Un solo bien chaud
J'avançais au pas de course vers mon appart', après cette semaine d'abstinence forcée une envie pressante taraudait mon caleçon. Rien que l'idée de pouvoir enfin me soulager faisait dresser mon pieu, j'espérais juste que ma gaule n'allait pas trop attirer le regard des passants.
J'arrivais enfin en bas de mon immeuble, j'ai composé le code et me suis dirigé direct vers l'ascenseur qui se referma derrière moi, je lâcha mon sac de voyage qui contenait mes affaires de cette semaine passée pour diriger ma porte main sur mon entrejambe déjà bien gonflé et serré dans mon jeans. Adossé contre un des murs j'étais chaud bouillant et je pus observer mon reflet dans le miroir face à moi ce qui ne calma pas ma gaule, bien au contraire...
Tout d'abord une petite présentation s'impose; je m'appelle Cédric, 20 ans, 1m70, 60kg de muscles dus à plusieurs années de natation, brun avec les cheveux courts, barbe de 3 jours, relativement bien poilu, et un chibre de 21x6 dont je suis assez fier. Ce jour-là je portais un t-shirt blanc moulant mettant en valeur ma musculature avec un col en V assez large laissant dépasser le haut de mon torse poilu, et un jeans bleue clair faisant ressortir la bosse formée par ma queue à moitié tendue.
Au bout d'une minute environ les portes se rouvrirent je chopais mon sac et fila tout droit vers mon appart', au moment d'insérer la clé dans la serrure ma main tremblait d'excitation. Une fois la porte ouverte je refermais le verrou derrière moi, histoire d'être peinard, balança mon sac à terre puis quelques mètres plus loin ce fut le tour de mon t-shirt, puis mes baskets, et enfin mon jean, J'arrivais dans ma chambre, bondit sur mon pieu en calbut et en chaussettes, ça faisait deux jours que je portais ce calbar, un beau Diesel noir bien moulant, en tout cas là il était bien déformé par ma grosse tige bien raide. Je saisi mon mandrin à travers le tissu tendu pour apprécier toute l'épaisseur, la longueur, la dureté de mon membre viril. Les caresses que j'y prodiguais se transformèrent peu à peu en mouvements de va et vient. L'odeur virile de ma bite remontait du calbut jusqu'à mon nez ce qui renforçait encore mon excitation. De ma main droite je m'occupais de mon torse, passant mes doigts dans mes poils, massant mes pecs bien lourds, travaillant de temps en temps mes tétons dressés de plaisir. J'inscrivais des mouvements de plus en plus rapides à travers le coton noir.
Je décidai de sortir mon chibre, une fois libéré je me décalotta doucement, cracha dans ma main et vînt lubrifier la tête plus sensible que jamais de mon pieux, cette caresse me fit lâcher un râle grave, je vins ensuite masser la face intérieure de mon gland humide, là où le plaisir est le plus intense. Quel pied de ouf!! Je gémissais, je ne savais plus comment me mettre pour résister, mon bassin imprimait des mouvements de va et vient tellement la caresse que je me prodiguais était délicieuse et me rapprochait du point de non-retour. Cela faisait déjà plus d'une heure que je me torturais ainsi aux plaisirs virils. À bout d'un moment je remballais mon matos dans mon calbut et recommença à m'astiquer à travers mon dernier vêtement, j'adorais le frottement avec le tissu.
Ma main droite lâcha mon torse pour s'introduire dans une des jambes de mon caleçon, sans avoir préalablement caresser ma cuisse, puissamment musclée et recouverte de fins poils bruns, mes doigts descendirent lentement jusqu'à ma rondelle inexplorée, perdue parmi les poils et la sueur due à cet effort si addictif. Je ne suis pas fan des doigts dans le cul mais là je prenais mon pied en stimulant juste l'entrée, d'un doigt, je le posais, le levais, le reposais et ainsi de suite. Je sentais l'explosion toute proche, mes couilles remontèrent sous ma tige incroyablement dure et soudainement elles se contractèrent m'arrachant un hurlement de plaisir, tout mon corps se contracta et un jet de foutre d'une violence inouïe traversa le tissu pour s'écraser sur mes abdos, 5 autres jets suivirent, restant bloqués dans mon caleçon désormais trempé de mon foutre encore chaud.
Je restais immobile, abasourdis par un plaisir si intense que je mis quelques minutes à reprendre mes esprits, je pris un kleenex, nettoya mon ventre, me leva, ferma le volet de ma chambre et me coucha pour un sommeil bien mérité.
IlFornicatore
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