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Comme prévu sur mes plannings, nous nous sommes donc retrouvés tous les trois pour la fermeture. Comme vous pouvez l'imaginer, il reste beaucoup de travail à faire lorsque le resto est fermé: passer le balai, la serpillière, faire la plonge, ranger l'ensemble des produits. J'avais à peine fini de descendre le rideau que la voix de Maître Jonathan retentit haut et fort:
- Alors Bizut, content de ta journée? Comme tu as pu le remarquer, nous avons tenu notre promesse, alors maintenant c'est à toi de jouer. Pour commencer, il va falloir te trouver une tenue pour que tu fasses le ménage, ce serait dommage que tu salisses ton joli costume.
- Ouais bizut, viens là, approche! Tout d'abord nous allons de faire de beaux cheveux avec cette belle serpillière. Ensuite, tu vas te mettre à poil. Allez bizut, exécution!
J'ai donc commencé à retirer ma cravate, ma chemise, mes chaussures, mon pantalon, puis mes chaussettes et pour finir, avec beaucoup d'hésitation, j'ai laissé descendre mon slip; j'étais alors devant eux totalement nu. Ma queue, si on peut encore appeler cela comme ça, avait comme qui dirait rétréci au lavage, ou c'est plutôt la honte d'être face à eux qui la faisait disparaître au milieu de mes poils pubiens qui je l'avoue était sans doute trop fournis à ce moment précis.
- Non sérieux Bizut, t'as que ça à nous proposer? Putain j'y crois pas, ça joue les hommes avec le pantalon mais quand on regarde de plus près, je me demande vraiment si l'expression avoir des couilles ne serait pas plutôt manquer de queue.
- (Mort de rire) J'y crois pas! Bouge pas bizut, il faut que je prenne ce truc en photo. Si je raconte ça à des potes, ils vont jamais me croire.
Les rires que j'entendais était d'une sincérité à vous mettre la honte pour le restant de vos jours. Non, ils ne se forçaient pas à se moquer de moi, j'étais vraiment totalement ridicule face à eux avec un sexe qui me trahissait au moment même où j'aurais eu besoin de son aide pour retrouver un peu de dignité. Et je dois vous avouer que d'avoir en plus cette serpillière sur la tête en guise de cheveux n'arrangeait rien au ridicule de la situation.
- Maintenant cher bizut, tu prends une de tes chaussettes et tu te la passes sur la queue. Ensuite, tu la maintiens avec ta cravate que tu noues autour de ta zézette et de tes noisettes. Au moins ça cachera la misère. Puis tu prends la deuxième chaussette que tu te coinces entre les fesses et elle a pas intérêt à tomber sinon je te promets que tu vas te retrouver comme ça au milieu de la rue.
- Oui Chef Rafi.
- Ok très bien, là t'es au top, une vraie p'tite femme de ménage! Va chercher ton balai et commence à nettoyer ce putain de resto.
J'ai couru chercher le balai et je vous jure que j'ai serré les fesses pour maintenir à sa place ma chaussette qui pendait entre mes fesses. J'ai commencé le ménage, passé le balai dans la salle puis dans la cuisine. J'étais très concentré, la peur au ventre de me retrouver ainsi dans la rue si je les décevais.
- Bizut, amène nous une bière.
- Oui Maître Jonathan, à vos ordres.
J'ai fait au plus vite et dans ma précipitation, j'ai desserré les fesses. La chaussette est tombée, là, sous leur yeux, pendant que je leur tendais la bière.
- Ah non là bizut t'assures pas. On ne te demandait pourtant pas grand chose et une fois de plus, tu nous déçois. On va devoir encore te punir.
- S'il vous plaît, non, je vous en supplie. Ne me faîtes pas sortir ainsi dans le rue. Je ferai ce que vous me demanderez. S'il vous plaît!
La peur et la honte au ventre, je m'étais mis à genoux et me voilà, moi le directeur, en train de supplier mes employés de ne pas m'humilier d'avantage.
- Ok bizut, très bien, re-coince toi la chaussette dans la raie et retourne au ménage. Nous verrons pour ta punition plus tard...
- Merci Maître Jonathan!
- Alors Jo, t'as l'intention de lui faire quoi comme punition cette fois-ci?
- Bouge pas, donne moi deux seconde que je finisse ma bière et je te la prépare mon idée!
- Vas-y, dis-moi! T'as quoi de prévu?
- Ma cannette une fois vide, je vais la remplir tranquillement et je la lui donnerai à boire pour le féliciter d'avoir si bien fait notre fermeture, qu'en penses-tu?
- Attends, tu vas la remplir avec quoi? L'eau des chiottes?
- Mais non! Sérieux, tu manques vraiment d'imagination!
À ce moment là, Jonathan a baissé sa braguette, a pris la cannette discrètement sous la table et a commencé à pisser dedans. Moi de mon côté je finissais de nettoyer et j'étais sur le point de leur dire que j'avais fini; je n'avais rien vu.
- Mon bon Rafi, voilà mon idée pour le féliciter! À toi de trouver l'idée pour le punir. Fais marcher ton imagination s'il te plaît.
- Ok attends je réfléchis. Un bizut, que va-t-on bien pouvoir lui faire faire... C'est bon! Je l'ai l'idée du siècle. Crois-moi, on n'a pas fini de se fendre la gueule.
- Allez bizut, t'as fini ton taff de femme de ménage, ramène tes fesses ici; on a quelque chose pour toi. Tiens Bizut, y'a pas de raison qu'on soit les seuls à boire un coup. On va trinquer à notre nouvelle collaboration. Tiens, voilà ta canette...
- Merci Maître Jonathan. Ça donne soif tout ce ménage. Je ne pensais pas que c'était autant de travail. Je suis désolé si j'ai été dur avec vous certains soirs.
- Putain, ferme ta gueule! Tu joues à quoi là? Tu essaies de nous faire changer d'avis sur toi? Mais mon bon bizut, tu n'es qu'une merde et bientôt tu seras une merde qui boit de la pisse. Alors ferme là et bois ta bière avec nous.
- Oui Maître Jonathan.
Il m'avais donné un indice et je n'ai pas su le saisir. Il m'avait fait comprendre ce qui se trouvait dans la canette et je n'ai pas compris. J'ai pris les premières gorgées à pleine bouche car ma soif était intense mais toujours sans réaliser ce que je buvais. Ensuite, j'ai senti le goût sur ma langue, ce goût salée et amer de la pisse. Et puis je dois dire que de voir leur regard écoeuré et moqueur m'a fait de suite réaliser ce qui se passait.
- Allez bizut, on avale tout! On fait pas le difficile. Je me suis donné beaucoup de mal pour te faire une bonne boisson de bizut, alors ne fais pas offense à ton Maître et montre lui comme tu es reconnaissant pour ce qu'il a fait pour toi.
- Oui Maître, merci Maître.
J'avait le coeur au bord des lèvres mais j'ai bu, tout, gorgée après gorgée. Puis avec une paille, ce qui les a vraiment beaucoup amusé. J'étais rouge de honte et toujours dans ma tenue de femme de ménage, ridicule comme jamais.
- Il est super ce bizut. Maintenant à moi de te dire ce que tu mérites pour avoir fait tomber ta chaussette. C'est avant tout un jeu où l'on adore asperger le bizut de toute sorte de sauces. Là maintenant, tu vas gentiment remettre ton slip et nous allons le garnir avant de te laisser partir.
- Mais Chef Rafi, je suis en transport en commun et dans le métro, je risque de me faire repérer?
- Ça mon gars, c'est franchement pas mon problème. Allez, action!
- Là mon cher Rafi j'adore cette idée, je vais chercher la mayo, tu t'occupes du ketchup et la moutarde, n'oublions pas la moutarde...
- Ok bizut, approche-toi de moi... Ouvre ton slip par le devant, bien comme ça, et donc je te baptise au nom de la mayo et du ketchup comme bizut de dernière catégorie.
Et là j'ai senti les sauces couler dans mon slip, inondant mon sexe, mes poils et mes couilles. C'était super crade mais leur fou rire en disait long sur le plaisir qu'ils prenaient à m'humilier.
- Maintenant bizut, comme tu nous a prouvé que tu n'avais pas de queue mais plutôt une saucisse cocktail, nous avons eu envie de te montrer ce qu'était une saucisse de taille normale. Tu vois cette jolie saucisse à hot dog, et bien nous allons la préparer à la moutarde. Comme tu le vois, j'applique bien de la moutarde sur une des extrémité mais aussi tout le long afin que le client ne soit pas déçu de ne pas avoir de la sauce partout. Maintenant le problème, c'est qu'il va falloir la réchauffer et rien de mieux qu'une étuve à 37°C. Retourne-toi bizut et baisse ton slip.
J'avais cette fois-ci bien compris ce qu'il avait prévu pour finir en beauté cette soirée. J'étais tétanisé par la tournure que prenait les événements mais j'ai obéi, je n'ai pas osé contester. Une fois de plus, j'ai cédé et je signifiais ainsi que je serais définitivement à leurs merci et à leurs ordres. J'ai alors baissé mon slip et comme Maître Jonathan me l'a ordonné, j'ai écarté mes fesses, exposant à leur yeux mon petit trou encore vierge de toute intrusion et je sentais que la douleur ne serait pas forcément celle de la pénétration mais plutôt la brûlure qu'allait occasionner la moutarde.
- Allez mon bizut, on se décontracte et ça va aller tout seul. Bien, comme ça, tu vois ma lopette, ça rentre tout seul. Attention, la jolie saucisse va bientôt disparaître: un, deux, trois... Elle est plus là.
J'ai senti la saucisse entrer et mon anus se refermer dessus. Il m'a claqué les fesses et sans rien dire d'autre, m'a ordonné de me rhabiller en vitesse car il était temps pour eux de repartir. Mais voilà les consignes:
- Tout d'abord, mon cher bizut, tu as interdiction de te séparer de cette saucisse. Demain lorsque tu nous verras arriver, tu nous montreras qu'elle est toujours à sa place et nous verrons à ce moment précis ce que nous en ferons. Est-ce bien compris?
- Oui Maître Jonathan, oui chef Rafi.
- Bien allez, tchao! À demain.
Je les ai regardé partir et surtout entendu partir avec leur rire et leurs moqueries. Moi, j'étais là comme un con, le slip trempé par la mayo et le ketchup avec une saucisse enduite de moutarde qui me brûlait le cul.
J'ai donc pris les transports comme cela, avec l'espoir que le mélange de sauce ne finirait pas par traverser le pantalon, peur de me retrouver avec une énorme auréole de gras au niveau de mon entrejambe. Mais quoiqu'il arrive, il m'était quasiment impossible de marcher normalement et les personnes autour de moi le remarquaient à chacun de mes mouvements. La honte me tiraillait le ventre mais ma queue, elle, ne cessait de vouloir se réveiller. Je sentais l'érection toujours à la limite de se produire. La honte mêlée à l'excitation de ce petit jeu entre ami commençait à se faire sentir. Le point de non retour...
Bizut76
tompouss@hotmail.com
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