Épisode précédent
02 Vacances
Les vacances de Toussaint arrivèrent, Etienne allait être là pour une semaine entière. J'étais loin de me douter que tout aller basculer cette semaine là.
Depuis quelques temps, je commençais à culpabiliser : Etienne me bouffait le trou comme un affamé et pompait mon zob goulument, alors que je n'avais jamais touché sa teub, pas même essayé de le branler. Je me disais que je devais lui rendre la pareille, mais n'osais pas...
Hasard des jours fériés, la Toussaint tombait un vendredi, Etienne rentra donc le jeudi soir. Nos parents étaient invités chez des amis et nous proposèrent de venir. Nous refusâmes, arguant du prétexte que nous devions peut être aller à une soirée chez les gamins des gendarmes.
Dès qu'ils furent partis, Etienne se dessapa pour finir à poil. Il avait en plus développé une tendance exhib assez marquée. Je fis de même, déjà à moitié raide.
Les années passant, la technologie avait évolué, nous avions eu notre premier PC sous Windows 3.1. Etienne avait ramené un CD-ROM X obtenu d'un magazine, qu'il avait acheté auprès d'un mec de sa classe. Nous insérâmes la galette dans le lecteur et commençâmes à parcourir le contenu.
La branlette démarra lentement sur un diapo des photos de gonzesses jambes écartées et moules offertes, parfaitement épilées. Nous faisons des commentaires sur les seins et les chattes des unes et des autres quand le logiciel de visualisation passa au dossier suivant, et apparut un mec canon, baraqué et doté d'une belle et imposante teub. Puis au bout de quelques secondes, la suivante, du même acabit. Nous nous étions tus, et je lui dis :
- Tu veux zapper ce dossier ?
- Pourquoi tu veux zapper ? Puis, avec une pointe de sarcasme : ça fait des années que j'ai remarqué que la bite t'excite, vu comment tu dévores la mienne du regard à chaque fois...
Je rougis et répondis :
- Visiblement t'as l'air d'aimer ça aussi vu comment tu me suces...
- C'est vrai, j'ai sucé un pote un jour chez lui, tu te souviens de Fabrice ?
- Fabrice ??? Il était vilain.
- Ouais mais sa bite était marrante. On se branlait devant un film de cul, bizarrement j'ai pris sa bite dans la main, lui a fait pareil, puis j'ai eu envie d'essayer de le pomper. Il avait un gland plus gros que le reste ça faisait un champignon. On s'est sucé en 69 jusqu'à ce qu'il jouisse, j'ai pas aimé son foutre...
- Ah c'est pour ça que tu me finis toujours à la main ??
- Oui, ça me dégoute le sperme dans la bouche, j'aime pas le goût.
La diapo d'éphèbes bien membrés continuait de défiler en arrière plan, nos queues s'étaient ramollies à force de parler. La diapo passa sur un nouveau dossier avec à nouveau des meufs, entre elles cette fois-ci.
Je m'étais levé pour aller boire et entendis sa voix :
- Tu veux qu'on se finisse devant une vidéo ?
- Ouais ! criais-je depuis la cuisine.
Quand je revins, une salope était en train de se faire tringler la fente par un black pendant qu'elle bouffait la moule d'une blonde siliconée.
Nous nous branlions chacun dans notre fauteuil quand je pris mon courage à deux mains, et sa teub par la même occasion. Je commençai à le branler, il ne dit rien. J'adorai sur le champ le contact de cette peau douce, soyeuse comme une peau de bébé, la sensation de puissance qui dégageait de ce morceau imposant et dur comme du bois, irrigué par des veines épaisses.
Sa bite avait finit de grandir pour devenir monstrueuse et dépasser à vue de nez le double décimètre.
- Putain elle est énorme j'ai du mal à fermer ma main autour.
- Ouais j'ai toujours pas réussi à baiser de meuf à cause de ça...
- Combien elle mesure ??
- Je sais pas, tu va chercher une règle ?
Je revins avec ma règle de cours pour la planter à la base de sa tige. 21 cm de longueur. Autant dire qu'avec 16x4 cm, je faisais pâle figure à côté et me sentais complexé comme jamais. Puis je tournai la règle à 90° pour asséner un 6 cm de largeur.
21x6, très épaisse mais pas ronde, plutôt large et aplatie, avec un gland bombé et s'épaississant très rapidement, des veines énormes sur tout le pourtour de cette verge, terminée par 2 grosses couilles pendantes qui devaient faire le double des miennes.
- Putain mec qu'est-ce que j'aimerais avoir ta bite ! Moi j'ose même pas me foutre à poil dans les douches après les cours de sport parce que je crois qu'au repos j'ai la plus petite de la classe...
- Ben moi j'ai arrêté car des Antillais de ma classe étaient persuadés que je bandais alors qu'elle est au repos...
Je repris ma branlette pendant que lui m'astiquait. Je sentis au bout d'un moment son zob devenir plus dur, se tendre et 3 jets de foutre épais vinrent retomber sur son ventre et ma main. Tout était épais chez lui, même son jus.
Il finit de me branler puis nous nous préparâmes pour aller voir nos potes.
Au retour de notre soirée, vers 3h du mat, nous vîmes la voiture de nos parents qui étaient rentrées. Nous nous fîmes discrets pour rejoindre nos chambres, voisines. J'étais allongé à poil sur mon lit, lumière en mode veilleuse, en train de me caresser la bite déjà dure, quand Etienne débarqua quelques minutes plus tard dans ma chambre, à poil et avec une érection déjà bien entamée.
- Qu'est-ce que tu f...
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'il avait englouti mon zob entre ses lèvres puis il me dit " retourne-toi, je vais te dévorer le trou du cul "
Je me mis à 4 pattes sur le lit et lui présentai ma rondelle qui commençait à avoir quelques poils.
" Il faudra me raser ça, dit-il, ça se fout entre les dents " Il s'installa sur le lit derrière moi, et son gland frôla ma raie. J'eus l'impression de recevoir une décharge électrique et un frisson parcourut mon corps. J'eus subitement envie de sentir sa teub en moi, mais la largeur me fit peur et je ne réagis pas. Sa langue me dévora les entrailles comme jamais puis il se redressa, haleta plus fort et je sentis son foutre chaud atterrir sur mon dos, ce qui eut pour effet de me faire gicler sur mes draps aussitôt.
- Putain tu fais chier, je vais dormir dans des draps gluants de foutre !
- Bonne nuit petite salope, me dit-il en déposant un dernier coup de langue sur mon trou avant de se casser dans sa chambre.
Cette nuit là, le sommeil mit du temps à revenir. Les évènements de cette soirée, la discussion, et surtout ce frôlement que je sentis lorsque son zob effleura ma rondelle me firent beaucoup cogiter. Et puis pourquoi me traiter de salope ? C'est pas moi qui pompe et bouffe un cul ! Sans compter qu'il ne m'a jamais baisé ! Pour qui il se prend ce type ? J'étais énervé et excité.
Le lendemain matin, ma décision était prise : puisqu'il m'avait traité de salope, j'allais lui montrer que je pouvais en devenir une vraie. Il me restait 1 semaine de vacances pour atteindre ce but !
Mark
markcho31@gmail.com
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