Premier épisode | Épisode précédent
Miky se leva une heure plus tard : il n'avait pas cours à la fac le lundi, mais Gabin commençait à 10h. Il lui prépara son chocolat et l'appela. Miky buvait son café quand Gabin apparut, à poil, magnifique, et la queue bandée à mort.
- Ma chambre est nickel, tu peux vérifier...
Miky ne résista pas cette fois ; il tourna sa chaise et s'approcha du gland - qui sentait pas mal !
- Tu t'es branlé combien de fois hier soir ?! ça sent !
- Ben deux fois... j'arrêtais pas de penser que tu me suçais...
- Si tu te rinçais, ça sentirait moins.
- Allez, tu veux pas ?
C'était quand même supportable, alors Miky fit à Gabin sa première pipe d'expert, et Gabin crut mourir de plaisir. L'odeur fut vite oubliée et Miky pompa comme un festin cette merveilleuse trique, caressant des boules hyper lourdes en même temps. Gabin exprimait bruyamment son bonheur, et en plus voyait Miky se régaler sans aucun doute.
Il pompait frénétiquement, et quand il s'empala la bouche pour une profonde, Gabin gémit et crut jouir tout de suite en sentant les amygdales lui branler le gland : " oh ! putain ! oh putaiiin ! ". Miky ne le lâchait pas, et tout en continuant les profondes, lui caressaient les pecs et les fesses, faisant un bruit hyper excitant et mouillé et gémissant lui aussi : il ne se contrôlait plus, tout au plaisir d'avoir un troisième exemplaire de bite parfaite. L'immense corps de rêve était déjà en train de se crisper. " ah, tu vas me faire cracher, putain ! hmmm ! ". Miky sortit sa queue et se branla furieusement. Il mit une main de Gabin sur sa tête, qui comprit et la lui tint en continuant de lui limer la bouche. Gabin gueula longuement, et Miky sentit les premières décharges laiteuses, jouit lui-même en soufflant, sa queue autant que sa bouche lui donnait un plaisir terrible. Le bonheur ! tout ce jus ! il sentait parfois la pression de la giclée sous le gland, et qui tapait contre son palais ou sa langue. Un délice vraiment ! Il lécha amoureusement le gland et toute la bite, en regardant bien Gabin, qui venait de toucher le paradis. " Oh putain, Miky ! comment tu suces ! jamais on m'a pompé comme ça ! ". Miky le regardait en souriant et toujours léchant la bite généreuse.
- T'aimes ça, ça se voit, putain c'est dingue ! t'as eu une bonne dose, nan ?
- Ouais, super bonne ! répondit Miky, lâchant enfin la bite, toute propre.
- En plus tu prends ton pied quand t'avales...ça s'entend !
- Ben j'adore ça, je peux pas résister au jus.
- Oh c'est pas moi qui vais te frustrer, si t'en veux t'en auras.
Gabin s'assit, encore sonné. Miky se rinça les doigts puis lui versa son chocolat, lui apporta de la brioche.
- En plus, tu me vides les couilles, tu me sers, t'es parfait, toi !
- Ah, Jaco l'a compris depuis longtemps !
- Tu l'as pompé ce matin aussi ?
- Oui, tous les matins, répondit-il sans parler de Toni.
- Alors là t'as deux maxi doses dans le bide ?
- Yes. Je me sens super bien.
- Le ventre plein, compléta Gabin en s'amusant.
- C'est ça.
Miky s'assit également et ils prirent leur petit déj ensemble, parlant de l'amour du sperme de Miky. Il expliqua à quel point il aimait avoir la bouche remplie par une bonne grosse bite, puis par le jus chaud et crémeux ; chaque gorgée avalée avec plaisir, comblant sa faim ou sa gourmandise ; l'impression d'être nourri... Et Gabin écoutait attentivement, n'en revenant pas, et se réjouissant pour l'avenir. C'était rare qu'on l'avale, lui, entre celles qui n'aimaient pas du tout, celles qui voulaient lui faire plaisir mais trouvaient qu'il y en avait trop ; et là il tombait sur une bouche qui n'attendait que ça, de se faire nourrir au jus de couilles.
- Et une journée normale, tu prends le jus de Jaco combien de fois ?
- Deux minimum, c'est plus souvent trois.
- Matin et soir donc.
- Oui, matin et en général au retour du boulot... Hé Gabin, l'heure tourne là...
Pas faux, il fallut en rester là et Gabin monta se préparer. Lui qui était fou de sa propre bite, admiratif de ses productions journalières, il avait trouvé la personne idéale ; après cette pipe, la meilleure de sa vie, il se sentait léger et serein, et n'attendait que la suivante. Et Miky, débarrassant la table, se félicitait de son bonheur, car il avait à dispo désormais les trois plus belles bites du monde, et des dégorgeurs exceptionnels.
Gabin partit en lui disant qu'il finissait à 17h. Miky avait son lundi ; il n'avait cours qu'à partir du mardi. Il appréciait cette journée seul, où il pouvait bosser ses cours (heureusement qu'il avait beaucoup de facilités), et prendre de l'avance pour être très dispo le reste de la semaine. Il rangeait un peu, traînait ; il lui arrivait de faire une sieste en respirant l'odeur de Jaco dans le lit, ou dans un slip. Il prenait un bain et se préparait amoureusement le cul pour son homme. Il examinait son corps, virait un ou deux poils et, après son lavement, se doigtait lentement en lubrifiant le tour intérieur de la rondelle. Maintenant qu'il y avait deux mâles de plus dans la maison, il fit le tour des chambres, huma le lit de Toni et un slip qu'il trouva dans la salle de bain, puis fit de même dans la chambre de Gabin, restée effectivement bien rangée. A chaque étape il bandait, et se branlait doucement sans aller jusqu'au bout. Il déjeunait peu, pensait toujours à Jaco en plein boulot, à sa fatigue, qu'il avait hâte de soulager. Et maintenant il pensait aussi à Toni et à Gabin, Toni qui lui aussi, avec son métier fatigant, avait besoin de se détendre, Gabin qui devait si souvent jouir pour arriver à se concentrer. Il les aiderait, bien sûr. Il pourrait rendre cette maison absolument paradisiaque. Les heures passant, Miky commençait à avoir soif de sperme, mais 17h approchait et il comptait sur Gabin.
Pendant ce temps, Gabin suivait sa journée de cours, bandant environ toutes les demi-heures en pensant à la pipe du matin, et aux futures ; il revoyait Miky la bouche peine, l'entendait prendre son pied en dégustant sa sauce ; il l'imaginait en bon vide-couilles toujours dispo. Il allait falloir que ça devienne vite une habitude pour qu'il y pense moins, parce que là, il allait jamais pouvoir se concentrer ! Toni, lui, à l'atelier, ne se souvenait pas avoir bossé aussi détendu et serein. Plusieurs fois dans la journée il banda violemment en se repassant les événements du week-end, surtout que ses collègues le cuisinaient sur son emménagement. Comme son fils, entre souvenirs et idée de l'avenir très agréable qui se dessinait, il avait du mal à maîtriser son excitation. Et Jaco, de son côté, qui était habitué depuis un bon moment et ne passait plus ses journées à bander (il bandait une demi-heure avant la fin du taf, en pensant à ce qui l'attendait au retour), constata qu'il rebandait assez souvent au fil des heures en pensant à son frère qui prenait son pied avec Miky et à la vie à trois qui s'annonçait. Ses collègues s'informaient aussi de l'emménagement et reparlaient de l'appétit de Miky.
- Quand même quel gourmand ce ptit gars !
- Ça ! on peut dire que t'es vernis, Jaco ! des pipes de rêve tous les jours.
- Et puis il avait un de ces regards tout en tétant le jus, tu te rappelles Daniel ?
- Accro complet, comment tu veux que j'oublie ? je sens encore sa langue sur mon gland...
- Les gars, vous bossez ou pas ?, interrompit Jaco, mort de rire.
- Tu m'étonnes que t'es motivé toi, tu sais ce qui t'attend en rentrant, dit Jérémy.
- Tu nous as enlevé notre petit gourmand.
- Euh vous blaguez ? je vous rappelle que d'une le chef a fait virer l'armoire quand on a réaménagé l'entrepôt, et que de deux il nous a chopé en camionnette avec lui une fois...
- Ouais, ouais, n'empêche qu'on pourrait remettre ça un de ces quatre, reprit Daniel.
- Tu sais bien qu'il en a jamais assez du jus...
- Ça, je peux pas vous dire le contraire... Je lui en parlerai... Bon, allez on s'y met ? ça sèche là...
Daniel et Jérémy s'étaient en effet déjà fait pomper par Miky, et pas qu'une fois, et Daniel l'avait même sauté (et recommencerait volontiers)... Jaco se rappela les premiers temps de leur relation. Il lui avait bien fallu six mois pour se rendre compte qu'il l'aimait ; avant, il voyait surtout un appétit de salope, il se disait qu'il avait son petit soumis en adoration devant lui, et il en profitait largement - et il en faisait même profiter les copains, comme avec Paul... Il se souvenait : Miky qui était rarement à la fac venait pomper les trois bites un peu avant la fin du taf... et la première fois qu'il l'avait surpris à genoux pompant le mandrin de Daniel en bleu de travail. Ca l'avait bien fait rire tout en dégainant le sien. Bien vite Miky était venu chaque vendredi une heure en fin d'aprem. Ils lui avaient installé une place dans une armoire métallique du dépôt installée en retrait de la porte. Quand l'un d'eux disait " Je vais au dépôt " à l'équipe avec un clin d'oeil à Jaco, ça voulait dire qu'il allait ouvrir la porte de l'armoire, la laisser un battant ouvert et se cacher debout derrière, sortant sa bite que Miky, assis avec une lampe et un bouquin, venait aussitôt sucer jusqu'à obtenir le bon jus de travailleur qu'il lui fallait. En quatre mois, tout s'était bien passé pour les trois gars, et puis le chef avait complètement bouleversé les rangements : finie l'armoire ! Miky était tellement accro à Jaco que certains jours, quand il faisait équipe avec les deux autres en déplacement, il partait avec eux dans la camionnette, une fois rendez-vous pris en ville, et bossait ses cours à l'arrière en attendant qu'ils viennent se faire sucer à tour de rôle. Non seulement ça lui permettait de voir Jaco et lui faire plaisir, car il était complètement fou de lui, mais aussi de recevoir une dizaine de multiples doses quand c'était journée complète, vu qu'ils se faisaient vider les couilles au matin, à la pause déjeuner et avant le retour à l'entreprise. En plus, Miky et les deux collègues s'entendaient super bien : Miky aimait leur virilité simple et directe, et eux aimaient son appétit décomplexé : c'est pas leurs femmes qui leur vénéraient la queue comme ça et suppliaient pour leur jus ! Et quand Jaco ramenait Miky à l'appartement social, il lui demandait souvent s'il s'était bien régalé, et Miky les yeux brillants d'amour lui confirmait en posant sa tête sur son épaule pendant qu'il conduisait. " Bon, bref, se dit Jaco, je vais lui demander s'il veut remettre ça de temps en temps ".
mike
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