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Chapitre 3
Il est 7h lorsque j'arrive à l'atelier. Je jette un oeil à la vidéo surveillance, il dort encore paisiblement même si, dans la pénombre je n'arrive pas guère à distinguer son visage. Je me fais couler un café tout en lui préparant son plateau déjeuner. Il est classique et simple pour une fois. Pas de protéines ni de mixture améliorée pour favoriser sa prise de muscle mais juste quelques croissants et un bol de café.
Je fais le tour de l'atelier et m'assure que toutes les portes sont verrouillées. Je veux qu'il arrive directement de sa chambre à la pièce principale. Je veux lui faire comprendre tout de suite que cette journée et les trois suivantes seront particulières.
Je profite du temps qu'il me reste jusqu'à son réveil pour fumer un cigarette avant d'aller déposer le plateau et vérifier une dernière fois que tout l'équipement qu'il doit enfiler et bien là.
8h, l'alarme qui lui sert de réveille se met à hurler. Trois longs coups de corne de brume qui le réveillent sans difficulté. Cette fois sa chambre est éclairée par les premiers rayons d'un soleil automnal qui me permettent de bien le voir sur l'écran de contrôle. Son corps qui lentement commence à se sculpter à force de travail se dresse en direction de la porte. En l'absence de cage de chasteté son érection matinale est impressionnante. Son sexe, légèrement courbé vers le haut a pris de belles proportions mais il ne semble pas s'en préoccuper.
Il ouvre la porte et récupère le sac contenant son matériel. Il le dépose sur le lit puis il s'occupe du plateau qu'il pose sur la table. En bonne pute pourtant, il ne peut s'empêcher de me désobéir dès le réveil. Plutôt que de prendre son petit déjeuner il vide sac, s'empare du harnais, le renifle et commence à se caresser la queue. Ça ne va pas être possible mon petit gars me dis-je intérieurement. J'active son collier sur la fonction vibreur pour le rappeler à l'ordre. Je regrette presque de ne pas avoir plutôt balancer une bonne décharge électrique car si cette chienne repose bien le tout et arrête de se tripoter ce n'est pas sans adresser un petit sourire à la caméra au passage. Je ne peux pas vraiment lui en vouloir, j'ai été trop affectueux hier soir et il s'imagine sans doute que la relation maître esclave va s'adoucir.
Il ne perd rien pour attendre, j'ai tout mon temps pour lui démontrer qui est le maître. Il avale son petit déjeuner à toute vitesse, engloutissant les croissants comme un affamé. Sitôt terminé il s'attache à enfiler son équipement. Il galère un peu avec le harnais mais fini comprendre comment le poser. Il commence à me plaire avec son torse bien mis en valeur par les lanières de cuir. A présent il s'attache à enfiler le bas du harnais, une lanière passant entre chacune de ses cuisses à la manière d'un jock strap pour laisser sa fente bien disponible et souligner le galbe de ses fesses. Il aurait dû passer le cockring avant de serrer les sangles mais en se contorsionnant il arrive finalement à glisser sa queue et ses couilles à travers l'anneau. Enfin, il s'équipe avec les fixations. D'abord les chevilles, puis les biceps et finalement les poignets.
Une fois fait, il regarde à nouveau la caméra de surveillance, ne doutant pas un instant que je suis en train de l'observer. Il a l'air satisfait de lui et tout en faisant mine d'ajuster le harnais il en profite pour se caresser.
Il a mis moins de 30 minutes pour se préparer et est donc très en avance sur l'horaire prévu. Il tourne quelques minutes dans la chambre puis sort en direction de la salle de bain. Il a l'air déstabilisé quand il trouve la porte verrouillée. Il commence par rebrousser chemin puis reviens à la charge en essayant de secouer la poignet. Peine perdue pour lui, le verrouillage magnétique est quelque chose de redoutable. Revenu dans sa chambre il tourne comme un lion en cage, regardant l'heure toute les 20 secondes.
8h58 il se décide à me rejoindre dans la pièce principale où je l'attends derrière le comptoir de la cuisine.
- Viens ici chienne que je contrôle ton équipement
Il contourne le comptoir et vient se placer à côté de moi, mains sur la nuque et tête baissée sans que j'ai besoin d'en dire davantage. Je tire sur les sangles du harnais et lui dis qu'il n'a pas suffisamment serré. Joignant le geste à la parole je resserre chaque boucle de deux grands. Il souffle sous l'effet de la pression exercée sur son torse et du frottement du cuir qui lui cisaille la peau au niveau des aisselles et des cuisses.
Je le fais ensuite mettre à genoux et l'équipe de son harnais de tête. J'opte là aussi pour une pose très serrée puis relie l'arrière de son crane avec le harnais, entre ses épaules. Enfin, pour obtenir exactement la posture de tête que je souhaite le voir adopter je complète le dispositif par un double crochet nasal qui l'oblige à bien redresser la tête.
- Baisse les yeux esclaves. C'est pas parce que tu redresses la tête que t'ai autorisé à me regarder de chienne. Prêt pour la deuxième phase de ton éducation ?
- Oui mon Maître
- Relève toi, va au milieu de la pièce, prends la pose
Resté derrière la bar j'observe son corps laiteux qui frissonne sous les rayons de soleil qui traversent la pièce depuis les fenêtres en pavés de verre. Les sangles mettent en valeur les premières formes acquises au cours des derniers mois. Ses cuisses son devenues puissantes et soutiennent ses deux belles fesses charnues. Son ventre est parfaitement plat, presque creusé par l'effet de la position que je lui fais adopter. Sa respiration est calme, son torse se soulève régulièrement. Il cherche à se contrôler mais l'expression de son visage trahit à la fois de l'impatience et de l'appréhension.
Après une bonne dizaine de minutes j'enlève ma veste et me dirige lentement vers lui en débardeur blanc, jean et rangers. L'anneau de harnais qui tire ses couilles vers le haut met en valeur son sexe épais et large. Son long prépuce recouvre intégralement son gland et le dépasse même d'un bon centimètre de chaire rosé. Je pince délicatement cette extrémité de chair avant de faire coulisser doucement son prépuce pour découvrir au maximum sa pine de chienne.
Son gland rouge pourpre tire vers le violet alors que le reste de ce que je découvre est à peine moins blanc que le reste de son corps. Il commence à bander et je peux saisir ce morceau de chair découvert à pleine main. Il est plus humide que je ne le pensais. Je maintiens mon étreinte tout en changeant de main pour lui faire respirer l'odeur de sa queue. Sa respiration est devenue plus bruyante et c'est maintenant une barre d'acier que je serre dans ma main droite. Je lui balance un coup de poing ferme au niveau du nombril en lui disant que je ne lui ai pas donné l'autorisation de bander. Il se plie en deux sous la violence de l'impact mais je ne relâche pas mon emprise sur son sexe et l'oblige à se redresser en le saisissant par le harnais.
- Pardon Maître, dit-il la voix encore étranglée par le choc
- Reprends ta position et garde le contrôle ou les trois prochains jours vont être très très longs...
Je l'oblige à bien redresser la tête en réajustant le crochet nasal. Pendant ce temps j'admire avec envie son sexe se recroqueviller et la manière dont le prépuce recouvre petit à petit le gland. Je tapote rudement se couilles en guise de récompense.
- On va plus loin ? Quelque chose à dire avant de commencer ?
Après quelques instants d'hésitation il me demande d'une voix étranglée s'il peut aller aux toilettes avant de commencer.
Je me plaque contre lui, torse contre torse, mes deux mains écrasant ses fesses.
- S'il vous plaît maître...
- J'ai entendu... Maintenant silence, je ne veux plus t'entendre avant la fin de cette session.
Toujours plaqué contre lui, je lui fais lécher les doigts de ma main droite puis pénètre son anus avec le majeur et l'index. Je rentre profondément, sans ménagement, je lui touille littéralement l'anus. Je peux sentir une merde ferme, grasse, bien formée, qui ne demande qu'à sortir.
- C'est vrai que tu es prête à pondre ma petite poule.
Je continue à le fouiller pour bien imprégner mes doigts avant de les lui faire renifler. Sa merde est noire, l'odeur foudroyante. Il tente de reculer la tête mais je le maintiens fermement de mon autre main. Je l'oblige à renifler. Il serre les lèvres de dégoût. J'essuie mes doigts sur son torse en laissant deux belles trainées marrons entre son cou et le haut du harnais.
Avec l'aide de me pieds je lui fais comprendre que je veux qu'il écarte les jambes puis lui dit de s'accroupir en maintenant son dos bien droit. Je passe derrière lui, caresses ses fesses parfaitement écartées par la position de chaise qu'il adopte à présent et lui murmure à l'oreille de chier pour son maître. Son sphincter est prêt à libérer son caviar mais son esprit résiste encore. J'écarte un peu plus ses fesses et l'encourage en lui proposant de pisser en même temps. Au bout de quelques secondes il commence à lâcher un fin filet qui se transforme rapidement en un jet puissant qui s'écrase à quelques centimètres devant lui. L'odeur musquée de son urine arrive à moi quand enfin il se décide à se relâcher. Encore quelques encouragements et je peux l'amener à ouvrir la bouche pour avaler mes doigts gluants de merde pendant qu'il termine de se vider.
Malgré son dégout il aspire réellement mes doigts, sans doute désireux de mettre un terme rapide à ce moment. Il m'a chié pas loin d'un kilo d'une merde compacte et d'une couleur noire tirant sur le vert.
- À quatre pattes, viens renifler ta merde comme une bonne chienne
Insatisfait par sa vitesse d'exécution je lui claque un coup de pompe au milieu du dos qui le fait tomber à genoux, face dans sa pisse.
- À genoux tout de suite, c'est un ordre.
La peur d'un deuxième coup le fait obéir sur le champ. Il a pourtant du mal à s'approcher réellement de son paquet de merde mais, après quelques encouragements, il finit par obtempérer non sans un réel dégoût. Pendant ce temps je défait me rangers puis lui dit de venir libérer sa récompense. Pour la première fois il va découvrir l'objet de tous ses fantasmes.
Avec l'excitation du moment il ne va pas être déçu. Je sens mes 26cm furieusement veinés palpiter à travers la toile du jean. Je lui prends les mains et les plaque sur la ceinture de mon jean en lui disant " ouvre ". Ses yeux sont illuminés d'un feu que je lui ai rarement vu. Il défait lentement la boucle avant de s'attaquer aux boutons les uns après les autres jusqu'à laisser apparaître une touffe de poils drue et épaisse. Ma queue plaquée le long de ma cuisse déforme le tissu qu'il caresse avant de se décider sur mon ordre à baisser le jean jusqu'aux genoux.
Ma queue lui saute au visage, parfaitement à l'équerre, le gland à moitié découvert laisse s'échapper un long filet de mouille que je récupère du bout de mon index droit pour le lui faire déguster. Il ouvre goulument la bouche pour me sucer le doigt puis je le dis de lécher mes cuisses et mes couilles velues. Il plonge la tête dans mes poils odorants. J'ai pris soin de ne pas me laver depuis plusieurs jours et même si l'odeur de sa merde et de sa pisse a envahie la pièce, ce sont mes propres effluves qui parviennent jusqu'à mes narines.
J'attrape la chienne par son harnais de tête pour placer sa bouche ouverte devant ma queue pendant que de mon autre main je décalotte mon gland odorant et fromager. Il essaie d'avancer sa tête pour avaler ma queue mais je l'en empêche. Je ne veux pas qu'il l'avale d'un coup et oublie aussitôt son goût. Ma queue tendue au maximum je l'oblige à lécher lentement la base de mon gland là où la couche de fromage est la plus épaisse. Son visage exprime un certain dégoût et, malgré ses haut-le-coeur, il ne renonce pas à sa tâche.
- C'est bien chienne, c'est presque propre, retourne à quatre pattes. Oui comme ça, dans ta pisse... redresse bien ta croupe et renifle bien ta merde.
Je me place derrière lui admirant sa croupe bien cambrée laissant apparaître un oeillet parfaitement replié, rouge d'excitation. Accroupi derrière lui j'écarte ses fesses et profite qu'il soit graissé de merde pour le pénétrer avec plusieurs doigts. Il tortille du cul comme une chienne pendant que je fais sortir quelques dernières boules de merde que j'étale avec application le long de sa raie. L'odeur est insupportable mais m'excite d'une manière rare. Je saisie sa queue et ses couilles à pleine main en les tirant vers l'arrière tout en posant mon gland sur sa rondelle qui palpite d'excitation. Je commence à faire pénétrer lentement mon gland en lui disant à voix basse " elle t'excite ta merde... bouffe là ".
Ne lui laissant pas le temps de réagir je le pénètre d'une seule traite, régulièrement, sauvagement, violemment. L'épaisseur de ma queue, large comme une canette de coca, le déchire réellement en lui arrachant un cri de douleur rapidement éteint par sa difficulté à reprendre son souffle. Il est tellement serré que j'ai la sensation que je sens sa rondelle écraser fermement la base de ma queue. Il a légèrement relevé la tête et le torse sous l'effet de la douleur. J'attrape ses bras ce qui a pour effet de faire tomber sa tête dans la merde. Je lui hurle " bouffe " en lui maintenant la tête plaquée sur le sol tout en commençant un pilonnage en règle. Il résiste, refuse la consigne, mais je ne vais pas lui laisser le choix. J'ai décidé d'être impitoyable, cruel, sévère.
Il a du mal à encaisser, ses genoux glissent sur le sol. Je continue à lui hurler " bouffe " et lui applique des claques violentes sur les fesses. Je rentre et sors intégralement ma queue à chaque aller retour. Il finit par s'écrouler, allonger sur le sol, son visage recouvert de merde. Je m'allonge sur lui pour le bloquer tout en continuant à le pilonner frénétiquement. J'attrape ses mains, l'oblige à ramasser de la merde avec et l'oblige à avaler ses doigts. Il résiste, refuse d'ouvrir la bouche mais j'arrive à passer ses doigts entre ses lèvres et à les frotter sur ses gencives. Au bout d'une dizaine de minutes, pleurant et gémissant il finit par laisser ses doigts pénétrer sa bouche et se frotter à sa langue. Pour le récompenser et aussi parce que je commence à fatiguer je ralentis le rythme et le baise avec un peu plus de douceur. Il commence à aimer réellement et se cambre naturellement. Son cul est brulant, humide. Je sens un mélange de merde et de mouilles couler le long de mes couilles.
Comme il semble se résigner
- Tu vas faire plaisir à ton maître, tu vas tout bouffer et tout bien nettoyer...
Ma queue est sur le point d'exploser, je me calle puissamment au plus profond de lui et décharge longuement dans un grognement de rage et de satisfaction. Je suis littéralement vidé. À bout de souffle de souffle je m'effondre sur lui, l'écrasant de tout mon poids.
Je reste comme ça pendant quelques minutes. Son visage est en feu, ses yeux sont révulsés, il a l'écume aux lèvres, une écume merdeuse et puante. Je ne lui laisse pas plus de répits. Je sors de son trou poisseux et, le saisissant par son harnais, lui ramène la gueule au niveau de ma queue tout en me laissant tomber sur le fauteuil.
- tu vois comment tu t'es autorisé à souiller la queue de ton maître sale bâtard puant... récure moi tout ça... voilà, commence par mes cuisses, et sois efficace.
Après une bonne demie heure de travail et quelques gifles bien appuyées pour lui faire garder sa motivation je le repousse comme une merde. Il s'écrase mollement sur le sol avant de se recroqueviller sur lui même. Me levant pour l'observer au milieu de ses excréments et de son urine de chienne, je termine la première étape de ses trois jours d'éducation intensive en l'inondant d'une bonne dose d'urine dorée.
- t'as 30 minutes pour tout ranger. À mon retour il faut que ça brille et que tu m'attentes ici, au garde à vous, mains sur la nuque.
Avec ce qu'il vient de vivre ce n'est pas la peine de lui préciser que si ce n'était pas le cas il prendrait cher... Sur ce je le laisse et file prendre une bonne douche. Je déteste réellement les plans crados mais il faut bien en passer par là si je veux en faire un slave de premier choix.
à suivre...
Bondeur
bondeur80@yahoo.fr
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