01- LA découverte
Plus jeune, j'ai découvert que me comporter comme une salope en manque devant un bon zob était quelque chose de naturel chez moi, et que, malgré mon attirance pour une bonne chatte humide, j'adorais également avoir une bite dans la gueule, baver dessus, la pomper, me faire bifler, me faire limer la tronche, le fion et tout recevoir dans la bouche. Au fil des récits, vous allez vous replonger dans ma jeunesse de bouche à bites, et voir comment je suis devenu le garage à teubs que je suis aujourd'hui.
Tout a commencé avec Etienne, le fils de mon beau-père. Ma mère s'était remariée avec un homme qui avait un fils de 3 ans mon aîné.
Etienne était précoce sexuellement et m'avais initié tôt à la masturbation.
Nos parents décidèrent de partir s'installer en Martinique, en nous emmenant avec eux. Commença une nouvelle vie à Saint-Pierre, au nord de l'île, au soleil, avec dépaysement et nouveaux amis en classe.
Pour Etienne, un inconvénient avait surgi : s'approvisionner en films de boules en VHS était devenu compliqué. Je n'en avais jamais vus, mais il m'avait dit qu'il avait du mal à trouver des films encore mieux que les érotiques de M6...
Un jour, alors que j'étais seul à la maison, il rentra triomphalement avec une VHS dans son étui carton à la main, disant, " j'ai un film de cul ! tu veux qu'on le regarde ? ". J'acquiesçai, et nous nous installâmes dans le canapé pour mater la cassette. C'était l'enregistrement Canal+ d'un film avec Zara White, sur la musique Oxygène de Jean-Michel Jarre (que je ne peux plus écouter normalement depuis...). Dans la scène qui m'a le plus marqué, la délicieuse Zara commençait par sucer langoureusement avec un regard provocateur une Knacki, avant de sucer une saucisse bien plus grosse que le monsieur en face d'elle avait entre les jambes. Etienne s'était mis à se branler, et moi aussi.
Sa queue avait beaucoup grossi. Etienne était circoncis, et un gland large couronnait un manche épais et massif. Je lui dis qu'elle était énorme, il fut tout fier de la mesurer devant moi pour annoncer un 16x5 cm et me rassura en disant que ça m'arriverait également et que moi aussi j'aurais une plus grosse bite un jour, mais que ça pouvait être chiant avec les filles, car la meuf qu'il avait essayé de baiser avait eu peur devant la largeur de son engin.
Ce jour là, j'eus une révelation. Cette queue épaisse me fascina et je me rendis compte qu'en me branlant, ce n'était plus le film que je matais mais ce zob énorme qui s'astiquait sous mes yeux. La seconde révélation fut lorsqu'il éjacula.A la vue de ce liquide blanc et gluant jaillissant avec puissance de cette teub massive, j'eus également un orgasme que je n'avais jamais ressenti avant, sans jus certes, mais très puissant en terme de sensation.
Depuis, lors de me branlettes nocturnes, je ne visualisais plus Zara en train de se faire ramoner la moule, mais le chibre de mon demi-frère s'astiquant devant moi tel un cobra jusqu'à cracher son venin
Les mois passant, ma queue se mit à grossir également, sans toutefois atteindre la taille de celle d'Etienne, qui avait continué de croître... Elle était déjà très imposante au repos, alors que la mienne était ridicule. Je me résolus à me dire que je serais une " petite " bite (16x4 en réalité ce qui est honnête avec le recul, mais complexant quand on est ado, surtout avec un demi-frère monté comme un âne). Cet état hypnotique dans lequel me mettait la vue d'un gros zob s'accentua. Dans les films de boule, seule la vue de la bite de l'acteur m'excitait. Bruno, un pote de lycée avait lui aussi une cassette porno, des blacks bien montés qui démontaient des petites blanches hurlant de plaisir/douleur. J'adorais ce film à cause de ces grosses teubs luisantes de mouilles, et je matais discrètement mon pote, lui aussi plutôt bien dôté. Je vous raconterai d'ailleurs une autre fois comment il a fini par me baiser.
Un jour, lors d'une de nos branlettes communes devant un film, Etienne dut sentir mon regard concentré sur lui (il s'était étoffé, faisant du kayak, et des pectoraux et abdos finement dessinés étaient apparus, avec sa gueule d'ange légèrement blondi par le soleil, il était craquant) car il se retourna vers moi et me demanda avec aplomb : " tu t'en sors ? "
- Euh... qu'est ce que tu veux dire ? demandai-je surpris
- Ben, tu fais que me mater depuis pas mal de temps et tu jouis jusque après que je gicle, je me demande si t'as pas de soucis pour te branler...
- Euh... p-pas du t-tout... répondis-je un peu paniqué.
- Mouais, je vais te branler tu verras ça ira mieux !
Et, sans quand je n'eus le temps de réagir, sa main était déjà posée sur ma bite et commençait à me branler. Je jouis au bout de quelques minutes dans sa main, honteux. Il essuya mon foutre sur mon t-shirt et repris sa branlette devant la meuf qui se faisait déboîter le cul par Rocco Siffredi.
Je quittais la pièce confus et silencieux, ne sachant que penser de ce qui venait de se passer... Le soir-même, je me jouis comme jamais en m'imaginant astiquer son zob avec mes mains...
Depuis, un rituel s'était installé et de temps en temps, j'avais droit à cette question rhétorique " tu t'en sors ? " suivi de sa main qui me branlait en même temps que lui.
Les années passaient. Nous nous voyions moins souvent car lui était en internat à Fort-de-France et ne rentrait que le week-end.
Le week-end suivant la rentrée, Etienne rentra. Le samedi soir, alors que nos parents étaient sortis, nous nous astiquions tranquillement devant une nouvelle VHS prêtée par un pote, quand la question fatidique surgit : " tu t'en sors ? "
- Ouais...
- Je l'impression que non, je vais t'aider...
Je m'attendais à sentir sa main, quand je vis sa tête se pencher sur ma bite et sentis ses lèvres autour de mon gland. Je ne dis rien, il continua de lécher puis sucer mon gland, s'enfonçant petit à petit sur la longueur de mon zob. Il quitta la tige pour me bouffer les couilles, qu'il aspirait rapidement entre ses lèvres. Les va-et-viens de sa bouche commencèrent, de plus en plus humides avec des bruits de succion, il salivait beaucoup. Je sentis son nez contre mon bas-ventre, il avait englouti ma queue au fond de sa gorge. Il sentit que j'allais jouir et se retira en me disant " pas tout de suite... ". Il descendit sur mes couilles, les lécha, puis continua de descendre pour arriver dans ma raie. Il s'agenouilla devant le canapé, me tira un peu plus sur le dos, m'écarta les jambes, de façon à ce que mon trou se présente à hauteur de sa tête et plongea sa langue sur ma rosette. Cette sensation nouvelle me transporta sur une autre sphère. Je me mis à gémir comme jamais, sentant sa langue qui tournait autour de ma rondelle, essayant de pénétrer mon intimité. Puis au bout de 10 minutes de ce bouffage de cul en règle, me laissant tout essoufflé et tremblant, il remonta sur ma queue, se baisa la gorge dessus et finit par me faire exploser en me branlant. Jamais je n'avais jouis autant, j'avais du foutre jusque sur le front tellement le jet était puissant.
Sans rien dire, il se retourna vers la télé et finit de se branler.
J'étais sans voix, haletant, englué de mon propre jus, et j'avais été totalement passif... J'avais laissé ce mec me violer avec sa bouche et sa langue sans réagir. Nous nous douchâmes après cette séance torride puis sortirent rejoindre nos potes, j'ai même emballé une meuf ce soir là, pendant qu'Etienne s'est fait sucer par Coralie, la fille de l'adjudant de la gendarmerie de Saint-Pierre, une vraie salope.
Tous les week-end, le rituel avait évolué, et je me faisais désormais pomper et bouffer le cul par Etienne dès que l'occasion se présentait.
Les vacances de Toussaint arrivèrent, Etienne allait être là pour une semaine entière. J'étais loin de me douter que tout aller basculer cette semaine là.
Mark
markcho31@gmail.com
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