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À la recherche de mon père -1

J'avais 18 ans, sans histoire. Une enfance bourgeoise, classique qui ne me destinait pas du tout aux tourments et à l'aventure. Mais je n'avais qu'une seule hâte, retrouver mon père disparu lors de son dernier reportage en Amazonie. Mon père était grand reporter. Un homme de 40 ans qui avait bourlingué toute sa vie durant. Il nous aimait ma mère, mon frère et moi mais sa réelle passion c'était le reportage périlleux. Toujours en zone de conflit ou lors de dramatiques événements aux 4 coins du monde, il avait besoin de cette adrénaline pour vivre. Ses retours à la maison étaient toujours une grande fête. Il nous manquait. Il était très absent, mais nous ne pouvions lui en vouloir car nous sentions son amour pour nous et sa déchirure lors des adieux. Nous profitions toujours de ces retrouvailles et notre vie était rythmée au gré des aventures de mon père, ce héro !

Depuis deux ans, les choses avaient mal tourné. Nous n'avions plus du tout de nouvelles. Les informations diffusées à la radio et à la télévision n'étaient guère encourageantes. Mon père avait disparu dans la forêt amazonienne alors qu'il était en reportage pour témoigner de l'existence et surtout de la survive de la dernière tribu totalement sauvage, les Guachachos. Cette tribu avait été découverte récemment. Mais leur zone d'habitat restée intacte depuis la nuit des temps et un merveilleux refuge pour leurs traditions, était convoitée par le Gouvernement brésilien qui avait la certitude d'y trouver des gisements de pétrole faramineux. Ce n'était hélas pas le seul problème pour ce paisible peuple. Non, les narcotrafiquants toujours plus pourchassés par l'armée, toujours plus organisés, s'étaient enfoncés dans la jungle et menaçaient à présent cette tribu séculaire. Enfin, il y avait les armées Colombienne et brésilienne qui survolaient cette zone originellement tellement paisible mais depuis peu, devenue d'un intérêt stratégique pour divers groupes financiers ou mafieux.

Il fallait que je parte à la recherche de ce père. A mes 18 ans, c'était décidé, je partirais, un sac sur le dos à la recherche de papa. Ma mère aurait certes du chagrin. Mais elle aurait aussi toute l'admiration qu'elle avait pour mon père. Elle aimait tant cet homme viril au corps d'acier, sec et parcouru de cicatrices qu'il avait plaisir à nous montrer lors des soirées de Noël. La plus visible était la cicatrice dans son visage toujours rasé de frais. Elle partait du menton et dans une courbe remontait jusqu'au milieu de la joue. Il y avait aussi celle sur le bras droit. Elle était très visible car mal traitée en pleine savane africaine. Et j'en passe. Cet homme était notre héros. Je regrettais de ne pas être taillé comme lui dans le rock. J'avais les épaules larges, certes, mais pas aussi larges que lui. J'étais sportif et avait un beau corps de jeune gars légèrement musclé mais je n'étais pas aussi sec que lui ... Le confort et l'abondance, cela vous enrobent quelque peu. Je n'avais pas hérité non plus de sa pilosité au niveau du torse et des jambes. Pas plus que de ses cheveux foncés. J'étais imberbe et blond comme ma mère et mon grand-père maternel. Mon frère d'un an et demi de moins que moi était fort similaire mais un peu plus petit encore que moi. Il était moins musclé également sans être gros. Il était moins sportif que moi. Mais, il avait été choyé par ma mère et c'était son chouchou. Nous nous entendions à merveille lui et moi. Nous étions presque jumeaux. J'aurais du mal à le quitter lui aussi ... Mais il comprendrait.

Il fallait que je m'organise un minimum. Je décidai donc de parler de mon projet à ma mère. Dans un premier temps, elle fut horrifiée puis devant ma détermination, elle capitula. Elle allait reprendre contact avec James, un ami de mon père qui avait pas mal bourlingué avec lui mais avait dû rentrer pour des raisons familiales dans son château en Ecosse. Son père était décédé. C'est pour cette raison que mon père parti seule dans la jungle car James et lui étaient comme liés par le sang ! James était comme le père qu'il n'avait jamais connu. Il avait été son professeur à l'université d'Édinbourg où mon père avait fait une année spéciale en journalisme. C'était la seule université qui entrainait parallèlement aux cours de journalisme internationale avec toute la géopolitique nécessaire à une bonne compréhension du monde, certains arts martiaux et enseignait des éléments de survie. C'était un entrainement militaire. Mon père avait 23 ans et James 47. Une merveilleuse amitié, une complicité étaient nées entre ces deux-là. James avait été le témoin de mariage de mon père. Et cet homme massif au look de guerrier écossais avait versé une larme lors du mariage de mes parents. Ma mère appréciait beaucoup James et cette larme l'avait touchée. Et puis, cela la rassurait que mon père soit accompagné, jeune, d'un homme plus habitué à l'aventure. La jeunesse de mon père à l'époque lui faisait prendre des risques. James l'avait sauvé de plus d'un mauvais pas ! Oui, James était un peu l'ange gardien de papa et nous l'appelions Oncle James bien qu'il ne fasse pas partie de la famille. Cela lui plaisait, je pense car il n'avait jamais été marié et n'avait pas d'enfant.
Mais voilà, ce dernier voyage de mon père en Amazonie, il le ferait seul. James avait été très affecté par la mort de son père. Un patriarche de 89 ans. Il avait préféré prendre une année sabbatique sur ses terres. Et puis, le domaine n'était pas petit, et sans frère, il se devait de tout reprendre en main rapidement. Allait-il d'ailleurs avoir le temps de m'aider ?

De retour de l'école, ma mère m'attendait. James avait répondu présent comme toujours. La disparition de mon père l'inquiétait moins que nous, du moins le feignait-il, car il avait confiance en son élève comme il avait plaisir à le répéter. Il avait eu le temps de tout organiser en Ecosse, un régisseur avait été nommé et la gouvernante de son père une femme de poigne de 50 ans avait toute sa confiance. Il nous rejoindrait le WE en huit.

Nous étions heureux de le revoir et surtout de nous gonfler à nouveau de son optimisme à toute épreuve. La semaine passerait vite. Ma mère allait m'aider tous les soirs à constituer un dossier comme les faisaient pour mon père. Elle avait retrouvé toutes les notes qui avaient servi au dernier voyage. Mon frère n'était pas au courant de mon projet. Ma mère voulait le préserver et surtout qu'il termine ses deux dernières années. Pour ma part, c'était déjà presque dans la poche. J'avais la chance d'être né avec une grande rapidité d'esprit et les études n'avaient jamais été quelque chose de bien compliqué pour moi. La semaine passa vite. Les cartes étaient prêtes. La zone d'où nous étaient parvenus les derniers messages de papa, clairement identifiées. Quelques contacts sur place au niveau administratif. Les vaccins à faire, identifiés. J'étais dans un état d'excitation proche de l'exaltation. Je marchais dans les traces de mon père.

James arriva comme prévu le samedi suivant. Toujours aussi charismatique. Il se dégageait de lui une force tranquille. Ses yeux bleus perçaient nos âmes. Sa bouche sensuelle s'ouvrait peu mais les mots qui en sortaient étaient forts, percutants, sans discussion possible. Seul changement, sa barbe. La dernière fois que nous l'avions vu, il était comme mon père rasé de frais. Cette barbe rousse lui donnait une allure de sauvage, de guerrier viking, de dieu de la mer ! Oui, James semait un trouble en moi dont j'ignorais la profondeur. Je me sentais simplement captivé par lui. Cet homme avait par ailleurs un pouvoir énorme tant sur les femmes qui se pâmaient en face de lui, que des hommes, qui le respectaient sans faillir. Un vrai meneur. James serra ma mère dans ses bras, les yeux fermés. Ses bras forts et ses mains larges cachaient presque tout le dos de ma frêle petite maman ! Sébastien, mon frère se tenait à côté de moi. James l'impressionnait autant qu'il m'hypnotisait. Ce fut ensuite mon tour d'être pris dans ses bras. Quelle émotion. De sa voix grave, il me dit de ne pas perdre espoir et que nous allions retrouver mon père. Sébastien disparu à son tour dans les bras musclé couvert de poils roux bouclés de James. Je remarquai que Sébastien avait les yeux embués. Manifestement, James lui faisait également grande impression.

La soirée se passa à discuter du passé. Il faillait encore annoncer à mon frère mon départ prochain. Ce ne serait pas une tâche facile. Ma mère voulait qu'il termine ses examens. Il n'en avait plus que deux. Mardi soir, ce serait la fin pour lui, et nous pourrions trinquer à sa santé et à sa réussite ... enfin, nous l'espérions. Je montrai à James sa chambre qui était à côté de la mienne. Nous étions séparés par la salle de bain que nous allions partager pour la semaine de séjour. Dans la pénombre de sa chambre, James fit tomber ses deux lourds sacs de cuir sur le sol et s'assit sur le lit. Il me regarda fixement. Ses yeux bleus semblaient être deux lumières qui me dévisageaient. Allait-il ou voudrait-il me dissuader de mon projet ? Pensait-il que je n'étais pas à la hauteur. Un frisson parcouru mon corps. Décidemment, cet homme silencieux m'impressionnait. Une petite goute de sueur perla sur mon front. Je devais me maîtriser. Que ferais-je sinon dans cette forêt Amazonienne si j'étais tant sensible ! Sa voix grave avec son accent écossais brisa le silence de la pièce feutrée à la lumière tamisée.

-  Tu me fais penser à ton père. Tu es différent, plus fin, et puis tout blond mais la même silhouette, les mêmes traits de visage quand je l'ai connu sur les bancs et qu'il suivait mon cours. Tu es un beau jeune homme et je suis fier d'être ton parrain. Ai confiance, on va retrouver ton père. Comme tu le sais j'ai un régisseur et la dame de compagnie de feu mon père qui s'occupe du domaine. Je t'accompagne ...

J'eu à ce moment, un vertige. James impressionnait tant que jamais, je n'aurais osé lui demander de m'accompagner. Mais en secret, je l'espérais bien. Son aide et surtout sa protection, étaient indispensables à ma réussite. Je sentis des larmes venir aux yeux. Je les retins de toutes mes forces. Je fis un pas en avant et tendis ma main à James pour le remercier vivement. A son tour il tendit sa main et sa poigne s'empara de ma main qui disparu. L'émotion à son comble, je perdis mes jambes et me retrouvai aux pieds de James qui tenait toujours ma main et dont le regard continuait de me percer. Je me mis à sangloter, de joie, de peine ... d'émotions. De sa main gauche, James me caressa la tête. Sa grosse paluche me fit pencher la tête en avant et je me retrouvai tout bête, la tête contre son genou, côté intérieur de sa cuisse puissante. Toute ma force était partie. James avait lâché ma main et me caressait maintenant la tête avec ses deux mains. Mes sentiments ne s'expliquaient pas à ce moment. Je ne savais pas quoi penser. Pensai-je seulement ? Je pense que j'étais vidé de tout. Je me souviens juste que je voulais cacher ces larmes à James et que j'enfuis ma tête au creux de ses cuisses. Cela dura 3 minutes ? 10 minutes ? Impossible de le dire à ce moment. Mon corps était pris de convulsions de plus en plus espacées. Les mains de James continuaient à me caresser les cheveux. Etait-ce moi qui poussais entre ses cuisses mon visage ou lui qui me maintenait fermement la tête. Je ne sais pas. Je ne pensais pas. Je me remis de mes émotions, la poigne de James était plus légère. Je dégagé mon visage rougis de ses chaudes cuisses. Je m'excusai et lui souhaitai bonne nuit. James me souhaita bonne nuit et me regarda quitter sa chambre. Je regagnai la mienne et je ne sais pourquoi, la fougue et la jeunesse peut-être, je me masturbai sans penser à quoi que ce soit, à la manière d'une bête, avec force et fureur pour décharger toute ma honte d'avoir pleuré comme une mauviette devant cet homme que je respectais tant.

Le dimanche se déroula comme si de rien n'était. On avait prévu de discuter à partir du lundi. Mon frère devait encore étudier. Comme tous les jours, je pris une douche fraiche qui me revivifia. Mon sexe était à moitié gonflé. Sans doute comme tous les jours. Pourtant ce matin, cela me perturbait un peu. J'avais fait un rêve étrange. Je ne m'en souvenais pas avec précision mais James était dans ce rêve. Seul mon sexe, semblait se rappeler de ce rêve ... Peut importe, j'avais une mission importante. Je devais chasser de mon esprit ces pensées indignes et ridicules. Peut-être aurai-je du avoir une petite amie. C'était de mon âge. Tous mes amis courtisaient. Pourquoi pas moi ? Parce que mon père me manquait. Et je n'avais qu'un but en ce jour, le retrouver.

James et ma mère étaient déjà debout. Le petit-déjeuner était prêt. James était déjà habillé d'un pantalon jaune et d'un tweed vert à carreau orange. Il était élégant. Il me sourit. Je me sentis gêné d'être en pyjama court, d'autant que ce sexe se remettait à gonfler. Je m'assis donc rapidement et tentai de changer mon esprit. Mon frère arriva à son tour. Sans gêne, il se baladait en slip court. Son sommeil avait dû être agité car le slip lui rentrait entre les fesses du moins d'un côté, laissant apparaître une belle rondeur pâle qui contrastait avec le reste de son corps bien bronzé. En temps normal, je lui aurais fait la remarque en me marrant. Aujourd'hui, je ne sais pourquoi, tout ce qui avait attrait au sexe, me gênait. C'était nouveau. Inexpliqué, troublant. D'autant que je matais ces jolies fesses. Ma mère distraite, n'avait rien vu et de toute façon, elle quittait déjà sa place pour aller se préparer avant d'aller à la messe de 10 heures. Etrangement, je remarquai que James regardait mon frère avec intérêt. Il me semblait même avec un certain désir. Ola mais qu'est-ce que j'allais penser là ! Tu délires Jérémy, me dis-je. Mais un sentiment de jalousie naissait en moi. J'étais furieux contre mon frère qui n'avait aucune pudeur. JE lui lançais brusquement, presqu'agressivement :

-  T'as rien d'autre à foutre que de te balader à poils comme une pute ?
Mes mots me surprirent et les regrettai immédiatement. Je rougis mais ne trouvais pas les mots pour me rattraper. Sébastien me regarda étonné. Nous ne nous parlions jamais de cette manière et nous ne nous disputions jamais.
-  Ben qu'est-ce qui te prends frérot ? T as mal dormi ? T'as pas baisé ?

Phrase et mots bateau ... Cela ne voulait rien dire car il savait que je ne baisais pas puisque je n'avais pas de copine. Il le savait d'autant mieux que nous étions confidents l'un de l'autre ! Je rougis encore stupidement et jetai un regard en biais vers James. Il souriait en regardant mon frère. J'avais l'impression qu'il le dévorait des yeux. J'en pris ombrage et quittai la pièce en râlant.

Je partis faire un jogging durant deux bonnes heures. J'en revins avec un meilleur moral. Sébastien étudiait. J'en profitai pour discuter avec James du projet. Je lui montrai le dossier que ma mère et moi avions préparé. Il y apporta quelques modifications. Mais il reconnaissait la patte de ma mère et savait qu'elle pensait à tout. Le soir se déroula calmement. Les esprits étaient apaisés. Mes pensées su matin avaient totalement disparu. James prétexta que mails à envoyer et se retira dans sa chambre. Sébastien devait étudier. Ma mère et moi avons encore fait des recherches sur internet. Vers minuit, j'étais vanné et je me suis retiré à mon tour. Ma mère devait encore faire quelques trucs dans la cuisine. Je l'embrassai et montai jusqu'à ma chambre. Une fois, là, j'ôtai mes vêtement, il avait fait chaud toute la journée et je voulais prendre une douche. J'entre dans la salle de bain sans frapper. Par habitude sans doute. Et là, surprise totale. James est nu comme un vers. Il se brosse les dents. Il se retourna vers moi étonné, surpris. J'étais totalement à poils, lui nu, une brosse à dents dans la bouche, un peu de mousse blanche au coin de la bouche dans sa barbe rousse.

C'est la première fois que je le vois comme ça. Dénudé. Il est puissant. Il a de beaux restes pour ses 64 ans. Une toison rousse comme le feu recouvre son corps. Ses épaules sont larges. Ses cuisses épaisses et musclées. Les jambes légèrement archées. Et ... un sexe épais, large, qui repose sur une paire de couilles prodigieusement lourdes en pendantes. Mes yeux sont bloqués sur ses attributs. Ses couilles doivent pendre de plus de 15 centimètres. Son corps est diamétralement opposé au mien. Imberbe, plus fin, plus grand que lui. Il ne mesure qu'un mètre soixante-quinze, alors que je mesure un mètre quatre-vingt-deux. Enfin, mon sexe, et plus petit et plus fin que le sien et il repose sur une petite paire de couilles haut placées. J'en éprouve une certaine gêne.

-  Pardon James, ... euh ... je suis désolé ... je te pensais au lit et par habitude, je suis entrer sans frapper ... encore pardon
-  No problem dear, me répondit-il en se tournant pour jeter la mousse comprimée dans la bouche.

Avant de sortir, je peux alors voir ses fesses, poilues comme le reste du corps. Une paire de fesses massives, musclées, bombées. Un vrai corps de rugby man.
Je referme la porte. Tant pis, je ne prendrai pas de douche. Je vais directement au lit. Mon sexe est à nouveau gonflé. Sans réfléchir, je me masturbe à nouveau frénétiquement et m'endors comme une masse.

LEXA

nakibe@yahoo.fr

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