, à la limite de vomir... Je le sens grogner et kiffer ça pendant que Gabriel se marre en continuant à doigter mon trou avec de plus en plus de doigts.
" - Je sens que tu as bien préparé sa chatte. Tu me laisses la place avant que ce soit trop large ? demande Olivier
- Vas y, amuse toi avec son trou de pute à jus, ça m'aidera à y entrer tout à l'heure ! "
Olivier retire sa queue de ma bouche et se dirige vers mon cul, il décale le fil de mon string et pose direct sa queue pleine de bave sur mon trou. Il a pas envie de perdre son temps et force le passage. J'appréhende mais mon trou doit vraiment être ouvert comme jamais, il entre sans trop de difficultés et je sens ses boules qui viennent frapper les miennes. Je couine de bonheur grâce à cette queue, ce qui fait accélérer les va et viens de mon pompier baiseur qui hésite pas à gémir en me traitant de salope. Gabriel a disparu, je ne l'entends pas et ne sens pas sa présence... ça m'inquiète un peu...
Pendant 10 minutes, mon pompier ne cessera pas ses coups de butoir dans ma chatte, et je ne peux m'empêcher de bander tout ce temps ce qui l'excite encore plus jusqu'à que dans un râle puissant je le sente déverser des flots de sperme dans mon cul. Il reste bloqué au fond de moi pendant quelques instants, se retire et sans rien dire vient placer sa queue engluée de foutre devant ma bouche, je m'active à la nettoyer comme il faut et j'attends du bruit derrière moi...
Ça vous a plu, excité, etc. écrivez moi : nickolla.maix@gmail.com et montrez moi votre excitation... pour espérer lire une suite ;)
Nickolla Maix
Autres histoires de l'auteur : Deux ouvriers devenus mes macs