Le manche du jardinier
Le père
L'été était là et je n'avais toujours pas trouvé de job, c'est donc en désespoir de cause que déposait dans quelques commerces une affiche disant "jeune homme disponibles pour
travaux de jardinage" et mon numéro de téléphone.
Je m'appelle Cédric, j'avais 19 ans au moment des faits, brun, barbe de 3 jours soigneusement entretenue, 1m80 et 70kg avec une musculature assez impressionnante due à de nombreuses années de sport (natation, muscu et rugby) et j'étais assez poilu pour un jeune de 19 ans même si j'étais loin de l'effet "moquette", j'étais tout de même bien fournis, d'ailleurs la nature m'a aussi gâté au niveau de l'entrejambe avec une queue de 21x6 dont j'avoue être assez fier (en toute modestie bien sûr) et que j'aime partager avec tous ceux qui en veulent.
A la fin de la journée je faisais déjà le point sur les appels reçus. Il y en avait 3 mais un seul retenait vraiment mon attention; un homme vivant a un quart d'heure de chez moi, il avait du mal à s'occuper de son jardin et apprécierait mon aide. De plus il m'avait promis 40€ par aprem' ce qui n'était pas négligeable. Il m'avait même proposé de commencer dès le lendemain. Bref j'acceptais sa proposition
Le lendemain je me présentais à l'adresse indiquée vers 14h. Un homme 35- 40 ans m'ouvrit, brun, les cheveux courts, carrément bogoss, une carrure assez carré, il portait un t-shirt en coton bleu clair assez moulant ne cachant rien d'une musculature bien développée et un short noir en sythétique faisant apparaitre des jambes puissantes et recouvertes de poils noirs, des poils dépassaient de son col, rien qu'à la vue de ce concentré de testostérone je sentis ma queue réagir dans mon boxer, j'essayais de me contrôler. Moi je portais un marcel blanc hyper moulant et un jean bleu clair, mes poils aussi dépassaient de mon col.
Il s'appelait Sébastien, j'eu droit, en arrivant, à une bonne poignée de main chaleureuse et
virile et il me conduisit ensuite à l'ombre sous sa terrasse et me lança " Je ne pensais pas me retrouver avec un gaillard pareil sérieux! Tu fais du sport toi!" tout en posant sa main sur mon épaule
_"ouais pas mal
_Tu fais quoi?
_ Pas mal de natation mais aussi de la muscu et un peu de rugby
_A mon avis avec tes gros pecs tu dois serrer facilement
_euh ouais ça aide pas mal
_quoique d'après ce que je vois il n'y a pas que tes pecs qui sont gros
_euh ça va je me plains pas...
_Ha t'inquiètes je te taquine même si j'avoue que t'a une bonne bosse! Bon je te donne le programme de l'aprem tu tonds la pelouse je t'ai préparais la tondeuse et mon je prends l'
échafaudage j'ai un arbre à tailler".
J'avoue que ça franchise je surprenais mais après tout on est entre homme...Bref nous voilà partis pour bosser. Je m'attelais à ma tâche avec soin quand j'entendis un crie grave de l'autre côté du jardin. Sébastien s'était cassé la gueule de l'échafaudage soit d'environ 1m50. Heureusement plus de peur que de mal mais il se plaignit d'une douleur au genou. Je l'aidais à se relever, il passa son bras gauche autour de ma nuque, je sentis sa main passait sous la " manche " de mon marcel et venir innocemment caresser le haut de mon pec gauche, pas désagréable. Quoique de mon côté mon bras droit le soutenant j'avais ma main sur un de ces pecs et franchement il était méchamment musclé! Je l'emmenais sur la terrasse où il prit une chaise et s'assit "sérieux c'est con je ne vais pas pouvoir finir ça aujourd'hui!
_vous inquiétez pas je m'en occupe apres la pelouse
_ T'es sûr?
_ouais un coup de fil pour prévenir et c'est bon
_Ha merci tu m'aides drôlement sur ce coup-là!
_ Je suis là pour ça"
Je repartais à ma tondeuse mais vite la chaleur devint intenable, mon marcel était trempé de sueur au niveau du torse et le tissu collait à ma peau, je me décidais à le virer, je le
lançais négligemment sur le bord de la terrasse et il en profita pour me lancer au passage "hé ben je vois qu'il y a pas que la pelouse qui a besoin d'un coup de tondeuse" je lui
répondis simplement en faisant claquer ma main sur mon torse. Quelques minutes plus tard il fit tombé le T-shirt et je ne fus pas déçu par ce que je vis; deux pectoraux bien bombés, bien lourd sous le poids du muscle, une rangé d'abdos ciselées, il avait un torse sublimement baraqué le tout recouvert d'une virile toison brune, pas trop non juste ce qu'
il fallait pour assurer son rang de mâle viril. Autant dire qu'à cette vision ma queue ne
resta pas indifférente et je dû m'exiler à l'autre bout du jardin pour me calmer.
L'après-midi passa ainsi, après la pelouse je montais sur l'échafaudage pour tailler cet
arbre. De sa chaise Sébastien n'en perdait pas une miette, profitant du spectacle que je
lui offrais, mon torse musclé tout en sueur luisant au soleil, mon boxer blanc (Calvin
Klein pour faire un peu de pub) dépassant allègrement de mon jean serré. Vers 18h30 une fois mon travail fini je vins le rejoindre sur la terrasse où il me demanda si j'avais soif,
bien sûr que j'avais soif ! Je venais de travailler tout un après-midi au soleil sans même
avoir eu droit à un verre d'eau, c'est un miracle si je ne suis pas tombé raide mort de
déshydratation! Je me contentais donc lui répondre poliment que quelque chose à boire ne
serait de refus. Il revint avec deux bières, je le trouvais un peu gonflé d'ailleurs il avait passé l'aprem à l'ombre tranquille sur sa chaise à me mater et monsieur s'enfilait lui aussi une bière, mais l'idée de passer un peu de temps avec lui ne me déplaisait pas...
La discussion tourna surtout autour de tout, et de rien, un peu autour du sport aussi. A la fin il me proposa de prendre une douche ce que je ne pouvais pas refuser. Il me conduisit jusque à la salle de bain où il me donna une serviette propre et me laissa. C'était une vraie salle de bain de mecs ça! Sur les étages sur trouvaient mousse à raser, aftershave et parfum pour homme, dans la douche c'est une bouteille de gel douche Axe qui m'accueillit, décidément! Une fois sous l'eau chaude j'oubliais les quelques courbatures notamment dans les bras et la fatigue disparaissait peu à peu, je me frottais énergiquement, après avoir tant sué il était temps de redevenir propre! Je ne pus m'empêcher de flatter ma queue de quelques allez retour mais je n'allais pas plus loin après tout je n'étais pas chez moi. Je sortis de la douche m'enroulant dans la serviette quand j'eu la surprise de voir que mes vêtements n'étaient plus là. Je me séchais plus ou moins, enroula la serviette autour de ma taille et descendit, le torse encore humide, dans le salon où se trouvait mon employeur pour lui demander où était donc passées mes affaires, il me répondit qu'elles étaient en train de sécher sur la corde à linge derrière la maison et que je pouvais aller voir si elles étaient sèches. Il a bien vu que j'été resté bloqué sur le fait qu'il soit rentré dans la salle de bain pendant que j'étais à poil mais ne releva pas. Bref je sortis de la maison et alla voir si tout était sec. Non, seul mon caleçon n'était plus humide, m'assurant alors qu'il n'y avait personne dans les environs je fis descendre la serviette et enfila le dit caleçon et revint à l'intérieur la serviette sur les épaules. " Pas sec ?
_Non
_Pas grave, tu peux rester ici encore le temps que tout cela sèche si tu veux
_Ça me pose pas de problème "
Sébastien ne quittait pas mon corps des yeux ce qui me mit presque mal à l'aise tant il m'observait de la tête au pied, " C'est vrai que t'as un sacré paquet !
_Encore !
_Bah quoi ? C'est vrai non ? À moins que ce soit qu'au repos je ne sais pas !
_Non ce n'est pas qu'au repos ! " Lui répondis-je faussement vexé
" Mais apparemment je ne suis pas le seul à en avoir entre les jambes "
Oui j'avais bien remarqué qu'il bandait sous son jean depuis au moins deux bonnes minutes et ne me répondis que par un clin d'oeil. Je me mis devant la fenêtre en observant son jardin quand il se plaça derrière moi et que je sentis une de ses mains caresser mon cul, surpris je me retournai et là il attrapa ma tête pour venir me rouler une pelle dont je me souviendrais toute ma vie tant elle était parfaite, virile sans être brutale, tendre juste ce qu'il faut. Il me guida jusqu'au canapé sur lequel il me poussa et vint sur moi, je lui retirais avec empressement son T-shirt qu'il avait remit pour venir caresser son torse si viril, caresse qu'il me rendit et il me glissa à l'oreille " Depuis que t'as franchis le seuil j'ai envie de faire ça ! "
Je lui répondis en prenant sa queue, qui était d'une taille plus qu'honorable, en main à travers son jean que j'entrepris de retirer, il me fila un petit coup de main et nous étions désormais tous deux en calbut l'un contre l'autre, il porta un caleçon large bleu clair largement tendu par sa gaule. Il vint poser sa langue sur mon torse, passant entre mes pectoraux, remontant jusque dans ma nuque et vint ensuite méticuleusement lécher mes tétons, tous en caressant ma queue bandée à travers mon caleçon, d'ailleurs il descendit le long de mes abdos, sans quitter sa langue de mon corps il vint prendre mon gland en bouche à travers le tissu bien tendu. Me regardant droit dans les yeux, il suivait mon chibre du bout de la langue humidifiant le tissu, il tira l'élastique et en sortit ma queue qu'il lécha de haut en bas, il vint placer juste mon gland en bouche et après quelques tours de langue il l'engouffra jusqu'à la garde, jamais personnes ne m'avait pris entièrement en bouche, d'ailleurs personnes ne m'avais aussi bien sucé, rapide mais pas trop juste comme il fallait, il passait sa langue exactement là où il fallait, dans le repli du gland, sur le frein, sur la face interne du gland. Je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme-là.
Au bout d'environ 5 minutes de ce terrible supplice c'est au bord de l'éjac' que je le repoussais pour venir m'occuper de son corps, je plongeais ma langue dans ces poils, l'odeur était puissante sans être entêtante ni écoeurante, passant d'entre ces pecs larges à ces tétons tendus je descendais moi aussi le long de ces abdos bien dessinées, son ventre se contractait au contact de ma langue, j'atteignais l'élastique de son caleçon, attrapant son chibre tendu à travers la toile fine, le branlant doucement je sentais sa queue se contracter par à-coups, je le regardais droit dans les yeux, il vint m'embrasser. J'ouvris le bouton de le caleçon et en sortis, non sans mal, sa queue bandé, un sacré calibre que j'entrepris de lécher de haut en bas avant de le prendre en bouche, arrachant quelques gémissements à mon employeur. Après environ 5 minutes de bonne pipe il me prit par la taille et me mit en levrette sur le canapé, je cambrais autant que je le pouvais, mettant en valeur mon cul bien musclé et poilu, il me fessa gentiment avant de glisser un doigt entre mes fesses, partant du bas du mon dos pour finir sa course sur mes burnes, il posa son majeur son mon trou et appuya pour dire de faire une première approche
_ " T'es serré mon gars !, me dit-il
_Puceau de ce côté....
_Alors laisse-moi faire "
Sur ces paroles il écarter mes fesses et je sentis sa langue, chaude et humide venir lécher énergiquement mon trou encore vierge, il alternait les rythmes, parfois rapides et précis, parfois plus larges et lents, moi j'adorais ce traitement et en redemandais. Je sentis de nouveau son doigt qui cette fois ci ne resta pas bloqué à l'intérieur, il s'enfonça profondément, sans aucune résistance de ma part. Sa langue vint rejoindre son doit, et même un deuxième. Il ressortit ses deux doigts pour m'enfoncer sa langue, me faisant râler de plaisir. Là il fit sortit une boîte de capote (XL heureusement pour moi) et une bouteille de lub' de je ne sais trop où. Il enfila une capote sur sa queue toujours bandée et l'enduisit, tout comme mon cul, de lub'. Il se positionna contre ma rondelle et poussa petit à petit pour s'enfoncer en moi. Je sentis mon cul s'ouvrir et être rempli, il allait lentement pour éviter toute douleur. Lorsque je sentis ses couilles contre ma peau je me sentis soulagé et il s'immobilisa pour que je m'habitue. C'était large mais supportable. Il ressortit doucement, me fit mettre sur le dos, mes jambes sur ses épaules, et m'enfila de nouveau, il ne s'arrêta pas et imprima un mouvement de va et vient entre mes fesses, mouvement de plus en plus rapide d'ailleurs. Il y allait désormais fort, mon corps tressautait sous ses coups, il vint se coucher sur moi, nos torses humides, l'un contre l'autre glissaient, chacun voyait l'autre grimacer de plaisir, lui dans mon cul étroit et moi de découvrir cette sensation nouvelle, il m'embrassa, et se redressa, ralentit peu à peu et décula.
_ " A ton tour, je veux voir ce que sais faire !
_ Mais volontiers ! "
Il se mit en levrette et cambra (copieur!), la tête entre les coussins et le cul bien en hauteur, bien offert, je palpais ses fesses charnues, bien fermes, et glissa un doigt dans sa raie poilu, humide de sueur, je m'approchais, écartant ses fesses pour découvrir cette rondelle palpitante de désir, un trou affamé de queue, j'y posa ma langue et y fit quelques mouvements, il couinait de plaisir, et sans aucun effort ma langue fut comme aspirée, je baisais ce mâle à coup de langue et il adorait ça ! Vous auriez croisé Sébastien dans la rue vous auriez pensé que c'est le genre d'homme bien dominant qui vous prend brutalement, mais non détrompez-vous il fait ça en douceur et cache un passif inlassables. Sans passer par l'étape du doigtage, j'enfile une capote, me présente et m'enfonce d'un coup sûr et régulier, pas de lub' !.....ça a pas l'air de le gêner...bon je continue, là j'y vais franco mais mon mâle encaisse, mieux il prend son pied, il en veut, il m'encourage même.
On change de position, lui sur moi, il va haut et redescend fort, oui fais des petits allers retours rapides, je vois les muscles de ses pecs monter et descendre en rythme, il se retourne (" ho putain ! "), je vois son dos tout en muscles, la sueur perler et dévaler ses reins, ses fesses écartées et son trou suivant le relief de ma queue. On rechange, un missionnaire, j'ai ses cuisses puissantes contre mon corps, je m'y agrippe et accélère, il kiffe le salaud! Je change d'appui et choisi ses épaules auxquelles je m'agrippe, mon visage au-dessus du sien donne lieu à un jeu de langue en extérieur, je le quitte, me redresse et le branle d'une main, de l'autre je travaille son torse, caressant ses poils, malaxant ses pecs, excitant ses tétons, moi j'accélère encore, son cul m'enserre, on est au bout, en sueur, prêt à jouir, on s'observe pour savoir quand l'autre est prêt, et dans un râle commun on gicle ensemble, lui sur son torse désormais abondamment maculé de sa semence virile, et moi remplissant copieusement ma capote au chaud dans son cul. Je sors et m'écroule sur lui. Je sens son foutre sur ma peau, on s'embrasse encore une fois très satisfaits, et on part à la douche, une douche mutuelle. Je sortis en calbut prendre mes affaires cette fois ci sèches, on se dit à demain, et je partis le laissant à poil sur sa terrasse.
La suite d'ici peu...
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