Début septembre 2015, les syndicats de profs appelaient à la grève et à la manif contre la réforme du collège. Celle-ci prévoyant notamment la fin de l'enseignement du latin, j'ai reçu des messages m'implorant de me joindre aux manifestants, au moins pour " faire du chiffre ". Et oui, quatre membres de ma famille sont profs de français (dont 3 de lettres classiques), j'ai dû faire du latin de la 5ème à la terminale sans que j'aie eu mon mot à dire : " errare humanum est "!
Me voici donc dans les rues de Toulouse (où je suis étudiant maintenant) en train de défiler avec quelques milliers de personnes, je marchais tête baissée, mes écouteurs sur les oreilles, je préférais écouter de la musique plutôt que les slogans et les chants syndicaux gueulés dans les micros. Au bout d'une heure environ, j'ai jugé que j'avais suffisamment fait ma B.A, j'ai levé les yeux pour voir par où je pouvais partir pour rentrer chez moi. Mon regard a capté celui d'un mec qui me souriait à 3-4 mètres de moi, il m'a fait un petit bonjour de la main. J'avais beau le dévisager, je ne le remettais pas : environ ma taille (1m75), un peu de ventre mais pas trop, brun coiffé en pétard, les yeux marrons, un visage sympa, un peu plus de la vingtaine, il portait un survêtement Puma blanc, un tee-shirt noir et une belle paire de baskets noires flambant neuves. Comme je marchais dans sa direction, arrivé à sa hauteur j'ai dit :
- " Bonjour, on se connait ? "
- " Non, mais j'aimerais bien ! Ça fait un bon moment que je te suis et que je mate ton joli petit cul bien bandant. Ce serait cool de faire connaissance."
C'était bien ma veine, j'avais allumé un queutard venu faire son marché :
- " Ah, je vois ! Ravi d'avoir égayé ta marche mais là, tu vas devoir en trouver un autre car moi et mon joli petit cul, on se casse."
Je prenais rapidement la première rue pour quitter la manifestation et ce vicelards mais voilà que je l'entendis arriver derrière moi et me dire :
- " Eh, attends. Bon d'accord j'aurais pas dû te dire ça comme ça, c'était lourd et con mais bon, je l'ai tentée directe, on ne sait jamais ça aurait pu marcher. Sois pas vexé, même si c'était mal dit, c'était quand même un super compliment ! "
Ça m'a fait rire tellement c'était con. Je me suis retourné, je lui ai serré la main en lui disant :
- " Aller, tu me vois vraiment flatté ! Sans rancune, dépêche-toi de rejoindre les rangs, il y a des tonnes de jolis petits culs à mater. Je ne voudrais pas te faire rater le coup du siècle."
- " Tu préfères pas plutôt qu'on aille boire un coup, regarde, là-bas, il y a une terrasse de bar, j'en ai marre de marcher et en plus t'es plus dans le défilé pour m'exciter."
- " Putain mais tu lâches jamais toi, fous-moi la paix et tire-toi ! "
Là, il a fait une moue irrésistible, m'a pris la main et a dit :
- " Un verre ! Juste pour me faire pardonner, aller, s'il te plait ! Je veux pas que tu gardes de moi l'image du pauvre mec lourd qui t'as maté le cul dans la manif".
Il a refait sa moue irrésistible !
Je ne sais pas résister à un truc comme ça, c'est bien mon drame. En plus, je commençais à le trouver plutôt mignon. On s'est donc rapprochés de la terrasse, au moment de m'assoir, j'ai dû passer devant lui, il en a profité pour me mettre une main au cul, j'ai sursauté mais j'ai adoré, une boule chaude d'excitation s'est allumée dans mon bas ventre. Pour la forme, je l'ai fusillé du regard et j'ai dit :
- " Tu refais ça, je te fous un coup de genou dans les couilles pour calmer tes ardeurs et ensuite je me tire de là ! "
Ça n'a pas eu l'air de l'effrayer, il faut dire que le ton n'y était pas. Il m'a refait sa moue et m'a dit :
- " C'était trop tentant, j'ai pas pu résister. Je ne le ferai plus à moins que tu me le demandes. N'hésite pas surtout !"
On a commandé deux bières et on a discuté un bon moment. Comme je voulais lui en dire le moins possible sur moi, c'est lui qui a parlé. J'ai appris plein de choses sur sa vie, je trouvais même qu'il se confiait beaucoup trop facilement à un inconnu mais bon, je trouvais ça sympa. Il s'appelle Hugo, 23 ans, un master en langues anciennes en poche et veut être prof de lettres classiques en université. Il est actuellement célibataire, son précédent mec, un Australien, est reparti dans son pays au printemps dernier après 3 ans de vie commune. Il a morflé mais a décidé de passer à autre chose.
- " Comme ça, histoire de passer à autre chose, tu mates les culs des mecs dans les manifestations "
- " Pas les culs, TON cul bien moulé dans ton jeans qui m'a fait bander et baver d'envie au premier regard, c'est carrément un appel au sexe. Je t'ai suivi pendant presque une heure, je me demandais bien quand tu lèverais enfin la tête pour pouvoir t'aborder."
Il me mit sa main sur ma cuisse et rajouta :
- " Quitte à me faire encore engueuler, je te le dis quand même, j'aimerais bien m'en occuper de ce beau petit cul. "
Je bandais, lui aussi vu la bosse qui commençait à déformer son survêt, j'ai mis ma main sur la sienne et en regardant son entrejambes, j'ai répondu :
- " Toi, t'es un vrai romantique ! On peut dire que tu sais faire les compliments, le pire c'est que ça marche, tu m'as donné chaud. En plus, j'aime bien qu'on s'occupe de moi, on va où ? "
Là, j'ai eu droit au sourire du mec qui vient de pécho ! J'allais me faire remplir, c'est ce que je voulais à ce moment-là !
- " J'habite à côté, suis-moi. Non, marche devant que j'admire encore ce petit lot ! "
Un quart d'heure plus tard, on arrivait chez Hugo, un appartement meublé style un peu vieillot mais bon, je m'en foutais, je n'étais pas là pour ça. Sitôt rentrés, il me mit fermement ses deux mains au cul et massa mes fesses, du coup, je me cambrais. Il s'exclama :
- " Ouah, j'en rêvais depuis tout à l'heure, c'est ferme, j'adore ! La piaule est à droite, vas-y, je te suis de très près, je te lâche pas, je vais te faire ta fête ".
Un romantique je vous dis !!!
Dans la chambre, face au lit, je lui tournais le dos, il se colla à moi et frotta sa bite contre mes fesses, je sentis son souffle dans mes cheveux, il m'embrassa dans le cou et me lécha le lobe de l'oreille, ses mains, passées sous mes bras, me caressaient la poitrine. Je me laissais faire en poussant des petits gémissements de plaisir et en ondulant du bassin pour l'exciter encore plus. Il m'enleva mon polo, déboutonna mon jeans et le baissa sur mes cuisses avec mon boxer. Je me suis retourné, j'ai pris sa tête dans mes mains, je l'ai rapproché de la mienne et l'on s'est longuement embrassé. Nos langues roulaient l'une contre l'autre, nous échangions nos salives, nous soufflions notre désir très fort par le nez. Mes mains sont alors descendues le long de son corps, je lui ai caressé le paquet, déjà bien dur, à travers son pantalon tandis que lui me malaxait les fesses et tentait de forcer ma rondelle. Il a fini par baisser son survêt, je me suis mis à genoux pour admirer sa bite que j'ai prise dans ma main droite pour la branler un peu. Un beau morceau d'environ 18 cm par 4 cm, une belle veine bleue bien apparente en dessous et un gros gland rouge de désir et luisant de mouille qui me caressait le visage. Dessous pendaient deux belles couilles un peu poilues, elles me paraissaient bien pleines, j'ai commencé par les lécher en les faisant rebondir sur ma langue, puis je les ai gobées une par une et finalement les deux ensemble. J'ai ensuite pris sa queue en bouche, je l'ai enfournée entièrement, j'ai levé les yeux pour voir la réaction d'Hugo, il avait les yeux fermés, ses deux mains étaient jointes derrière sa tête, il rejetait celle-ci en arrière et poussait des râles de plaisir.
J'ai pris alors les choses en main en faisant des va et vient très lents, je gardais sa bite en fond de gorge plusieurs secondes en salivant au maximum dessus, je la ressortais et j'en profitais pour entourer le gland avec ma langue et en titiller la pointe puis je replongeais à fond, jusqu'à ce que mon nez s'enfonce dans sa toison. Je humais son odeur de mâle à pleines narines, comme un camé qui sniffait un rail de cocaïne. Après plusieurs minutes, il s'est reculé, a baissé la tête et m'a dit :
- " C'est trop bon, j'adore ce que tu me fais mais là faut se calmer, je ne veux pas venir tout de suite. Laisse-moi m'occuper de ton cul, j'en ai trop envie. ".
Il m'a relevé, m'a retourné, m'a penché en avant et m'a demandé de cambrer mon cul. Il s'est mis à me fesser plutôt fortement, ça claquait fort dans toute la chambre, je poussais des petits cris à la fois de douleur, de surprise et de plaisir, ça a duré plusieurs minutes, mon cul devait être rouge, il me brulait. C'était une première pour moi mais j'ai aimé me faire dérouiller, je bandais à fond et je poussais des petits cris étouffés à chaque frappe. Il m'a ensuite écarté les fesses et a craché trois fois sur ma rondelle, il a étalé sa salive avec ses doigts et deux d'entre eux m'ont pénétré. Il m'a limé, m'a encore fessé, a recraché, m'a relimé avec trois doigts et, quand ma chatte a été suffisamment ouverte, il m'a poussé sur le lit et a fini de nous déshabiller. Il s'est couché sur moi, sa main droite a guidé sa bite vers mon trou, elle est entièrement entrée sans problème et il a commencé à me sodomiser. Ses coups étaient secs, réguliers, précis, le rythme était de plus en plus rapide, ses mains étaient passées sous mes bras et s'accrochaient à mes clavicules. Il m'avait plaqué la tête sur le côté pour m'embrasser pendant qu'il me baisait.
Au bout d'un moment, il m'a fait basculer sur le côté gauche, m'a soulevé la jambe droite et a continué à me baiser. Je nous voyais dans la glace de l'armoire, c'était la première fois que je me matais en train de me faire sauter, c'était très excitant de voir sa queue entrer entièrement et ressortir toute luisante de ma chatte. J'avais l'impression de regarder un porno et d'en être l'acteur principal, c'était bon. Plus tard, il s'est retiré, m'a demandé de me mettre à quatre pattes en me disant :
- " C'est ton cul qui m'a chauffé, je veux me finir en le regardant se faire défoncer "
Ses mains écartèrent mes fesses, mon trou était béant, il a craché dedans, m'a donné deux ou trois fessées supplémentaires, s'est enfoncé en moi et a repris les va et vient, ils étaient plus violents et rapides, ses couilles claquaient contre mon cul douloureux, ses râles se faisaient plus sonores. Ça n'a pas duré très longtemps, il a soudainement poussé à fond et s'est longuement vidé dans ma chatte. En même temps que lui, comme je me branlais, j'ai craché tout mon foutre sur les draps en nous regardant dans le miroir, un pied terrible ! Il s'est retiré et s'est effondré sur le lit à côté de moi. Il a éclaté de rire avant de dire :
- " Je sais pas ce qu'il existe de mieux que de s'envoyer en l'air et de se vider les couilles ! "
- " Dur à dire, surtout après un coup pareil ! "
On est resté comme ça quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits.
On s'est rhabillés, embrassés et remerciés pour ce bon moment. J'ai pris son 06 et je suis reparti bien rempli et les fesses en feu, j'ai remis mes écouteurs et je suis rentré chez moi. J'ai appelé mes parents pour leur dire que j'avais défilé et bien donné de ma personne pour sauver l'enseignement du latin !
Vivement la prochaine manif !
Phil
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