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Dimanche 19 Janvier, 13h...
Je me réveille avec la gueule dans le coaltar, la soirée d'hier m'a épuisé... Je check mon téléphone et découvre un mail de Gautier, qui m'annonce que mon prochain rendez-vous avec les membres du #ClubPUTERIE est fixé à Mercredi, je suis donc libre jusque là. Il déclare également que la soirée de Mercredi risque d'être riche en surprises... Je reste suspendu à ces quelques phrases. Je décide de rien faire aujourd'hui, étant un peu fatigué. La journée passe vite et je me couche aux douze coups de Minuit.
Lundi 20 Janvier, 10h...
Je suis réveillé par un coup de fil. C'est le bel Adrien qui m'invite à boire un verre en fin d'après-midi. J'accepte l'invitation avec plaisir, et après avoir raccroché, mille et une questions se posent dans ma tête. Serait-ce dangereux de fréquenter un membre du club en dehors de celui-ci ? Commencerais-je a avoir de réels sentiments pour le beau mannequin ? Comment va se dérouler la suite de mon expérience si je tombe amoureux d'un membre du club ? Bref, il est désormais 16h et je me prépare pour rejoindre mon bel éphèbe. Je suis habillé, coiffé, parfumé et je quitte mon appartement, musique dans les oreilles, sourire aux lèvres. Je m'engouffre dans la bouche de métro la plus proche de chez moi et je rejoins Adrien. Nous avons rendez-vous dans un bar discret, proche de chez lui. Il est 17h30, j'arrive à l'adresse fixée et... pas d'Adrien. J'allume une cigarette en me disant qu'il arrivera avant la fin de celle-ci. Mais le temps commence à filer et le chérubin ne pointe pas le bout de son nez... Il est maintenant 18h, je suis assis à la terrasse de ce café et je sirote mon cocktail, quand je vois débarquer mon bel apollon. Il tient dans ses mains un gros bouquet de roses blanches, et il s'excuse de son retard, en m'aveuglant avec son sourire éclatant. Je craque totalement et passe l'éponge. Mon dieu, les fleurs sont magnifiques ! Il s'installe à côté de moi et m'offre une bise ultra-sensuelle (oui, une bise et non pas un baiser - en public, Adrien est censé être hétéro!) ...
On enchaîne les cocktails en discutant de tout, de rien, de lui, de moi, de nous, du #ClubPUTERIE, de la vie, de la pluie, du beau temps et il est désormais 20h. Adrien me propose un dernier verre chez lui (il habite à deux pas, il a bien préparé son coup le saligot!), je suis forcé d'accepter, tant ses lèvres m'appellent. On se dirige donc vers l'immeuble d'Adrien, et à peine nous avons franchi le hall d'entrée que ce dernier me dévore la bouche, tout en appelant l'ascenseur. Le désir est palpable et l'excitation grimpe en flèche. On arrive enfin dans l'appartement, et je découvre un intérieur soigné, décoré avec goût et modernité. Je décide, dans un élan d'excitation, de prendre les choses en mains. Je m'abaisse face au paquet de mon amant, et commence à embrasser celui-ci par dessus le pantalon qui recouvre cette belle et grosse bosse. Je déboutonne le futal et enlève le caleçon avec conviction, avant d'engloutir cette immense queue que j'aime tant. Je pompe mon beau mannequin durant un bon quart d'heure, et celui-ci se retire de ma bouche avant de jouir... On se dirige donc dans sa chambre, terriblement belle, et je m'installe à quatre pattes, dos à lui, face au grand miroir installé en guise de tête de lit.
Il commence à bouffer ma rondelle imberbe et m'enfile trois de ses longues baguettes qui lui servent de doigts. Et, sans crier garde, il me prends directement, en me dévorant des yeux à travers le miroir. Je ressent l'électricité du rapport entre nous, on se désire, on se veut, il y a plus que du cul entre nous, je le sais, je le sens. Après vingt minutes de baise intensive, Adrien roule sur son lit et s'installe devant moi, je gobe sa belle queue gonflée et finit de le pomper. Il pousse un cri puissant et me claque le cul en crachant sept grosses giclées de sperme bien gras. Sa semence est délicieuse, je n'en perds pas une goutte et dévore ce gland généreux. Je remonte à la surface et roule un gros patin baveux à mon amant. On s'allonge ensuite sur ce grand lit, je me blottis dans ces bras en allumant une cigarette, que l'on partage à deux.
Il couvre mon front, mes joues, mes lèvres de baisers tendres, lorsqu'il ne fume pas. La cigarette écrasée, c'est désormais à notre tour de s'écraser de fatigue. On s'endort dans un corps à corps ultra-sensuel.
La suite arrive, restez connectés ! Continuez à m'envoyer vos mails, j'aime vous lire !
Dicksucker
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