Je m'appelle Denis, j'ai 23 ans, très blond yeux bleus 1m75 70kgs. Comme j'ai fait pas mal de sport je suis finement musclé.
Issu d'une famille appartenant à la haute bourgeoisie, du côté de mon père, grands avocats, magistrats ou ecclésiastiques, du côté de ma mère je descends de l'ancienne noblesse. Dans ma famille tout le monde se vouvoie même lorsque l'on s'adresse aux domestiques.
J'ai eu une jeunesse très heureuse (vacances à Deauville, Cannes, Biarritz, Megève), sans petit copain sauf mes cousins et cousines et éduqué par des précepteurs.
J'ai toujours été placé dans des familles anglaises, puis espagnoles et enfin américaines, et ainsi se sont des langues que je parle couramment maintenant.
J'ai obtenu mon Bac avec mention et bien évidemment mon père m'a obligé à commencer des études de droit.
J'étais en complète rébellion avec mon éducation et je ne supportais plus ce carcan, aussi ai-je quitté mon appartement d'étudiant, j'ai changé de portable et je suis allé me réfugier chez Bruno, mon ami de Fac.
Aujourd'hui je cherche un boulot.
Un soir, Bruno me dit : " avec ton éducation stylée, ta culture et ta maîtrise des langues étrangères, tu devrais trouver un boulot dans l'hôtellerie, mais de luxe ! ".
Se pose très vite le problème de mon identité. Bruno me fait remarquer que dans son futur boulot il faut se faire des relations multiples ! Il me demande des photos et quelques jours plus tard, il me ramène des papiers d'identité, actes de naissance, livret de famille, passeport avec différents tampons et un billet de train.
Il me dit : " voilà, tu apprends tout cela par coeur et quand tu seras au point tu iras rejoindre, à Barcelone, ma soeur qui te prendras en charge ! ".
Le jour J, il me conduit à la gare, on s'embrasse et, après qu'il m'ait recommandé de l'oublier et précisé qu'il déménageait et changeait de téléphone, je partais pour mon destin.
A Barcelone sur le quai de la gare, m'attendait une belle jeune femme, Sabrina, qui m'accueillit chaleureusement.
Dans son logement, ancien palais spacieux et lumineux, elle m'a indiqué ma chambre, je devrai dire mes appartements.
Le soir elle m'a présenté à son mari, José Comte de Belmonte y Las Négras, une petite cinquantaine, légèrement grisonnant, grosse moustache, des dents éclatantes de blancheur.
Un homme imposant par sa stature, son corps de félin et, par sa noblesse, un véritable hidalgo.
A table, il s'est adressé à moi en plusieurs langues, a observé ma façon de me tenir, bref il m'a testé.
Après le repas, nous sommes retournés au salon pour le café et après que son épouse se soit retirée, il m'a demandé quel genre de travail je recherchais. Comme je n'avais pas de réponse, il m'a demandé de lui faire confiance qu'il allait faire jouer ses relations pour m'en trouver un, à la hauteur de mon éducation.
Les jours suivants Sabrina m'a emmené à la découverte de Barcelone et un soir, après le repas, tandis que nous nous trouvions, José et moi en tête à tête dans le salon, devant un café. José m'a demandé, par politesse, l'autorisation de se mettre à l'aise.
Il est revenu toujours aussi séduisant, vêtu d'une robe de chambre rouge foncée, qui couvrait un pyjama de soie blanche, des mules de fin cuir sur ses pieds nus.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai été ému par son charme irrésistible. Lorsqu'il a été assis, la robe de chambre à moitié ouverte, me donnait vue sur le col très échancré du pyjama duquel sortait une abondante toison de poils noirs qui remontait haut sur le cou. Les mêmes poils descendaient sur le coup de pied.
José servi deux cognacs et lorsqu'il se penchât pour prendre son verre la robe de chambre s'ouvrit d'avantage et je vis que le pantalon de soie couvrait un sexe impressionnant bien qu'au repos.
Jusqu'à présent j'étais vierge et mon éducation rigoriste ne laissait pas de place au sexe.
Au second cognac, José me dis : " voilà je pense que tu serais très bien dans un hôtel, ou plutôt un palace ! Tu es stylé, polyglotte. Je t'ai recommandé et demain Sabrina va t'y accompagner. Tu demanderas Pedro et tu lui remettras ma lettre de recommandation que te donnera Sabrina.
Je commençai à avoir chaud, j'étais troublé par le sexe de José qui, me semblait-il, enflait. En bon macho, dans la conversation, José se touchait souvent les parties, remontant ses couillles.
J'éprouvai une drôle de sensation dans mon pubis et je sentais que ma bite se raidissait aussi. Ca je connaissais, car à 23ans j'avais quand même joué un peu au docteur avec mes cousins et cousines et je me masturbais souvent.
J'avais l'impression que tout en continuant la conversation José me regardait avec insistance en souriant. Enfin, nous primes congés. Lorsque José s'est levé, son peignoir s'est ouvert complètement,
laissant voir une large tâche humide sur son pantalon et deviner la forme de sa queue très grosse et à demi bandée ainsi que sa toison noire et touffue.
Dans les jours suivants Sabrina m'a emmené faire les magasins dans Barcelone, au restaurant, à divers spectacles. Nous prenions sa voiture, une Rolls, avec chauffeur évidemment.
José était en Arabie Saoudite pour affaire.
Un soir Sabrina m'annonça qu'elle avait reçu des nouvelles de son mari, et m'indiqua que le lendemain, elle me conduirait dans un palace pour me faire embaucher. Elle m'enverra ma valise pour le cas où je conviendrai.
Arrivés au Palace il était évident que Sabrina était connue du personnel. De suite on nous conduisit au bureau du Directeur, Monsieur Moréno. C'était un homme passé les soixante ans, vétu élégamment qui invita Sabrina à s'assoir et moi non. De même qu'ils prirent un café ensemble, mais que l'on ne m'en proposa pas.
Rolex59
rolex59@club-internet.fr
Autres histoires de l'auteur : Etienne | Mon Père | Coutume de mon pays | Taxé | Formation | Employé dans un Palace | mon gynéco | Samedi 5 juillet