Premier épisode | Épisode précédent
Miky rentra, soulagé, mais encore excité à l'idée qu'il n'avait bu que du foutre depuis son réveil et il était 10h. Les mâles avaient fait le café ; en tee-shirts et slips, ils l'attendaient et Miky s'installa entre eux ; ils déjeunèrent, et leurs mains se baladaient tout en mangeant puis les deux gars se levèrent : Toni partit réveiller Gabin. Vu qu'il n'était pas sorti il pouvait bien se lever plus tôt que d'habitude. Jaco commença à débarrasser, et prit des nouvelles de Paul. Mais l'idée que Miky avait pompé deux bites et pris des doses supplémentaires le refit bander comme souvent le dimanche. Ca ne risquait pas d'échapper à Miky qui s'agenouilla près de l'évier, baissa le slip de son homme sous les couilles et commença à sucer. C'est dans cette position que Toni les trouva, et les barrières tombèrent : il se joignit à eux, sortant sa queue mi molle. Miky l'engouffra et en une minute elle était raide. Les deux frères se tinrent par les épaules, planant sous le plaisir des caresses de Miky et de se retrouver ensemble pour le sexe, comme avant.
Ils se branlaient en même temps que Miky pompait : Gabin pouvait débarquer à tout moment, il ne fallait pas trop traîner. Pour le plus grand bonheur de Miky, qui ouvrit grand la bouche, les jumeaux debout, superbes, serrés l'un contre l'autre, lui envoyèrent ce qui leur restait dans les couilles, les yeux écarquillés de revoir leur jus réciproque après tant d'années, dont les jets se mêlaient dans une seule bouche assoiffée. Quand ils eurent envoyé les dernières gouttes dans le jeune gosier, Miky saisit leurs bites et lécha les glands avec amour. " Dis donc, ça ferait pas 6, ça ? " demanda Jaco l'oeil coquin. Il expliqua alors à son frère les pipes à la boulangerie, et Toni éclata de rire, rire qui se communiqua aux autres. Ah oui ! on pouvait appeler ça de la gourmandise ! Miky était heureux, avec ses six doses de jus mélangées à son petit déjeuner, et l'accord scellé avec les jumeaux. Les bites furent remballées, et Toni partit à la douche. Miky se serra
contre Jaco, en lui disant : " hmmm c'est génial ! ". Puis Gabin apparut.
Après la tournée des douches, la journée fut occupée à l'aménagement définitif pour quatre de la maison. D'abord un rangement global avant le repas, puis Miky devait surtout aider Gabin dans sa chambre et les jumeaux s'occuper du garage et des tas de feuilles et de bois de la veille.
- Bon, c'est clair, y a du boulot, dit Miky en s'asseyant sur la chaise de bureau de Gabin.
- Bah oui, j'ai toujours été bordélique..., expliqua Gabin assis sur le lit.
Miky était motivé et entraîna avec lui Gabin, et en une heure, tout était nickel. Plus rien ne traînait par terre. Miky ajouta malicieusement que Gabin pourrait continuer d'avoir un tee-shirt-au-pied-du-lit, et qu'il suffisait de le mettre au sale chaque matin. Gabin lui aurait bien répondu que Miky ferait mieux l'affaire qu'un tee-shirt, mais il s'y prit autrement. Puisque Miky voulait de la propreté, Gabin fit remarquer qu'il avait remis les fringues de la veille, et les enleva pour les mettre au panier. Il revint donc en boxer, qui lui était propre, et s'installa sur le lit, exhibant tous ses atouts devant Miky, qui eut vite la gorge sèche. Immense et replié sur le lit, Gabin avait les jambes bien écartées, dos au mur et les pieds au bord. Ils avaient fini mais Miky ne partait pas ; aucun ne parla. Ca réfléchissait dur dans la tête de Gabin, Miky lui ne pouvait pas : il était obsédé par le paquet bien plein du boxer.
- Ce serait bien que ça reste rangé maintenant, lança Miky, conscient du lourd silence.
- Ouais je sais, mais j'ai pas la motiv'.
- Ben le matin ou le soir, tu ranges un petit peu ; ce sera plus facile si y a qu'un peu de bordel.
- Oh tu sais (ça y est ! il avait trouvé !), moi dès que je rentre dans ma chambre, je pense qu'à me branler.
- Ah bon, à ce point-là ?
- Ouais, je peux pas penser à autre chose tant que je suis pas vidé.
- Et ta copine ?
- J'en ai pas, je nique à droite à gauche, et puis de toute façon je les fatigue, rajouta-t-il en riant.
- A force de les baiser ?
- Ouais.
- Mais tu te branles combien de fois par jour ?
- Au moins trois fois, les jours normaux.
- Ah ouais ! mais attends... même trois fois, tu jutes jusqu'à la tête de lit ?!
- Eh ouais ! t'as remarqué, répondit-il en se caressant la bite qui prenait sa plus belle forme cylindrique. Tu veux que je te montre ?
- T'es con, sourit Miky, la gorge serrée toutefois.
- Ah, comme tu veux, moi y a pas de problème avec ça. Quand je gicle c'est le Niagara, tu sais, et faut que j'écluse souvent.
- Tu penses qu'à ça ?
- Ouais presque.
- Et c'est pour ça que tu bosses pas ?
- Ben sérieux, entre la trigo et ma trique, j'ai choisi, tu vois.
- Ok, mais ton bac ?
- Je sais, je sais ; je peux pas me contrôler, me concentrer si j'ai les couilles pleines. D'ailleurs là, c'est plein, faut pas que je tarde.
Et il sortit carrément sa bite énorme, puis vira le boxer avant de reprendre sa position, empoignant sa bite.
- Ok, ben je vais te laisser, dit Miky feignant d'être à l'aise et se levant.
- Ben branle-toi avec moi, si tu veux ; autant qu'on soit cools entre nous.
- Nan, nan, jte laisse.
Mais il ne bougeait pas. Aucun doute : c'était la bite de Jaco, celle de Toni, la même ! Et les mêmes lourdes couilles, mais poilues, que son père. 80 % de Miky étaient déjà à quatre pattes en train de s'enfiler le pieu dans la gorge. Et même il avait presque déjà la sensation des gorgées de foutre qui lui coulaient dans l'estomac. Gabin, voyant Miky hypnotisé, avait commencé à se branler doucement.
- J'ai la même que Jaco, hein, c'est ça ?
- Oui.
- Tu pourrais me dire si je jute autant que lui aussi... Ca m'excite que tu mates, je sais que t'aimes les belles bites, et que tu kiffes le jus de mâles en plus...
- ...oui...
Ca y est, il se branlait vraiment, partait dans son délire, s'excitait à parler ; Miky s'était rassis, impuissant, se touchait le paquet, n'en perdant pas une miette.
- Mate ça, c'est pas un putain de morceau, ça ? C'est pas fait pour être sucé, ça ?.... putain que c'est bon ! si y avait une bonne bouche gourmande là... et avec ce que je vais cracher, putain...jte jure, y a de quoi bouffer !.... toi le connaisseur, regarde... regarde un peu ce que je vais cracher ! putain !!
Il avait étendu les jambes et ses cuisses se contractaient. Miky n'était pas loin de l'évanouissement, tellement son coeur battait fort. Gabin était d'une beauté à tomber, et avec ce corps, cette queue...Il gémit, et même cria, et un premier jet lui arriva entre les pecs, puis un autre au menton, bien distincts et bien blancs ; et ça s'enchaîna, avec deux gros jets qui éclaboussèrent le mur et une oreille, puis sa joue, ses pecs encore, quelques gouttes tombaient droit au moment du jet, sur son nombril. Gabin semblait se dégonfler en feulant de bonheur, et regardait autant que Miky le spectacle de sa production. Leurs yeux se croisèrent, et Miky vit la fierté irrésistible du mâle, Gabin la vénération du passif addict. Miky le savait : il voulait ce jus, et il l'aurait.
- Alors ? " heureuse ", dit malicieusement Gabin, un sourire jusqu'aux oreilles.
- Impressionnant c'est clair ; c'est comme pour Jaco.
- Tu veux goûter ? demanda Gabin, les yeux fixés, en ramassant de deux doigts une coulée sur son menton. Allez, juste goûter pour savoir si c'est aussi le même goût...
Miky, vaincu, s'avança et Gabin lui donna ses doigts : il les lécha, les téta : oui, c'était le même goût " délicieux ", lâcha-t-il. Alors Gabin lui donna toute sa main, souillée de traces blanches, et Miky nettoya. En voyant le vertige dans les yeux de Miky, Gabin fut lui-même troublé un instant, et murmura gentiment : " je vais t'en donner tant que tu veux... ça se voit tellement que t'aimes ça... mais tu suceras hein ? tu veux bien ? en secret, juste nous... ". Miky finissait le nettoyage. Il parvint à se reprendre pour répondre et se rassit.
- Bon, écoute le deal : si tu gardes ta chambre rangée, nickel, ok je te suce de temps en temps.
- Sérieux ?! (Gabin eut l'air d'un gosse qui reçoit la dernière box)
- Oui mais secret hein !
- Ouais ouais, sûr ! t'inquiète ! oh putain, ce serait trop cool !
- Ben tu voulais une motivation...
- Là ouais, nickel ! ... tu veux lécher le reste ?
Oh oui, Miky aurait bien passé tout le temps nécessaire à lécher tout ce jus, même sur le mur ; mais il voulut garder un semblant de distance, secoua la tête en riant (ou presque) et sortit, mais à la porte il lui dit : " c'est meilleur chaud, tu sais... " et disparut dans le couloir, direction les toilettes du bas pour une branlette en 30 secondes chrono. Gabin ne bougea pas du lit, mais intérieurement il sautait au plafond ! enfin ! enfin, une suceuse à dispo à la maison. Il se voyait déjà lui donner son gland à tout bout de champ, et se vider les couilles avec en plus la bonne conscience de lui faire plaisir avec son bon lait de mâle... oui, enfin... non, discret quand même... bon à voir, quand et où... mais en tout cas oui, finies les burnes pleines à faire mal !
mike
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