Épisode précédent
Mickael poussait le bouchon en me demandant si je pensais que mon père était passif ou actif ?
Je finissais par être obnubilé par cette histoire. Deux ou trois jours plus tard, en changeant les draps pour les mettre à la lessive, j'ai trouvé un shorty blanc, pas très propre, humant fort le mâle, jaune de pisse sur le devant. Mon père ne portait que des slips de couleurs.
Tout à coup, il n'y a plus eu de doute dans mon esprit. J'en fus très triste, pour moi surtout, mais également très jaloux !!!
Une fois lavé et séché, j'ai plié le shorty et je l'ai déposé sur sa table de chevet. Le lendemain, il avait disparu. Quand mon père est rentré de son travail, nous avons parlé de choses et d'autres et il m'a invité au resto. Au cours du repas, il m'a posé des questions sur mes études, mes copains, que je ne ramenai jamais à la maison et sur le fait, de savoir si j'avais des copines etc... A notre retour, nous avons regardé la télé, lui un bras passé derrière ma tête, moi qui bandais comme un âne. Puis nous sommes allés nous coucher. Dans la nuit j'ai entendu qu'il se branlait et j'en ai fait autant.
Pour lui faire plaisir, quand je savais qu'il serait là, j'ai demandé à Kevin, Fabien, Viktor et d'autres de venir prendre un pot, partager notre repas ! Mon père avait une préférence pour Viktor, 18 ans, blond, tout en finesse. Il le servait, lui donnait les plus beaux morceaux, lui passait souvent la main dans ses cheveux mi longs. Je me disais qu'il essayait de le séduire ce qui me rendait fou de rage. J'ai donc décidé de couper les ponts avec Viktor.
Bien sûr mon père m'a posé des tas de questions, il était à la fois inquiet et soupçonneux. Je lui disais que Viktor avait déménagé, et changé d'école. Je le voyais si triste parfois qu'il me faisait de la peine, j'aurai tant aimé le prendre dans mes bras, le caresser, mais je n'osais pas de peur de sa réaction et je déprimais.
Un jour, j'ai oublié mon téléphone. Lorsque je l'ai récupéré, j'ai ouvert ma messagerie et j'ai constaté que tous mes messages avaient été lus. Mon père avait du fouillé dedans.
Pour essayé de me changer les idées, Mickael a décidé de reprendre nos escapades au bois de la source et nous y étions presque chaque soir. Le mois de juin était particulièrement chaud et nous y allions en mini short et débardeur. Je commençais à me lâcher. J'avais un beau petit cul, une rondelle serrée et imberbe mais j'étais toujours vierge du cul !
Un soir en arrivant au parking Mickael a vu la voiture de mon père démarrer. Une autre fois alors qu'un type, la quarantaine me bouffait le cul à grand coups de langue, j'ai vu passer mon père torse nu, mais lui ne m'a pas vu.
Les vacances sont arrivées et ni nous, ni les parents de Mickael n'avions les moyens de partir. J'avais dégotté un petit job les après-midi. Mickael moins courageux que moi bullait chez lui ou allait draguer au bois ou au sauna. Il me racontait souvent ses baises, qu'il s'était fait pénétrer, ou qu'il avait pénétré bref j'avais droit au film porno.
Un soir Mickael m'attendait à la sortie de mon boulot. Il était assez énervé et m'a raconté que vers 15 heures, il a vu Viktor entrer chez moi en tenue sexy accompagné d'un black. Il a guetté et les a vu ressortir 2 heures plus tard, mon père mettant la main aux fesses de Viktor qui se trémoussait. Soit Viktor était revenu en mon absence, soit mon père avait piqué son numéro quand il avait fouillé dans mon téléphone.
Une autre fois c'est mon père qui est entré chez Mustafa vers 16 heures. Le resto était fermé mais les frères de Mustafa faisaient le ménage. Ils sont tous allés dans l'arrière boutique et une heure plus tard mon père est ressorti avec une large tâche humide sur le fond de son short et du sperme qui coulait le long de sa jambe.
Il y eu cette fois, aussi, où rentrant du boulot, mon père regardait la télé, Nous échangeons quelques banalités et, qui sort de la salle de bain ? Viktor !
Fou de rage, je suis sorti en claquant la porte. J'ai bien entendu les cris et appels de mon père, mais je n'ai pas fais demi-tour. Lui et moi c'était fini. J'ai donc demandé à une tante qui habitait pas très loin de chez nous de m'héberger.
J'en avais marre de cette situation. D'une part, j'étais jaloux que mon père pour lequel je bandais, qui représentait mon type d'homme idéal et, avec lequel je partageai ma chambre n'avait jamais eu le moindre intérêt sexuel pour moi et baisait à tout va. Et d'autre part je culpabilisai sur le fait qu'à 21 ans je ne m'étais jamais fait pénétrer et, n'avais moi-même jamais pénétré un cul. Bref je ruminai une sombre colère, une frustration profonde et je m'interrogeais sur le comportement de mon père qui affichait ouvertement son homosexualité sans jamais ne vouloir m'en parler et, ce faisant me provoquait et me manquait de respect. Pourquoi allait-il chercher ailleurs ce qu'il avait chez lui, dans sa propre chambre ?
Rolex59
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