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Arrivé en bas de chez moi je me sentais soulagé car à priori, je n'avait pas trop attiré l'attention des personnes dans le métro. Ma surprise fut grande lorsque j'arrivais devant ma porte, de trouver Maître Jonathan et Chef Rafi devant chez moi:
- Alors Bizut, ce trajet en métro c'était comment?
- On s'est dit qu'on pouvait pas te laisser comme ça toute la nuit alors gentiment, on est venu pour passer la soirée avec toi. Alors là tu vois, tu vas redescendre et allez nous acheter de la bière et des pizza.
- Bien Chef, à vos ordres.
C'est la seule chose que j'ai trouvée à répondre. Je ne comprenais pas comment on avait pu en arriver là, tout ceci prenait des proportions que je ne maîtrisais plus. Je leur ai donc ouvert la porte, je les ai laissés entrer chez moi sans que moi même je me trouve avec eux et je suis redescendu pour faire les courses.
Une fois arrivé sur le palier de ma porte d'immeuble, j'ai eu la désagréable surprise de trouver sur mon paillasson un ensemble d'objets accompagné d'un mot. J'attrapais le mot avant de sonner pour renter chez moi:
Bizut,
Voici les consignes avant de pouvoir rentrer chez toi. Tu vas de foutre à poil. Ton slip plein de sauce, tu vas te le foutre sur la tête. Ensuite tu enfile ce joli tablier que nous avons acheté exprès pour toi avec ces faux seins. Bien sûr, il est inscrit sur ce tablier "la bonne est bonne". Nous verrons par nous-mêmes si tu ne fais pas honte à ce tablier. Tu prends ensuite ta chaussette gauche que tu te fourres dans la bouche. Pour finir, tu prends ce rouleau de scotch marron que nous avons trouvé chez toi et tu te colles la totalité du rouleau sur ton petit zizi et tes petites noisettes. Plus rien ne doit apparaître.
Quand tu seras prêt, tu sonnes et nous viendrons t'ouvrir. Un conseil: ne perd pas de temps à faire tout cela si tu ne veux pas que quelqu'un te vois dans cette état. Plus vite tu obéiras, plus vite tu seras chez toi.
J'ai donc obéi. J'ai commencé par la chaussette, le goût et l'odeur m'ont tout de suite assailli et il m'a fallu beaucoup de concentration pour ne pas la recracher aussitôt. J'ai ensuite retiré ma chemise et enfilé le tablier, je me disais qu'ainsi, je serais le moins longtemps possible nu. Et le moment fatidique est arrivé, j'ai baissé mon pantalon, puis retiré mon slip qui collait bien à mon corps; à croire qu'ils ne faisait plus qu'un. C'était dégueu, je le tenais par le bout des doigt pour ne pas me mettre de la sauce plein les mains. Comme ils me l'avaient ordonné, je l'ai enfilé sur ma tête, il a tout de suite collé à mes cheveux, heureusement qu'il n'y avais avais pas de glace dans l'escalier car je pense que je n'aurai pas supporté la vue et le ridicule de ma situation. J'ai ensuite attrapé le rouleau de gros scotch marron, il en restait une sacrée quantité et j'ai commencé à faire le tour de ma queue et de mes couilles. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que ce serait l'horreur lorsqu'arriverait le moment tant redouté de le retirer. J'allais devoir couper ou arracher mes poils et la douleur serait autant psychologique que physique.
Ils étaient derrière la porte et chacun leur tour, ils regardaient par le judas. J'entendais très nettement leur rires et heureusement pour moi, personne n'a pris l'escalier au même moment, comment aurais-je pu expliquer une telle situation à mes voisins? J'avais enfin fini de me préparer alors je sonnai à la porte en espérant qu'ils me laisseraient entrer aussitôt. La porte s'ouvrit et dans un éclat de rire, ils me tirèrent à l'intérieur.
Ils étaient là, plantés devant moi, me fixant tout en se foutant de ma gueule. Jonathan était un garçon plutôt maigre, pas de muscle, très fin, 1m80, 65 kg, le crâne rasé, un p'tit céfran à l'allure de racaille. Il portait ce soir là un tee-shirt et un jogging, et bien sûr l'accessoire indispensable: les baskets de marque. Rafi lui, était marocain, un p'tit rebeu comme on dit, musclé, très bien foutu, un regard sombre et loin d'avoir un visage d'ange. Lui par contre ne s'était pas changé, il portait le même pantalon et la même chemise. Il n'avait pas non plus changé de chaussures et donc bien évidemment, il avait gardé les mêmes chaussettes. Ils me poussèrent à l'intérieur de l'appart, les rires résonnaient dans ma tête, j'étais terriblement ridicule dans cette tenue, la honte se lisait sur mon visage. Ils allèrent se poser sur le canapé.
- Allez bizut, montre nous comme tu as bien obéi à nos conditions pour te laisser entrer chez toi. Tourne sur toi-même, montre nous ça.
- Regarde moi ça Rafi, la sauce lui coule sur la gueule, c'est trop crade, un truc de OUF!
- Et moi je trouve que le tablier lui va à ravir, et à ton avis, la chaussette, tu penses qu'elle a bon goût?
- Crois-moi, après une journée de boulot, je suis convaincu qu'elle doit être à son goût même si je suis sûr qu'il préférait la goût des tiennes.
- Attends, on verra ça pour plus tard...
- Yes, ne lui donnons pas tout de suite satisfaction, il faudra qu'il les mérite tes chaussettes odorantes.
- Maintenant bizut, fais face à nous et soulève ton tablier que l'on voit si tu as eu suffisamment de scotch pour entourer ton petit bout.
J'étais planté là à les écouter parler de moi sans rien pouvoir faire, j'ai donc obéi, je me suis mis face à eux, j'ai soulevé mon tablier et croyez-moi, la vision de mon sexe et de mes couilles scotchés de cette façon aurait fait mourir de rire n'importe qui. Et ce fut le cas. Pendant au moins cinq minutes, ils se sont tapés des barres de rire et je ne pouvais que constater le ridicule de la situation dans laquelle je m'étais engagée.
- Trop fort! Putain ça va faire mal quand on va t'arracher tout ça, trop fort, j'en peux plus il va me tuer ce mec, il est trop con, une vraie lopette, une vraie merde. Vas-y, bouge la tête pour confirmer que t'es qu'une merde.
- C'est bien bizut... Tu es très obéissant. Allez part en sautillant pour nous chercher une bière.
- Allez, mon bizut, fais la sauterelle, allez on sautille, en plus c'est trop cool pour toi car ça te fera pas mal aux couilles vu comme elles sont collées. Yes, trop fort, j'adore.
Alors me voilà, en train de sauter pour avancer jusqu'à ma cuisine. J'attrape les deux bières et je reviens tranquillement dans le salon. J'ouvre les bières devant eux et je leur donne à chacun la sienne.
- Bien bizut, t'es une bonniche très obéissante. Maintenant tu vas retirer ta chaussette, tu vas te mettre à quatre patte et tu va nous décrasser les chaussures. Tu vas tendre ta langue de bonniche et tu vas nous nettoyer les pompes. Tu commenceras par les contours, puis le dessus et quand ce sera nickel, tu finiras par les semelles. Comme ça, tu resteras pas sans rien faire pendant qu'on prend l'apéro.
Voilà, et ce n'est que le début de la soirée. Je n'étais pas au bout de mes peines. Mes Maîtres ne manquaient pas d'imagination. Si vous voulez tout connaître, alors j'attends vos commentaires sur mon mail.
Si vous pensez pouvoir remplacer mes maître, alors je serai à votre
disposition. Mon Mail : tompouss@hotmail.com
Au plaisir de vous lire.
Bizut76
tompouss@hotmail.com
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