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Après Roland Garros...
J'ai débauché vers 16h30 ce jour-là, je suis rentré chez mes parents, j'ai pris une longue douche, je me suis lavé profondément et j'ai rasé mes quelques poils de cul et mes couilles puis je me suis branlé en pensant à Thomas. Pour m'occuper l'esprit, j'ai joué un peu à la console, tchaté avec mes potes, puis j'ai aidé mon père à préparer le barbecue, ma mère a mis la table sur la terrasse et on a mangé tous les trois vers 20h30 en discutant de tout et de rien. Vers 22h00, Je sortais de chez moi quand Thomas m'a envoyé un SMS assez direct : " T'es où ? J'en peux plus d'attendre, si t'es pas là dans 10 minutes, je lève la première salope qui passe, tant pis pour toi ! ". J'ai répondu : " J'arriiiiiiive, attends-moi, tu vas pas être déçu ! ". Je suis parti en courant, impensable que je rate ce coup, j'en rêvais depuis le matin. 15 minutes plus tard, j'arrivais devant le bar, ne le voyant pas devant, je suis rentré comme un dingue. Il était là, assis au bar, une énième bière à la main, l'air un peu éméché, il me souriait, je me suis assis à ses côtés, il a commandé deux pressions. J'allais m'excuser pour le retard quand il m'a posé la main sur ma cuisse, s'est penché vers moi et a tenté de me rouler une pelle. J'en mourrais d'envie mais j'ai dû le repousser :
- " Ça va pas ! Je vis ici moi, je suis connu et personne ne se doute encore mon orientation sexuelle, fais gaffe quand même ".
Il a immédiatement retiré sa main de ma cuisse et voyant son air dépité, je me suis rapproché de lui et j'ai rajouté :
- " Pas d'effusion ici mais, à quelques kilomètres, il y a un hôtel pas cher, je parie qu'il y a une chambre qui nous permettra de faire longuement et tranquillement connaissance ! ".
On a bu nos verres d'une traite et 30 minutes plus tard, on entrait dans une chambre. Thomas avait tenu à acheter, dans une épicerie de nuit, une bouteille de vodka pour pimenter la fête. Une fois la porte fermée, je me suis retourné vers lui pour reprendre le baiser du bar, Je l'ai senti se raidir d'un coup, il me dit :
- " Attends, j'ai jamais fait ça avec un mec, je ne sais pas ce qui m'a pris, c'est vrai que ce matin tu m'as bien chauffé au club de tennis mais, en réfléchissant toute la journée je me suis dit que je n'allais pas gâcher ma vie de famille pour un coup de bite. En plus, vu ton âge, tu pourrais être mon fils, j'avais décidé de ne pas venir mais je me suis engueulé avec ma femme, elle m'a foutu à la porte, je me suis retrouvé seul dans ce bar, j'ai picolé et je t'ai envoyé ce message. Je ne suis plus sûr de rien, je crois que je ferais mieux de rentrer chez moi, m'en veux pas ! "
Pas question qu'il parte, Jérôme devait être en train de baiser Mathilde et j'avais trop envie d'en profiter moi-aussi.
- " Ok, je comprends, y'a pas de problème, on ne fait rien (pour l'instant) mais on peut quand même boire un coup et discuter, tu ne vas pas ramener cette bouteille pleine quand même ".
Il a souri, je suis allé chercher les gobelets en plastique dans la salle de bain et on a attaqué la vodka. Une chance pour moi, il était triste donc il a longuement parlé de sa vie et a beaucoup bu, beaucoup plus que moi. Au bout d'une heure, il était bien bourré, on était assis sur le lit, je l'ai poussé, il s'est retrouvé allongé. Il s'est mis à rire et a dit :
- " Putain, tu crois que je ne vois pas clair dans ton petit jeu, tu la veux celle-là (il s'était mis la main sur le paquet) mais t'as pas idée de ce qui t'attend si tu continues comme ça, tu devrais y réfléchir à deux fois avant qu'il ne soit trop tard ! "
Ne le laissant pas réagir davantage, j'ai défait les boutons de sa braguette, j'ai descendu son jeans, un énorme paquet emprisonné sous son boxer m'est apparu. Ça m'avait l'air plus gros que ce que j'avais pu voir jusque-là (les bites de Jérôme et de son frère Pierre faisant quand même 20 cm par 5cm). J'ai commencé à sucer " la bête " à travers le sous-vêtement, elle grossissait à vue d'oeil et ne s'arrêtait pas, le tissu se tendait de plus en plus. J'ai baissé le boxer et là, surprise, sa bite a jailli d'un coup, raide et dure, elle s'est plaquée sur son ventre, le gland à moitié décalotté était au moins 5 ou 6 cm au-dessus de son nombril. Je suis resté bloqué, sans voix, les yeux rivés sur le monstre. Thomas a relevé la tête pour voir la mienne, il a éclaté de rire et a dit :
- " Je t'avais prévenu, maintenant que tu m'as ramené à l'hôtel, saoulé et mis à poil, je vais être obligé de t'honorer comme une pute. Ça te dit de t'en prendre une de 23 cm par 7 cm. Je vais te faire tout ce que ma femme me refuse depuis 20 ans, je vais te déboiter la mâchoire et de déchirer le cul ".
Il s'est relevé doucement, m'a pris sous les bras, m'a allongé sur le lit, m'a déshabillé maladroitement vu son état, a fini de retirer ses vêtements, il a pris la bouteille de vodka vidée au 3/4, l'a finie cul sec et l'a jetée par terre. Il est venu s'allonger sur moi, ses yeux verts étaient devenus noirs, ses traits s'étaient durcis, il m'a dit :
- " Ça va être ta fête, la bête est réveillée et elle est affamée ".
Il s'est relevé, m'a tiré par les jambes, je suis tombé assis par terre, le dos collé au lit, il a approché sa queue et l'a enfoncé dans ma bouche ouverte au maximum. Rien que le gland l'a remplie, il a forcé pour la rentrer mais, bien vite, elle a buté au fond.
- " C'est tout ce que tu peux faire ? Tu crois que je me suis fait allumer par une petite pute en chaleur pour un petit coup de langue, ce que je veux c'est ÇA ! "
D'un coup, il poussa et m'enfonça son chibre profond dans la gorge, au niveau de la pomme d'Adam. J'ai eu super mal, j'ai étouffé, impossible de tousser, j'avais des haut-le-coeur, j'ai cru vomir. J'ai essayé de le repousser en vain, Je pleurais comme un nouveau-né. Il n'a pas arrêté, au contraire, il a commencé les va et vient, je me suis fait baiser la bouche comme jamais, ses grosses couilles frappaient mon menton, mon nez s'enfonçait dans ses poils à chaque coup de reins. Plus je souffrais, plus il prenait son pied, des litres de salives coulaient de ma bouche sur mon menton et mon torse, ça descendait jusqu'à mon ventre et même ma toison. Malgré la situation, je bandais à fond. Au bout d'un moment, qui m'a paru une éternité, il s'est presque entièrement retiré, seul son gland est resté en moi, il a déchargé 6 gros jets de sperme qui m'ont rempli la bouche, je n'ai pas pu tout avaler tellement j'avais mal à la gorge, une partie de son jus s'est échappée. De sa queue un peu ramollie, il me l'a étalé sur la figure puis m'a bifflé 4 ou 5 fois. Il s'est essuyé dans mes cheveux. Il s'est exclamé :
- " Ouah, quelle pipe, j'en rêvais depuis 20 ans, ma femme ne veut pas, tu comprends pourquoi. Toi au moins, t'as peur de rien et tu sais t'y prendre. Dis-moi, c'est bon le jus d'hétéro ? Vu la trique que t'as, j'en déduis que ça t'a plu. J'ai hâte de voir comment ton petit cul va encaisser quand je vais te sodomiser. En attendant, je vais m'occuper de ta queue, faut pas rester comme ça mec ! ".
Il m'a assis sur le lit, s'est mis à genoux et a commencé à me sucer. Jamais on ne m'avait fait une fellation, Jérôme et Pierre étant uniquement actifs et se servant de moi comme d'un vide-couilles. Tout était trop bon, ses lèvres, sa langue, sa salive, ses mains qui caressaient mes couilles, il s'en sortait plutôt bien pour sa première pipe. J'adorais voir ma bite disparaître entièrement dans sa bouche puis la redécouvrir toute luisante une seconde plus tard. Quand j'ai senti que je venais, j'ai posé mes mains sur sa tête, il a levé ses yeux verts sur moi, j'ai craché tout mon jus dans sa bouche en le fixant puis je me suis effondré sur le lit. Il est remonté sur moi, ses lèvres se sont collées aux miennes, j'ai ouvert la bouche et j'ai senti mon sperme encore chaud s'y déverser, je l'ai avalé, on a continué longtemps à s'embrasser, puis il s'est allongé à côté de moi. Etant toujours saoul et bien détendu, j'ai senti qu'il était prêt à s'endormir, voulant être le premier mec avec qui il baiserait, je devais l'exciter à nouveau, alors je me suis blotti contre lui, je lui ai déposé des baisers et des petits coups de langue dans le cou et, avec une main baladeuse, j'ai commencé à le branler. Assez rapidement, sa bite a retrouvé toute sa vigueur, son souffle s'est fait plus profond et plus rapide.
- " T'es vraiment une pute toi ! Je suppose que Jérôme est ton mec, et ben dis donc, il ne doit pas s'ennuyer. Tu la veux dans le cul, moi je n'ai jamais sodomisé personne alors tu vas prendre les choses en main, montre-moi de quoi est capable une salope dans ton genre, fais-moi prendre mon pied ".
Je me suis mis à califourchon sur lui et j'ai cambré mon cul au-dessus de sa bouche, j'ai écarté mes fesses avec les mains, sa langue m'a léché la rondelle, ça m'a électrisé, j'ai rebandé direct. Il savait s'y prendre, j'ai pensé qu'il devait souvent bouffer la chatte de sa femme, la veinarde ! Ses doigts m'ont caressé la raie, se sont attardés sur mon trou, on aurait dit qu'il branlait un clitoris, je gémissais comme une gonzesse, il m'a longuement travaillé l'anus en alternant les coups de langue et les doigtages. De mon côté, je m'étais penché pour le sucer, ma bouche s'était étonnamment habituée au gabarit, j'arrivais à avaler les 3/4 de son chibre sans douleur. Thomas avait entrepris de m'ouvrir le trou en se servant des index et des majeurs de ses deux mains, il écartait, il allait et venait en alternance ou en rythme. Au bout de plusieurs minutes, à force de titiller ma prostate et de m'exciter comme ça, j'ai eu un orgasme anal, mes spasmes l'ont surpris, il a arrêté ses mouvements et m'a dit :
- " Je rêve où je viens de te faire jouir du cul ? "
- " C'est ça Thomas, c'est si bon ce que tu me fais, tu t'occupes de mon trou comme d'une chatte, même traitement, même conséquence ".
Il m'a saisi par les hanches, m'a couché sur le ventre, s'est positionné derrière moi, sa main droite est passée sous mon ventre pour me soulever le bassin et me cambrer le cul, il m'a écarté les jambes, s'est avancé jusqu'à mon cul offert, j'ai senti son énorme gland caresser ma rondelle et glisser le long de ma raie. Je n'en pouvais plus d'attendre, j'allais enfin avoir ma récompense. Son gland a forcé le passage, il est entré plutôt facilement, j'ai plongé la tête dans l'oreiller, la moitié de sa bite s'est lentement enfoncée, la douleur augmentait, j'avais l'impression d'être déchiré comme le jour où Jérôme et Pierre m'ont pris en double pénétration. Thomas a perçu ma douleur :
- " Ça va Phil ? On dirait que tu morfles, c'est pourtant une jolie petite chatte bien baveuse que tu m'offres, je vais te l'élargir un peu plus ".
A ce moment-là, il a enfoncé d'un coup sec toute sa bite, j'ai gueulé de surprise et de douleur. Il s'est mis à me ravager le cul avec des va et vient de dément. Mon cul cambré s'est effondré sur le lit, je me suis cramponné au bord du matelas, j'avais l'impression de me faire découper en deux par une bête mais j'y prenais un plaisir énorme. Celui-ci a d'ailleurs fini par remplacer la douleur, je me suis mis à gémir comme une femelle en manque. Au bout de quelques minutes, sa queue coulissait parfaitement en moi, Thomas et moi prenions un pied d'enfer. A un moment, il s'est enfoncé le plus loin possible et s'est vidé les couilles dans mes entrailles. J'avais moi-même joui sur les draps et sur mon ventre. Thomas s'est effondré sur le lit à côté de moi. Je crois que l'on s'est assoupis quelques heures mais, dans la nuit, j'ai été réveillé par sa queue qui forçait à nouveau l'entrée de ma chatte, je la lui ai donné une deuxième fois, il m'a pris sur le côté et, encore plus tard, une troisième fois à quatre pattes.
Vers 6h du matin, nous nous sommes enfin endormis jusqu'à 8h 42 alors que j'embauchais à 9h00 ! J'ai bondi du lit, je lui ai dit de se rhabiller, que l'on partait dès que je sortais de la douche. L'eau tiède m'a débarrassé du sperme séché dans mes cheveux, sur mon visage, mon torse, mon ventre et mon cul. Putain quelle nuit ! 5 minutes après, je sortais de la salle de bains, j'ai sauté dans mes fringues, Thomas était prêt mais il avait une sacrée gueule de bois, il m'a proposé de me déposer.
Tandis que Thomas conduisait la voiture qui m'amenait au club de tennis, je regardais mon portable, il était 8h57, il nous restait moins de 2 km à parcourir, je n'allais pas être en retard, par contre, je n'avais reçu aucun SMS de Jérôme. Il avait dû, lui aussi, baiser toute la nuit !
Phil
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