Je quitte temporairement mes histoires « inventées » pour vous raconter une aventure pour le moins farfelue qui m’est arrivée il y a quelques mois…
C’était un samedi au début du printemps 2019, j’avoue que j’étais plutôt chaud et je décide donc d’aller faire un tour dans le Marais. Je sors du métro à la station Hôtel de ville et déambule dans les rues jusqu’à arriver à un sexe-shop 100 % gay. Sans idée précise je flâne dans les rayons : sous-vêtements, cockrings, DVD, godes… un peu émoustillé je sens ma queue qui commence à frétiller dans mon boxer. Un peu voyeur, mais aussi exhib je demande à essayer 2 jockstraps.
Installé dans ma cabine dont le haut de la porte m’arrive environ aux épaules et le bas se termine à 50 cm du sol, j’accroche mon blouson aux portemanteaux puis quitte mon pantalon et mon boxer. Face au miroir je me matte, habillé en haut, mais nu en bas. Tout en enfilant les 2 jocks l’un après l’autre, je regarde les quelques clients qui se baladent dans les rayons, jetant un œil vers ma cabine, mais ne pouvant rien distinguer de mon intimité. Tandis que je me rhabille, je vois un grand black entrer dans le magasin et se diriger vers les godes sans me porter la moindre attention. Sorti de ma cabine, je passe près de lui et remarque alors qu’il a un énorme paquet, impressionnant, on ne voit que ça. L’excitation monte en moi. Je rends les sous-vêtements à un vendeur et puis retourne flâner dans le magasin, intrigué par l’énorme bulge de ce mec. Au fond de moi, j’espère qu’il va essayer quelque chose et que je pourrai mater son gros engin. Mais il semblerait malheureusement qu’il ne soit pas là pour ça…
Afin de ne pas me faire griller, je me décide à quitter le sexe-shop. En refermant la porte derrière moi, j’aperçois le regard du black dans ma direction. Passablement excité, je fais quelques pas dans la rue perpendiculaire à celle du magasin, qui est juste en face de l’entrée. Les mains dans les poches de mon jean je replace ma queue et joue même un peu avec. J’avance lentement dans cette rue, faisant mine de m’intéresser aux diverses vitrines, lorsque je vois la porte s’ouvrir et le black à l’énorme bulge en sortir. Il jette un coup d’œil à droite, à gauche puis s’élance finalement dans ma direction. Le plus discrètement possible je le détaille. Il a des dreadlocks, un sweat ample et un pantalon noir qui attire l’œil. Il a plus de 40 ans et est très grand, il semble bien bâti !
– Salut !
Un peu surpris, je constate qu’il a donc grillé mon petit manège. Sa voix est douce. Je réponds en le saluant à mon tour puis nous entamons une discussion un peu malhabile au début, dû à une sorte de fausse gêne. Nous en arrivons finalement à aborder le sujet de son paquet qui me semble encore plus énorme à la lumière du jour. Amusé il m’explique qu’il porte une sorte de cockring/ballstretcher en tissu fait maison. Cette information pique ma curiosité. Je ne m’étais même pas aperçu que nous avions commencé à marcher sans but précis. La conversation était totalement axée sur son paquet. Je lui dis toute la frustration que j’ai de ne pas pouvoir jeter un œil. Pas farouche il m’indique qu’il serait ravi de me montrer, mais comment faire ? Nous tournons en rond dans le quartier à la recherche d’un petit coin, même minuscule, où il pourrait déballer un peu ce joli paquet sous mon regard lubrique. Mais il n’en sera rien, car nous sommes en plein après-midi et qu’il y a du monde absolument partout !!
Quelque peu frustré et résigné, nous revenons à la raison et il me propose d’aller prendre un café, invitation que j’accepte bien volontiers. Après quelques minutes de marche, nous poussons les portes d’un célèbre bar du Marais puis nous installons à une table à l’intérieur dans un petit coin tranquille. Je m’assois sur la banquette, dos au mur et je suis un peu surpris lorsqu’il vient s’assoir à-côté de moi plutôt qu’en face. Les deux grands cafés sont commandés, nous continuons à discuter lorsqu’il pose sa main sur ma cuisse tout en me souriant. Je fais immédiatement de même. Rapidement, les mains se rapprochent de nos entrejambes respectifs. Je me mets immédiatement à bander, sa bite semble être au repos, mais déjà énorme. L’excitation s’empare de nos et nous nous malaxons maintenant la bite. Ayant posé à-côté de lui sur la banquette sac à dos et blousons, cela masque ce qui se passe sous la table.
Conscient que personne ne peut nous voir, il ouvre sa braguette et m’invite à y glisser ma main. Je découvre qu’il ne porte pour sous-vêtement que son cockring maison en tissu. Ma main empoigne tant bien que mal son chibre qui a doublé de volume. Il glisse à son tour sa maison dans mon jogging et dans mon boxer. L’accès y est plus aisé. Sa main un peu fraiche empoigne ma queue chaude et tendue, ce qui m’électrise immédiatement et m’arrache même un petit soupir discret, pause forcée dans notre discussion. Ça le fait rire, il voit que je suis en train de perdre le contrôle, je suis beaucoup trop excité et sa caresse me met dans un état second.
Oubliant où nous sommes, j’extirpe non sans mal son sexe dur hors de son pantalon. La circonférence de sa queue occupe la totalité de l’ouverture de sa braguette et son énorme gland, tendu comme une flèche vers le ciel, vient cogner le dessous du plateau de la table. Je suis dans un état second et lui fais comprendre qu’il doit ralentir le rythme de ses caresses sans quoi je ne répondrai plus de rien ! Il prend un malin plaisir à titiller ma queue et particulièrement mon frein, par intermittence pour ne pas me faire jouir tout de suite. De mon côté, j’ai léché la paume de ma main, y déposant une bonne quantité de salive, avant de la refermer sur son gland chaud qui tient à peine dans le creux de ma main. Je fais glisser son membre lentement dans ma main, tout doucement afin de ne pas nous faire trahir par des mouvements de bras suspects.
Ma caresse lui plait, j’entends aussi que sa respiration est saccadée, comme la mienne. Nous sommes partagés entre rire et excitation, mélange de sentiments très agréable au demeurant. Le mouvement de son poignet, discret, mais très efficace continue à faire son effet. Une fois de plus je suis obligé de lui faire signe de ralentir, mais il ne semble pas vouloir obéir cette fois-ci, je réitère en me concentrant au maximum. Les yeux plissés, je lis sur ses lèvres un « trop tard » suivi d’un immense sourire. Au même moment, alors qu’aucune expression faciale ne le trahit, je sens son énorme gland tressauter par à-coups rapprochés et mes doigts se retrouvent englués de sa semence chaude. Il ne dit rien, ne soupire même pas, juste un grand sourire qui dévoile sa dentition blanche. Sous la table c’est l’inondation, mais je ne me soucie de rien. Tandis que son jus continue de s’échapper, je ne peux plus rien contrôler. Ma jouissance est également très forte. Lui n’a pas sorti ma bite, heureusement. De puissants jets viennent tapisser l’intérieur de mon boxer ainsi que sa main qu’il n’enlève pas, bien au contraire, il continuer à caresser ma tige jusqu’à en avoir extrait la dernière goutte.
Je suis incapable de dire combien de temps a duré ce moment, il m’a paru à la fois durer une éternité tout en passant très vite. Nous restons de longues secondes (minutes ?) dans cette position sans bouger, le temps de reprendre nos esprits. Ma main gauche et sa main droite remplies de jus refroidissant, tenant chacune une bite qui commençait à ramollir. Il a attrapé un paquet de Kleenex neuf que nous avons été obligés de finir en totalité pour réparer nos « bêtises ». Une fois tout ce foutre essayé et le matos remballé, nous sommes descendus vers les toilettes. Tout au fond il y a un urinoir pouvant accueillir deux personnes côte à côte. Nous nous y installons et commençons à pisser de concert. C’est seulement à ce moment-là que je vois concrètement cette superbe verge d’ébène.
Après s’être lavé les mains, il me regarde l’œil pétillant, dépose un rapide baiser sur mes lèvres puis remonte à l’étage. Nous nous sommes séparés sur le pas du bar, chacun est parti de son côté, heureux se cette expérience osée, mais terriblement excitante.
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MJnavyman
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