Famille recomposée 06

Famille recomposée - 06

Quand il descendit, Miky bossait sur la table du salon, les deux mâles regardaient la télé. Ils ne savaient pas qu'il était rentré. Comme Gabin ne sortait pas finalement à cause de la crève de Seb, Jaco proposa un resto à 4, qui fut accepté, pour fêter l'installation. Les jumeaux planifièrent pour le lendemain les derniers détails de l'emménagement. Il en fut encore question au resto, ainsi que des résultats de Gabin, inquiétants pour un doublant. Miky se proposa de l'aider, d'autant que Toni n'avait pas l'air de plaisanter du tout. Mais la soirée se passa très bien, et comme il n'y avait que 5mn en voiture, chacun picola pas mal ; Jaco n'arrêtait pas de remplir les verres. Gabin lança le sujet des premières aventures des jumeaux : comment ils étaient avec les filles au lycée, de leur temps. Jaco raconta un peu, mais tenant sous la table la main de Miky ; Toni y alla aussi de ses confidences. Au dessert, on apprit qu'ils avaient souvent baisé à 2, deux filles, ou une seule fille même. Miky rêvait à la virilité de ces deux mâles en pleine action. Leur gémellité en avait excité plus d'une. A la maison la picole continua. Mais les deux jeunes ne burent qu'un digestif et au bout d'une heure ils allèrent se coucher. Comme Miky se retournait en bas de l'escalier, Jaco le rassura en lui disant qu'il irait vite lui dire bonne nuit... Les deux frères restèrent dans le canapé et finirent la bouteille de vin du midi.

- T'en fais pas pour moi, tu peux aller lui donner sa tétée tout de suite, dit Toni.
- Oui, je vais y aller... j'attends que ça charge encore, répondit Jaco en se prenant le paquet avec un sourire.
- Bah, frangin, me dis pas que t'es à sec !?
- Quand même pas, s'esclaffa-t-il ; mais cet aprem il a bien pris...
- Ah ouais ?, demanda Toni en remplissant leurs verres.

Et Jaco raconta ; et il raconta dans tous les détails, les positions, les cris, le nombre de doses de part et d'autre. Il était décidé à bien chauffer son frère, et à le faire craquer. D'ailleurs, à le voir remettre en place son entrejambe, il savait que ça marchait. Un peu aviné, Toni sortit sa bite, bien bandée : " 'Scuse-moi, je me mets à l'aise ". Jaco l'imita, bien en forme lui aussi, et reprit son récit détaillé.
A l'étage, Gabin et Miky avaient un peu parlé du rangement de la chambre prévu le lendemain, et de l'aide que Miky pouvait apporter pour les cours. Mais Gabin n'arrivait plus à se concentrer : dès qu'il regardait Miky, il le voyait comme il l'avait vu plus tôt, défoncé, gavé, soumis à son mâle, et il se dépêcha de se laver les dents pour filer dans sa chambre et cacher la trique qu'il ne pouvait plus maîtriser. Miky chercha dans le panier le slip de Jaco, et partit au lit, se caressant le trou et respirant l'odeur de son homme en repensant à l'après-midi. 5 mn plus tard, Gabin s'arrosait de foutre et une fois essuyé, mit son casque pour écouter de la musique en textotant avec Seb, vraiment cloué au lit.
- Pourquoi t'irais pas à ma place ? demanda Jaco
- Hein ?! tu déconnes !
- Attends, de nous deux t'es le plus plein, là, et t'as vu comme tu mouilles ?
- Mais... (il jeta un oeil et vit qu'en effet le gland débordait)... Hé, c'est TON mec, jte rappelle
- Arrête tes conneries, ça te fera du bien, et lui demandera pas mieux d'avoir un deuxième donneur...
- Je préfèrerais une meuf.
- Ouais, c'est ça... pense plutôt à une tite bouche qui tète, qu'adore ça, et qui a faim...

Toni ne disait plus rien ; s'il se touchait encore il allait juter. Jaco sentit la partie gagnée, et ne lâcha rien. Il dit à Toni de se mettre à poil et de monter comme ça, la bite offerte. L'excitation, le vin, le manque, son jumeau ne résistait plus à rien... Quand Miky entendit la porte de la chambre, il se mit direct en face, à 4 pattes sur le lit. En voyant Toni dans l'embrasure, il ne fut qu'à moitié surpris que ce soit Toni, mais surpris tout de même qu'il soit aussi beau, pareil en tous points à son homme ; il lui sourit largement pour lui faire comprendre que c'était ok, et Toni fit vite les cinq pas (moins 22cm) qui le séparait de cette bouche. Il poussa en long soupir de satisfaction en sentant les lèvres et la langue de Miky qui se régala aussitôt de la mouille qui filait du gland, et qui pompa en gagnant de plus en plus de centimètres à chaque fois. Toni mit ses mains sur ses hanches et ne quitta plus des yeux le spectacle de ce petit assoiffé à l'ouvrage, cette bouche téteuse, ces petites fesses blanches à l'autre bout, avec les couinements de plaisir... C'est clair, il en voulait, il aimait la bite ; et lui, c'était clair : il adorait cette bouche ! et quand il sentit sa queue dépasser les amygdales, prise à fond dans ce fourreau, il lâcha un " h ! " de bonheur, saisit la tête de Miky pour rester au fond et limer la gorge. Miky l'encouragea d'ailleurs, cherchant son autre main pour qu'il la pose aussi sur sa tête. Bon Dieu ! baiser cette bouche, sentir le gland limer les amygdales ! voir cette largeur de queue écarter les lèvres, lèvres qui se posaient sur les poils du pubis... Toni soufflai de plus en plus et se retira, craignant de juter, au bout d'une minute ! Miky, comprenant très bien, ressaisit la bite et la lécha partout, par petits bouts. " Putain, ma bite fait la longueur de sa tête ! pas de doute, il se régale... quand est-ce qu'on m'a vénéré la bite comme ça ? oh putain cette langue ! ". En léchant les couilles, Miky n'en revint pas de leur dureté : ça devait se bousculer là-dedans !!

Il en gémit et se rejeta sur le gland, ne pouvant plus attendre, et téta de nouveau, frottant bien sa langue sous le frein. Toni comprit qu'il était vain de résister ; il sentait la petite main lui malaxer les couilles, la langue, les lèvres qui le dégustaient...Il reprit la tête entre ses grosses paluches, refit une gorge profonde puis lima à mi-bite jusqu'à ce que la purge aille à son terme. " Tu vas l'avoir, Miky,....ça vient, oui... ouiiii ! " Et Miky qui sentait déjà le canal grossir au maximum, entendit le long cri étouffé juste avant de se prendre une première giclée, une autre encore plus abondante : il avait déjà la bouche pleine. Il gémit de plaisir à chaque gorgée, et Toni touchait le paradis en se vidant les couilles ; il sentait le jus fuser par grosses rasades et entendait aussitôt les déglutitions de Miky et ses couinements de bonheur. Toni eut les jambes sciées tout en continuant de se vider, et dut poser un poing sur le lit. Miky ne bougeait pas : sa bouche à mi-queue continuait de se remplir et de se vider, avec un délice indubitable. Tremblant de partout, Toni s'immobilisa, à moitié plié en deux. Toujours une main sous ses couilles, Miky attira les fesses de son nouveau mâle vers lui, et s'empala la gorge pour traire les dernières gouttes au-delà des amygdales. Le plaisir de Toni était déchirant, renversant, il ne put contenir ses cris. Puis Miky ressortit un peu la bite, téta délicatement le gland, et les yeux brillants de larme (de plaisir notamment), regarda son nouveau donneur, plein de reconnaissance. Toni s'était un peu repris, lui caressait les cheveux en le regardant faire. " Oh, Miky, Miky...putain que c'était bon ", murmurait-il en secouant lentement la tête comme s'il n'y croyait pas. Et il se mordait les lèvres, frottant son énorme trique encore ferme sur le petit visage blanc. " Pour moi aussi c'était très bon ! et abondant ! dit Miky tout sourire ". Il descendit du lit et se colla au torse de Toni qui le serra dans ses bras ; les deux coeurs battaient fort encore. " Avec le ventre rempli de ton bon lait tout chaud je vais bien dormir " dit Miky. Toni l'écoutait, planant dans le bonheur des couilles vidées, puis il l'embrassa sur le front en lui disant : " un gros dodo maintenant ; Jaco va pas tarder ". Il eut un doute quand même, en voyant à quel point Miky bandait... mais il le laissa s'en occuper lui-même peut-être et rejoignit son frère en bas. Miky se mit au lit, reprenant le slip de Jaco et prit son plaisir à digérer.
En bas, Jaco toujours à poil et toujours bandant, accueillit son frère avec un sourire, et Toni le lui rendit, avec une sacrée banane !

- Alors ?
- Putain Jaco, ce pied !
- Ben tu vois, t'as aimé... et lui ?
- Je pense qu'on a tous les deux bien profité ; et je l'ai gâté ! ajouta-t-il en riant
- Parfait, tu vois comme il aime ça
- C'est clair ! il a une de ces façons de gémir à chaque gorgée !
- Ouais c'est son caviar !

Et ils passèrent encore une bonne heure à rigoler, à raconter, à boire. Jaco prenait pour acquis que cette pipe ne serait pas la dernière, et Toni ne le contredisait pas. Les deux frères se relaieraient dans la bouche de Miky. Jaco était tout heureux de savoir que son frère allait se faire du bien et que Miky en profiterait doublement. Ils ébauchèrent une vie idéale à trois, puis bien tard allèrent se coucher. Jaco était bien aviné, et ne parla pas beaucoup en se couchant sur le côté mais d'une main il attira la tête de Miky sur sa bite et se laissa traire avec délice, car même à moitié conscient Miky reconnaissait sur ses lèvres la pression de son gland. Il reçut le nectar adoré de son " papa ", déglutit lentement, souvent, et chacun s'endormit, la bite de l'un dans la bouche de l'autre, et aucun ne se rendit compte que la bite ramollie s'échappa dans la nuit.