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Tout en pompant Miky, Jaco lui écartait au maximum les fesses, et Toni s'installa au pied du canapé pour voir le petit trou rose ouvert sur du noir ; il posa ses mains sur celles de son frère et plongea sa langue sur le petit trou, arrachant aussitôt à Miky des cris de bonheur. Il le dévora littéralement, mit de la salive partout, enfonça sa langue à moitié, la tourna, tout en grognant. Miky délirait sous les caresses prodiguées des deux côtés ; il n'en pouvait plus : il lui fallait une bite. Il se dégagea, et s'assit délicatement sur la grosse bite de Jaco. Toni regarda attentivement l'intrusion du gland énorme, et la disparition de la matraque de son frère dans la rosette distendue. Il entendait les soupirs de satisfaction des deux. Miky entra en action et s'empala avec régularité à mi-bite, serré à la taille par les mains de Jaco. Entre deux gémissements, Miky dit à Toni de venir : il se mit debout sur le canapé et lui présenta sa queue, que Miky pompa sans arrêter ses va et vient. Au bout d'un quart d'heure, ils changèrent : Toni s'assit, Miky s'empala sur lui de dos, et Jaco lui présenta devant sa queue à sucer. Cette partie à trois les enflammait tous. Puis Jaco changea la disposition : il dit à Miky de se mettre en levrette dans le fauteuil en face. Il obéit immédiatement et cambra son cul qui restait un peu ouvert et suintait. Toni vint lui donner sa bite sur le côté de l'accoudoir et Jaco, après avoir monté le son, l'enfila direct, debout, jambes fléchies et écartées. Il y allait fort, faisait bien couiner son jeune amant. De plus en plus fort ; il lui pétait le cul ! Toni le lui fit remarquer, d'autant que secoué comme il l'était Miky n'arrivait plus à le garder en bouche.
- Plus c'est fort, plus il aime ! hein ? bébé ? dis-le !
- Ouiiii !.... ouiiii ! vas-y ! h !... aah !
- Tiens ! prends ça ! tiens ! rends-lui ta bite, monte dans le fauteuil !
Jaco se démenait comme une brute, Toni hallucinait de ce qu'encaissait Miky, qui gueulait, mais éprouvait beaucoup de plaisir à voir ses yeux révulsés. Et en effet il avait atteint l'état qu'il aimait : n'être plus qu'un trou rageusement labouré. Toni s'installa mieux et lui renfonça sa queue. Les puissants coups donnés par Jaco faisaient aller e venir la bouche exactement comme pour une pipe. Miky était donc réduit à deux trous labourés ! Jaco le traitait de salope en chaleur, le fessait et ne ralentissait ni la cadence ni la puissance. Toni sentit l'orgasme monter, en voyant son frère déchaîné, en l'entendant se lâcher, et en voyant Miky tellement soumis et prenant son pied. Il gueula longuement et sentit ses couilles se contracter comme jamais et balança son jus dans la bouche de Miky, qui eut le réflexe de resserrer les lèvres, et ne laissa rien s'échapper. Jaco acquiesçait bruyamment au plaisir de son frère, et donna les derniers coups de reins dans un délire de " salope !... péter le cul !... bouffe !... foutre... " et autres grognements, jusqu'à ce qu'il s'immobilise, et Toni vit tous les muscles de son frères se contracter : en plusieurs spasmes il garnissait le cul de son ptit jeune, qui gémissait suraigu la bouche pleine d'une bite et l'oesophage graissé par les décharges. Une fois vidé, Jaco vint présenter sa bite glissante au bord de l'accoudoir et Miky quitta celle de Toni pour celle de son homme. Il la suça délicatement et amoureusement. Toni vit dans ses yeux une expression incroyable d'admiration et d'amour. Jaco avait passé son bras sur l'épaule de son frère et essayait de reprendre son souffle.
- Eh ben, putain ! c'était chaud, souffla Jaco
- Hmmm, se contenta de répondre Miky occupé.
- J'ai les jambes coupées !
- Et moi donc, reprit Jaco. Ah purée, Miky, je t'aime trop !
- Moi aussi, répondit-il, lâchant enfin la bite.
Il redonna quelques coups de langue sur celle de Toni, puis avec mille précautions, se remit debout, serrant le cul à mort, et courut aux toilettes.
- Putain frangin, tu l'as décalqué !
- Mais il aime, t'as bien vu.
- Ah c'est clair, il était au paradis ! j'en reviens pas.
- Et faudra que t'en fasses autant quand t'as envie. Et crains rien, il encaisse.
- Ok, compte sur moi ; ça fait un bail que j'ai pas niqué aussi fort que toi.
- Eh ben il est temps de t'y mettre !
Et Jaco soudainement embrassa son frangin à pleine bouche ! Surpris une seconde, Toni lui offrit sa langue pour un long baiser viril, après quoi ils restèrent front contre front et essoufflés encore. Après une bonne tape sur la joue, ils se séparèrent et Miky revint vers eux. Jaco le prit aussitôt dans ses bras et le couvrit de baisers en le soulevant du sol. " Mon bébé, je t'aime ! ". Miky lui rendit baiser et déclaration et se laissa volontiers porter : il était scié. Ils se réinstallèrent dans le canapé, Miky étendu sur ses deux mâles, qui prirent enfin leur bière : Jaco lui caressait les fesses et Miky bisouillait la bite ramollie de Toni. Le match avait repris bien sûr. Mais ils discutèrent. Miky dit que ça n'avait pas été très discret pour Gabin. Jaco était d'accord, et il proposa d'arranger la chambre pour trois, car après tout Gabin aurait très bien pu débarquer dans le salon ! Ils se mirent donc d'accord sur l'achat d'un très grand lit. Miky frémit à l'idée de dormir entre deux colosses aussi merveilleux. Toni félicita Miky d'avoir réussi à faire bosser Gabin et même suggéré qu'il se douche plus souvent. Après une petite demi-heure, Miky se rhabilla et monta justement voir Gabin pour vérifier la leçon.
Penché sur un bouquin, torse nu, bite et couilles débordant molles en dehors du caleçon, Gabin tourna la tête en souriant. Miky s'assit sur le lit et l'interrogea, et Gabin répondit juste à chaque fois. Sa bite commençait déjà à grossir ! Après avoir tout vérifié, Miky lui dit de se mettre sur le lit ; sa bite était complètement dressée et Miky s'agenouilla et commença à le sucer. Gabin passa les bras sous sa nuque et se laissa lécher la hampe et le gland aux anges. Miky le débarrassa de son caleçon, et lui fit relever les cuisses : " une petite récompense " dit-il simplement. Gabin ne comprit qu'en sentant sa langue tourner autour de son trou qu'il allait se faire lécher le cul pour la première fois. Et ce fut une révélation ! Il l'avait bien vu faire à Jaco, mais là il sentait les vagues de plaisir qui lui partait de l'anus, et comme Miky se donna à fond, Gabin entra dans un délire qui lui fit perdre toute notion de temps et d'espace. Il garda un bras sous sa nuque mais de l'autre chopa sa bite et se branla, soufflant, gémissant, murmurant entre deu " ooooohhh ouais ! " des " vas-y, lèche-moi bien... bouffe-moi le cul, ouais... régale-toi " - car, aucun doute, Miky devait se régaler, à sa manière de lui écarter les fesses au max, de gémir lui-même, et de regarder Gabin, les yeux noyés dans la transe. Et quand Gabin n'était pas les yeux fermés à fondre dans le bonheur, il relevait la tête pour le mater et croisait ce regard bienheureux de bouffer un cul, et il en était encore plus excité. " Putain il prend autant son pied à bouffer de la rondelle qu'à bouffer de la bite ! ". Et déjà, à force d'écarter de ses doigts et d'appuyer de sa langue, Miky se régalait de muqueuses hyper sensibles que Gabin n'avait que très rarement sollicitée du bout d'un doigt. Il cessa de se branler car il aurait juté aussitôt. Il tint sa bite droite, et Miky admira un temps cet alignement parfait du gros gourdin raide avec les grosses couilles velues à la base, le périnée gonflé, mais se déchaîna aussitôt de la langue sur tout ce qui lui était ainsi offert, suçant le trou, les boules, le gland, léchant le frein puis redescendant, et de plus en plus vite. Impossible pour Gabin de tenir plus longtemps : un " putain ! j'vais cracher ! " attira forcément Miky vers le gland, qu'il suça sans cesser de presser d'un pouce la rondelle. Il empoigna la base de la bite pour sentir gonfler le pieu et tandis que Gabin ne pouvait réprimer ses cris, de belles saccades chaudes lui remplirent la bouche, qu'il dégusta voluptueusement. Et une fois bien garni de foutre, Miky redescendit lécher délicatement les couilles et le trou, le temps que Gabin se remette de ses émotions. Il était haché, selon son expression ! Il soufflait encore en demandant à Miky s'il allait le lui refaire souvent : " si j'ai toujours ce genre de doses, dit-il, tu peux en être sûr... et un cul bien propre aussi, hein ! " Quand Gabin se redressa au bord du lit, Miky était toujours assis par terre entre ses longues cuisses, et Gabin se dit que c'était génial. Ce mec, cette position, son talent, à son service. Miky, aux pensées pratiques aussi, parla des pipes du matin, qui allaient devoir être plus discrètes, car c'était seulement le lundi que Gabin ne commençait pas à 8h. En fonction du départ à l'heure (7h30) ou non des mâles, il faudrait prévoir la pipe après 7h30 ou alors dans la salle de bain discrètement. Les deux jeunes s'entendirent parfaitement. Puis Miky partit à la salle de bain, et alla au lit, où se trouvait déjà Jaco. Toni était couché. Gabin s'abandonna encore un moment au plaisir révélé de l'anulingus, prépara ses affaires et s'endormit comme un bienheureux, le dernier.
Mardi tout le monde se leva à 6h30. Miky purgea Jaco dans la chambre comme la veille, puis Toni dans la cuisine pendant que Jaco se douchait et avant l'arrivée de Gabin : il s'agenouilla entre ses cuisses pour lui téter le gland, alors que Toni lui caressait la tête en grognant de satisfaction et tenait son café de l'autre. Après une sacrée décharge et un petit bisou, Gabin arriva. Toni remonta en même temps que Miky qui se coula dans la chambre de Gabin, qu'il suça à la sortie de sa douche. Les couilles se vidèrent en deux minutes, et Miky comprit qu'il serait toujours gâté niveau production. Puis ce fut le triple départ. Miky débarrassa la table et se prépara, et partit à son tour pour être à 10h à la fac. Son pote Samuel l'attendait déjà devant les toilettes du premier étage de son bâtiment. Miky lui demanda pourquoi Pedro, son acolyte, n'était pas là. " Il a la crève ", lui répondit Samuel, alors qu'ils entraient dans les chiottes pour que Miky reçoive sa dose matinale. " Ah oui, j'ai su qu'un virus traînait ", répondit Miky en pensant au pote de Gabin. Ils attendirent qu'un mec ait fini de pisser puis s'enfermèrent dans une cabine, et Samuel sortit naturellement sa bite pour se faire sucer tandis que Miky s'asseyait sur la cuvette. Depuis qu'ils se connaissaient lui, Samuel et Pedro, les deux potes fournissaient Miky en jus, à la fac deux fois par jour, du mardi au vendredi. C'était toujours pareil : vidange à l'arrivée et vidange au départ. " Faudra te contenter de mes couilles ", lui dit Samuel faussement désolé. Mais Miky avait déjà la bite en bouche qui durcissait, et cligna des yeux en se régalant voracement des 19cm arqués.
mike
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