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Chapître 3
Quelques jours passèrent et je n'avais toujours pas de nouvelles de mon frère et lui non plus n'avait pas de nouvelles de moi puisque je ne l'avais pas appelé depuis mon départ précipité de l'autre jour. Cela ne semblait pas le soucier davantage que cela alors pourquoi devrais-je m'en faire après tout.
Ma mère, elle, s'était enquis de savoir si tout allait bien pour moi et Kader répondit à ma place à son texto. Il faut dire que la situation était un peu délicate pour moi quand le message arriva, j'avais les mains attachées dans le dos, les couilles tirées en arrière par une cordelette bien tendue et liée à ces menottes. Sur mon torse, une chainette reliait deux pinces à seins mais aussi mes couilles. La cordelette dans la raie de mes fesses et la chaînettes sur mon torse étant en désacord total sur le trajet que devaient emoprunter mes bijoux de famille, la situation, comme je vous le disais était plus que délicate.
La douleur était intense et comme souvent dans ces moments-là, pour adoucir ma peine, Kader dans sa grande bonté me faisait sucer sa bite. Et c'est vrai que j'aimais sucer sa bite. Mon cerveau avait déjà bien enregistré que pour ressentir du plaisir avec Kader, il me faudrait en même temps ressentir de la douleur. Mes neurones transmettaient simultanément les deux types de messages, les mixaient et les soumettaient à mon approbation. Il n'y avait plus qu'à acquiescer. Je le faisais généralement en répondant à une question de Kader du genre : "ça va Julien ?" ; je hochais la tête et lui continuait généralement en me disant : "C'est bien Julien, tu apprends vite alors on va pouvoir augmenter un peu la dose si tu veux bien, il faut que tu apprennes à morffler, t'es là pour cela après tout ..."
Je le regardais alors avec des yeux horrifiés. Il me souriait alors et sur un ton monocorde tout en me souriant, il reprenait son discours :
? Fianlement, Julien, tu apprends moins vite que je ne le souhaiterais, il va falloir que je te réexplique une nouvelle fois, mais comme je n'aime pas me répéter, tu vas être puni pour cela !
? Voyons, Julien, à qui appartient ton cul ?
? À vous Maître
? donc je peux en disposer comme je veux, non ?
? Oui Maitre
Et généralement, un coup de fouet sévère s'abattait sur mes fesses.
Et lui continuait :
? Julien à qui appartient cette petite bite ?
? À vous Maitre
? donc, logiquement, je peux en disposer comme il me semble, non ?
? Oui, Maitre
? Et là, un coup de badine me cinglait le pénis. Mais ce n'était pas fini :
? Julien à qui appartiennent ces deux belles couilles ?
? A vous Maître
? Alors, pourquoi, dis-moi, je ne pourrais pas les corriger un peu, hein, si l'envie m'en prend, dis-moi un peu pour voir !
? Comme il vous plaira Maitre...
Le plus souvent alors, il disposait une large cuiller en bois sous mon paquet. Mes couilles épousaient alors tranquillement l'arrondi de la cuiller et l'instant d'après, la dite cuiller plongeait vers le bas avant de remonter aussi vite. L'impact généralement m'arrachait un cri tandis que Kader souriait, satisfait.
? Mais ne perdons pas le fil et revenons à cette histoire de texto un instant.
? Kader venait donc de passer beaucoup de temps à ajuster la tension des liens sur mes couilles et sur mes tétons et il était plutôt satisfait de son travail, il commençait même à tirer du plaisir à m'entendre geindre et à me voir grimacer, il y avait donc, en toute logique, peu de chances qu'il me détachât pour que je puisse répondre à un banal message de mes géniteurs. Comme j'étais maintenant ficelé comme il lui convenait, il ne lui restait plus qu'à en tirer tout le plaisir qu'il en escomptait. Ce qu'il fit pendant l'heure qui suivit. Maman pouvait bien attendre un peu après tout tandis que je m'appliquais de toutes mes forces à satisfaire les besoins primaires de celui qui fût pendant l'année mon prof de maths et qui devenait pendant mes vacances, mon Maître ! C'était d'ailleurs ainsi qu'il désirait que je l'appelle maintenant.
?
? Alors, il écrivit "ma" réponse, à ma place, en ces termes :"Tout va bien pour moi, maman chérie, pas de souci ! Je me suis fait de nouveaux amis et on passe beaucoup de temps ensemble à faire les fous comme des gamins qui découvrent chaque jour de nouveaux jouets ; Je te raconterai ; Je t'embrasse, bisous à papa, Julien " .
? Il me montra ensuite l'écran tandis que je sentais l'impatience de sa bite dans ma bouche et il me demanda : "ça ira comme ça mon petit Julien ? Faut toujours rassurer sa maman ....". Je fis "hu hu ..." suivie d'un "Ooooouuch !" car Kader venait de tirer un bon coup sur les pinces à seins en me disant : "on ne me parle pas la bouche pleine, ce n'est pas poli ! Ta maman ne t'a jamais appris cela ?
? Puis sa main droite se plaçant derrière ma nuque rageusement, il maintint fermement ma tête tandis que d'un coup de bassin bien ajusté, il logea son gland au fond de ma gorge et là, il me repeignit l'oesophage en grognant son plaisir.
? De sa main gauche, il appuya sur "envoi" en me disant : "voilà, comme ça ta maman sera rassurée !"
? J'avais toujours son gland en fond de gorge, je ne pouvais plus respirer, je levais mes yeux implorant vers Kader, des larmes coulaient malgré moi sur mes joues. Maman me répondit, Kader me déboita le fond de gorge, j'avalais un grand bol d'air comme après une longue apnée au fond de la piscine et Kader lut de sa belle voix le message de maman : "merci mon chéri, amuse-toi bien, avec tes nouveaux jouets, je t'embrasse !"
Fin du chapître 3
NB : Cette histoire est une pure fiction qui se déroule à une époque rêvée où les MST n'existent pas. Hélas, cette époque étant révolue, protégez-vous, SVP !
(merci à ceux qui m'ont adressé un commentaire, après la parution du précedent chapître, ça fait toujours plaisir !)
Ggag92
ggag92@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Moi, Julien, la petite pute