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Vacances en famille -2

Trois jours s'étaient passés depuis notre incroyable aventure dans les dunes, mais je n'arrivais à penser à autre chose, surtout le soir avant de m'endormir. Je me branlais comme un dingue en repensant à cette branlette à trois où j'avais pu voir la bite de mon oncle Franck et même toucher celle de mon cousin Jérôme. Malheureusement, je savais que ça n'allait pas se reproduire, mais au moins j'avais des images plein la tête.

Dimanche en début d'après-midi, Jérôme vient me voir et me dit que si ma proposition de mettre a sa disposition la chambre d'en bas tient toujours et que je suis sûr que ça ne me dérange pas, il accepte volontiers. Il m'explique qu'il en a parlé avec Valérie et qu'elle n'y voit pas d'inconvénient même au contraire plus de place pour elle. De mon côté aucun soucis, à part qu'il faut que je fasse attention à ne pas trop me balader a poil et à être plus discret lors de mes branlettes! Ravi de cette solution il m'indique qu'il vient dès ce soir. Après avoir fait une longue ballade, nous sommes tous allés au restaurant où on se rend chaque à année, à quelques minutes à pied de la maison.

La soirée est festive et l'ambiance au beau fixe. On rentre vers minuit, tout le monde se dit bonne nuit et chacun rejoint ses appartements. Jérôme et moi de notre côté, les autres du leur. Après avoir bavardé un peu, fatigués de la journée, on décide d'aller se coucher. Lumières éteintes hormis nos chevets respectifs, la longère est plongée dans l'obscurité. Je me change, ou plutôt je me fous à poil, me glisse sous la couette et éteint ma lampe. J'entends Jérôme qui finit de s'installer en bas. Je commence à somnoler lorsque j'entends d'en bas :

- "Excuse moi Mike, est ce que je peux prendre à boire dans le frigo de la kitchenette, faudrait que je fasse quelques courses pour ici..."

- "Mais bien sûr, sers-toi" que je lui répond en ouvrant les yeux. Et là, sur quel scène je tombe : Jérôme est en bas, dans la pénombre, mais je distingue très bien qu'il est complètement nu !! Je commence à me dire qu'il n'est absolument pas pudique... En même temps, il ne doit pas se douter que depuis mon lit dans la mezzanine j'arrive à voir presque toute la pièce de vie en bas! Curieux de cette vision je me lève, enfile quand même mon boxer et descends, l'air de rien, prétextant que je vais aux toilettes (décidément, toujours la même excuse!). T andis que je descends vers le séjour, Jérôme se tourne vers moi tout en buvant de l'eau directement à la bouteille.

- "Je vais vite fait aux chiottes et je remonte!"

- "Pas de problème, désolé pour la tenue d'Adam, je pensais que tu dormais... Et comme tu m'as averti l'autre jour que tu dormais à poil..."

- "Oh t'inquiète y'a pas de soucis, c'est moi qui ai fait exprès de remettre mon boxer pour descendre, histoire de pas te mettre mal à l'aise."

- "Ok je vois, mais fallait pas, ne change pas tes habitudes pour moi !! Moi je m'en fous complètement et franchement ça serait super si on pouvait être peinards à poil ici, moi je dors tout le temps nu, et avec le sport, les douches collectives, etc... j'ai l'habitude. Après, faut surtout pas que ça te dérange hein! C'est comme tu veux!"

- "Bon, cool alors, on fait comme ça!"

Nous étions face à face, lui buvait comme si de rien n'était, et moi je ne pouvais détourner mon regard de sa magnifique bite, qui pendait entre ses jambes. Elle était lourde et la moitié de son gland s'était échappé de son écrin de chair, je devinais ses couilles bien remplies, pendant sous son anaconda, peut-être ne s'était-il pas branlé depuis les dunes ? Allez, assez rêvé comme ça, je vais donc au toilettes comme annoncé. Lorsque je sors, il fait presque nuit dans la maison, seul un fin rayon de lumière sort par la porte entre-ouverte de la chambre de Jérôme. Mais enfin c'est quoi cette manie de jamais fermer les portes !?!? Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'oeil par l'entrebâillement de la porte. Il est là, allongé sur le lit, la tête relevée par les deux oreillers qu'il a mis l'un sur l'autre. Il regarde la télé, mais à visiblement coupé le son. Il est allongé par-dessus la couette, nu, le sexe au repos, mais malgré tout proéminent. Putain ce qu'il peut m'exciter !!! Je suis arraché de ma contemplation par un bâillement qui, je l'espère était suffisamment discret et décide de monter me coucher, pour de bon cette fois-ci.

Je dors comme un bébé et me réveille naturellement vers 10h, j'attends une dizaine de minutes que ma gaule du réveil se calme puis me lève et descends, nu. Personne dans la pièce de vie, la porte de la chambre est dans la même position que quand je suis monté cette nuit, je regarde furtivement à l'intérieur, le lit défait est vide, c'est alors que j'entends le bruit de jet d'eau de la douche en fonction. La petite salle d'eau est accessible uniquement de la chambre et, devinez quoi, la porte est carrément grande ouverte.

J'entre doucement dans la chambre et m'approche de la porte de la salle d'eau... Je le vois, de dos, l'eau chaude ruisselant sur son corps musclé, c'est la première fois que je peux également détailler ses fesses, superbes, revêtues d'un très fin duvet à peine visible. Mes yeux remontent sur son dos puis ses épaules, c'est à ce moment que je remarque que son bras doit est en action, je comprends immédiatement qu'il n'est pas en train de se savonner, mais de secouer sa grosse queue!! Merde, il bouge! Je me recule légèrement, attends quelques secondes avant de regarder à nouveau à l'intérieur. Il s'est légèrement tourné et je peux maintenant voir son pieux gonflé et tendu à l'extrême, il ne l'a pas lâché et le branle de plus belle. Bam, réaction immédiate, il ne me faut pas plus de 10 secondes pour bander comme un âne. Je continue à le mater, la scène est terriblement excitante et c'est sans m'en rendre compte que je commence moi aussi à me palucher. Je regarde son visage déformé par ses soupirs dont le bruit est étouffé par celui de la douche. Quelques minutes plus tard, je vois ses jambes se plier légèrement, ses doigts de pieds se crisper sur l'émail du bac à douche, ses râles deviennent de plus en plus forts, se transformant en un cri bestial, identique à celui des dunes, au moment où sa queue, rougie par la branle frénétique et l'eau chaude, se met à cracher d'épais jets de foutre sur la porte vitrée en face de lui. Je ne tiens plus, bascule en arrière et jouis à mon tour sur mon ventre et mon torse, je reçois même sur le bas du visage... Craignant d'être surpris je me dépêche de remonter vers ma salle de bains personnelle afin de me débarbouiller. Très vite, la bite calmée mais encore mi-molle je redescends. Jérôme est encore sous la douche. Alors que je pénètre dans sa chambre, j'entends l'eau qui se coupe.

- "Hello, y'a quelqu'un par ici ?"

- "Salut Mikey, tu tombes bien, je sors de la douche, tu peux me passer la serviette qui est sur le fauteuil près du lit ? J'ai pas envie de mettre de la flotte partout"

- " Ouais je t'apporte ça"

Lorsque j'entre dans la petite salle d'eau, il est debout sur le tapis, sourire au lèvre, et bite toujours en forme !!! Pas à fond, mais loin du repos quand même.

- " ça me fait toujours cette effet l'eau chaude..."

- "à moi aussi t'inquiète"

Il est en train de se sécher, moi je sors et vais faire couler un café dans le petite kitchenette. Il m'y rejoint quelques minutes plus tard, vêtu d'un simple peignoir qu'il ne ferme même pas. Assis en face de moi, sa tasse de café brûlant à la main, on discute tranquillement, à poil, comme si c'était tout à fait normal. Sa grosse queue me fait tellement envie, dur dur de résister à m'approcher de lui et le toucher... Mais je ne peux pas!!!

Les jours passent et les vacances vont bientôt toucher à leur fin, je n'ai pas envie de partir d'ici, je me sens tellement bien : l'air de la mer, le soleil qui ne nous a pas quittés depuis bientôt un mois, ma colocation-nudiste secrète avec Jérôme, tout était parfait. Parfois, le soir, je l'entendais se branler dans sa chambre dont la porte n'a pas été fermée une seule fois, je faisais pareil, ne retenant pas mes gémissements, peut-être m'entendait-il ? Peut-être que ça l'excitait, je n'en savais rien, on en parlait pas. Ce soir, un grand repas nous réunissais tous. Les femmes avaient cuisiné presque toute la journée. Il n'y avait rien de macho dans cette démarche, elles aimaient ça la cuisine, faisaient souvent des merveilles et étaient régulièrement applaudies et traitées en véritables vedettes à la fin des repas. Mais ce soir elles s'étaient surpassées et mon père avait sorti de la cave quelques délicieuses bouteilles de vin.

Tout était un régal, de l'entrée au dessert. Le vin coulait à flot et l'ambiance montait à mesure que la soirée avançait. J'étais triste de la fin des vacances mais voulais profiter à fond de cette soirée. Quelques un sont partis prendre un bain de minuit, comme des ados !! Puis on s'installe au salon, Jean-Claude avait caché dans ses valises un délicieux digestif artisanal qui finit par en achever certains. Plutôt éméchés, rigolant de tout et n'importe quoi, tout le monde regagne ses appartements. Arrivés chez "nous", je propose à Jérôme de prendre un dernier verre.

- "Avec joie ! Mais, qu'est ce qu'on fait encore habillés ? On avait pas dit qu'on vivait à poil ici ?" lance-t-il à la cantonade en riant de plus belle. Aussitôt dit aussitôt fait, il ne lui faut que quelques secondes pour se dévêtir. Il jette ses fringues un peu partout et, une fois nu, reste me regarder, toujours le sourire aux lèvres. "Bon t'attends quoi?!"

- "Euh, ben, rien !!" et je suis son exemple... "Par contre je te préviens, moi l'alcool, ça me fait bander" lui dis-je en baissant mon caleçon. Je n'avais pas menti, j'avais déjà une belle demi-molle.

- "Sacré toi, toujours chaud hein !?!"

- "N'importe quoi, pourquoi tu dis ça ?"

- "Bah quoi, tu crois que je t'entends pas te branler le soir là-haut?"

Il m'entendait donc bien le salop, et n'avais jamais rien dit avant ce soir. Je rétorquais qu'il me semblait que je n'étais pas le seul... ça le fit rire.

- "Regarde ! ça y est je commence à bander moi aussi..."

- "En effet, et on peut savoir pourquoi ? Hihihi"

- "Ben c'est de ta faute, à force de parler de ça... C'est malin, me voilà à moitié excité maintenant !!!"

- "C'est l'alcool qui te monte à la tête oui!"

- "Ca te dirait qu'on se matte un petit film de cul ? Allez, fais pas ton air choqué"

- "J'en avais pas l'intention, allez, c'est parti pour le film!!"

On se dirige vers sa chambre, je m'allonge sur le lit pendant qu'il relie son ordi portable à la télé accrochée au mur juste en face. L'image apparaît, bien évidemment c'est un film de cul hétéro mais c'est pas grave, je vais me concentrer sur les beaux mecs chauds bouillants et jeter sûrement quelques coups d'oeil vers mon voisin. Ni une ni deux il commence à se palucher, doucement, histoire de profiter du moment. Puis il me regarde et me demande pourquoi je ne fais rien. Je ne réponds rien, souris bêtement et prends en main ma queue bandée au maximum. Au bout de quelques minutes, il me dit exactement la même chose qu'aux dunes : il ne manque qu'une bonne bouche pour nous sucer !! Alors, ni une ni deux, sans réfléchir, je me jette sur sa grosse queue qui ne demandait que ça. D'abord surpris, il s'abandonne rapidement à mes caresses.

J'ai en main sa grosse tige qu'il me tardait tant de toucher à nouveau. J'effectue des va-et-vient assez lents, ma langue tournant autour de son gland bien gonflé. Il semble vraiment apprécier. Mon autre main caresses ses couilles lourdes qui se balancent au rythme de mon poignet. Tellement excité il écarte les jambes, ma mais s'aventure entre ses couilles et l'entrée de son cul, il soupire toujours. Je fais glisser ma langue le long de cette tige de chair qui tressaute à son passage. J'arrive autour de ses boules, que je gobe tant bien que mal tellement elles sont grosses, je descends encore un peu, ma langue arrive près de sa rondelle. Tout doucement je commence à la lécher et force un tout petit peu l'entrée, uniquement avec ma langue. Ses mains se baladent sur mon dos et atteignent à présent mes fesses, il me caresses langoureusement, j'adore sentir mon corps sous ses grandes et belles mains. Je sens que ses doigts commencent à chercher l'entrée de mon intimité. Je gémis de plaisir tout en continuant à lui bouffer le cul puis je reviens sur sa bite, tellement bonne. Entre deux râles il laisse échapper quelques paroles, il a trop envie de baiser. Je remonte mon visage vers son torse, j'arrive à ses tétons, je les mordilles doucement au passage puis j'arrive en face de son visage, il a les yeux fermés. Je pose délicatement un baiser sur ses lèvres, pas de réaction.

Je recommence, essayant de forcer le passage avec ma langue, mais il semble résister, un peu gêné je pense. Un peu déçu, je reprends en main sa tige et la branle à nouveau, là c'est sa bouche qui se colle à la mienne et nous nous roulons une pelle magistrale qui m'envoie au septième ciel. Je suis excité comme un fou, et un peu saoul aussi, donc je m'abandonne totalement à lui. J'ai envie de lui faire plaisir, de ME faire, de le sentir en moi... Tout à coup, je me mets à quatre pattes et me retourne, lui présentant ainsi mon cul. Il se jette presque sur moi. Il bouffe ma rondelle avec frénésie, qu'est ce que c'est bon. Puis il commence à me doigter, un, deux puis trois de ses doigts se frayent un passage dans mon cul, je ne suis pas habité mais j'aime beaucoup cette sensation. Je le sens se redresser, il se glisse derrière moi et vient coller sont corps au mien, il m'embrasse dans la nuque, cette petite attention me plaît énormément. Il me dit avoir très envie de moi et, avec une douceur surprenante, il présente son pieux à l'entrée de mon cul. Je sens son gland forcer l'entrée, le sensation est assez impressionnante mais plutôt agréable pour le moment. Il continue son cheminement tout en commençant à effectuer de petits aller-retour, puis il s'enfonce, de plus en plus à chaque coup, je commence à ressentir de la douleur, mais ce n'est rien comparé à l'excitation qui s'est emparée de moi. Je gémis de plus en plus fort, comme un bête, lui aussi râle fortement, il aime c'est sûr...

Il me lime depuis quelques minutes, je me suis habitué à la sensation de sa grosse queue qui me pénètre, pas en entier, mais bien suffisamment à mon goût, et au sien aussi si j'en juge par ses gémissements. Soudain, il ressort et me demande de me mettre sur le dos. Ainsi, prenant mes deux genoux au niveau de ses épaules, il approche son bassin et entre à nouveau sa grosse queue en moi. Je crie, mélange d'excitation et de douleur car il est allez plus loin, puis encore et encore... J'ai l'impression qu'il me déchire, mais je ne lui dit pas d'arrêter, je suis ailleurs, sur une autre planète, un monde parallèle. Je n'y tiens plus et entame une branlette tout en me faisant prendre. Je ralentis et accélère à mesure que l'excitation et la sève montent dans ma pine prête à cracher.

Nous continuons ainsi un bon moment mais tout à coup, n'en pouvant plus et ne calculant rien, mes cris s'intensifient, mes muscles se contractent, tous, y compris ceux de mon cul qui viennent serrer encore plus fort la bite de Jérôme. Il crie avec moi, ce cri d'homme en rut, les premiers jets s'échappent de ma queue, atterrissent dans mes cheveux, sur le lit, sur mon visage, Jérôme beugle comme une bête féroce, se retire d'un coup et, se redressant au-dessus de moi, la bite à la main, lâche toute sa sauce sur moi. Nous finissons de jouir ensemble, en sueur, il s'écroule à-côté de moi qui suis trempé du mélange de nos deux spermes crémeux. Je reprends mes esprits et file sous la douche où il me rejoint. Une longue douche chaude et langoureuse nous remet les idées en place. Nous nous séchons rapidement et nous couchons, ensemble. Je me blottis au creux de ses bras.

La nuit passe comme un claquement de doigt. Le soleil du matin vient caresser les fenêtres de la longère. Nous nous réveillons doucement, dans la même position que quand on s'est endormis quelques heures plus tôt. Jérôme est allongé sur le dos, moi je me sers de son torse comme oreiller, il me sourit... Soudain, il soulève la couette et accompagne son geste d'un clin d'oeil. Sa bite dure repose sur son ventre, elle dépasse même son nombril ! Il n'a rien besoin de dire, je baisse un peu ma tête et commence à téter son gland...

Toc toc toc... Merde quelqu'un est entré et frappe à la porte de la chambre.

- "Jérôme ? C'est Franck. J'espère que je ne te réveille pas. Avec ma gueule de bois je viens juste de me lever, et tout le monde est parti profiter une dernière fois de la plage, même Mike n'est pas en haut..."

Quoi ?! Il était même monté à l'étage et on s'était rendu compte de rien !? Et lui comment ne pouvait-il pas avoir entendu les gémissements de Jérôme !!? Nous fixons tous les deux la porte de derrière laquelle viennent ces paroles, sans dire un mot. Merde, la poignée commence à descendre, là c'est clair, on est foutus.

- "Jérôme ? Tu dors?"

Je m'élance en direction de la salle d'eau, mais il est trop tard, Franck est sur le pas de la porte et regarde hébété la scène qui se déroule sous ses yeux. Je suis debout dans l'encadrement de la porte de la salle d'eau, à poil, une gaule de malade. Jérôme n'a pas bougé d'un poil, allongé sur le lit, la bite à la main tentant de cacher maladroitement son érection. Plus personne ne bouge, je ne saurais dire qui est le plus mal à l'aise. C'est Jérôme qui retrouve ses esprits de premier.

- "Entre Franck, et ferme la porte derrière toi s'il te plait".

Il s'exécute sans dire un mot et reste planté au milieu de la chambre, moi non plus je n'ai pas bougé.

- "Allez, venez vous asseoir sur le lit les gars".

- "Vous étiez vraiment en train de baiser tous les deux? ça dure depuis quand cette histoire ? Me dites pas que ça date d'avant les dunes et que vous avez fait semblant?! "

Franck semblait plus perdu par les milles questions qui jaillissaient de son esprit, qu'en colère après nous. Je les rejoints sur le lit. Jérôme, d'un sang froid hors du commun, lui expliqua tout dans le détail sans être interrompu une seule fois par Franck ou moi. Il écoutait attentivement.

- "... et donc quand je suis arrivé, Mike était en train de te sucer !? Bande d'enfoirés, vous en passez du bon temps ici tous les deux. Faut que je vous avoue un truc : Monique ne veut pas me sucer, elle n'aime pas ça..."

Cett révélation nous parût incroyable, quel dommage de ne pas se faire sucer !

- "Oh merde alors" réagit Jérôme. "Y'a rien de plus agréable que ça, regarde" dit-en en appuyant ma tête vers son entre-jambe. Je ne me fais pas prier, mon excitation n'était pas redescendue de toute façon. J'enfourne à nouveau l'énorme queue de Jérôme dans ma bouche sous les yeux ébahis de Frank qui ne dit pas un mot. Jérôme s'allonge, nous reprenons nos aises et commence à gémir.

- "Tu as deux solution Franck : soit tu te lèves, tu sors et tu refermes bien la porte derrière toi, soit tu te fous à poil..." Jérôme est cash avec lui, mais c'est bien mieux ainsi.

Franck se lève puis après quelques secondes immobiles, il défait sa ceintures, jette ses fringues par terre et vient s'allonger à côté de Jérôme. On voit bien qu'il est mal à l'aise. Sa queue molle pend entre ses jambes. Nous décidons de le décontracter : Jérôme commence à lui caresses le torste tandis que je commence à caresser sa teub et ses boules sans enlever mes lèvres d'autour la grosse bite de Jérôme. Franck se met à bander direct et suis trop content d'avoir deux belles bites à ma disposition. Je me décide à changer de queue, je dirige mes lèvres vers celle, plus petite mais très alléchante quand même de Franck. Il se met à souffler très fort au contact de ma bouche. Sa queue est bonne, il donne naturellement des coups de bassin vers le haut pour me l'enfourner complètement. La situation excite particulièrement Jérôme qui se faufile derrière moi et commence à me prendre pendant que j'ai la bite de Franck en bouche. Ce dernier n'en revient pas. Mes couinements sont étouffés par la bite que j'ai dans la bouche, Franck, trop excité, se met à crier et me lâche sa purée dans la bouche, en même temps que Jérôme qui se décharge dans mon cul. Je suis inondé de l'intérieur. Je m'affale sur le dos sur le lit entre les deux bêtes de sexe qui viennent de me remplir. J'ai rien vu venir, rien pu contrôler. Tous les deux s'approchent de ma bite et commencent à me sucer chacun leur tour avant que leurs deux langues se rejoignent autour mon pieux. Il ne m'en faut pas plus éjecter ma semence, toujours en de longs jets, j'en mets partout...

Nous nous douchons et partons dans la piscine, en profiter une dernière fois avant de faire les valises et repartir à nos petites vies respectives à travers la France. Quand les autres reviennent, nous sommes en train de jouer comme des gamins dans la piscine. Ma mère nous lance "alors les garçons, on s'amuse bien ?!"

Oh, maman, si tu savais...

Tout le monde se sépare le lendemain, se projetant déjà dans les vacances d'été de l'année prochaine... Et pour trois d'entre nous, nous repartons avec des souvenirs incroyables. Un an à attendre avant de remettre ça, ça va être long, et dur ;)

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